24/10/2017 – 08h00 Paris (Breizh-Info.com) – Des centaines d’agriculteurs français se donnent la mort chaque année. Les plus touchés sont les petits exploitants, ceux dont les revenus proviennent exclusivement de l’agriculture. C’est ce que nous vous avons déjà relaté plusieurs fois sur notre journal, à travers des exemples, des appels à l’aide, des témoignages d’une situation qui s’aggrave chaque année un peu plus.
Munie de sa caméra, Pegah Malek-Ahmadi de la chaine Youtube » la parole au peuple » s’est rendue à la rencontre de cette souffrance. Pour faire parler, pour comprendre les besoins des agriculteurs les plus exposés. Ainsi, dans cette vidéo, Agnès, agricultrice, vous expose son analyse de la crise que traverse le monde agricole français et ses pistes de solutions pour remédier à cette situation terrible.
https://www.youtube.com/watch?v=FcZYO5dKK3E
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
4 réponses à “La parole au peuple : les besoins des agriculteurs (vidéo)”
Nos politicards se sont toujours désintéressés de nos agriculteurs!
Dans le village natal de mon époux: il n’y a pas de moyens de transports en commun, un seul commerce(la boulangerie) ouvert le matin, etc..etc..En 1962,dans la plupart de nos villages, on vivait comme au Moyen Age: pas d’eau courante, pas de gaz, pas d’électricité.. Nos politicards donnaient les sous des contribuables français aux musulmans, dans nos colonies.. ils ont investi »à fond perdu ».. ils continuent à donner nos sous aux musulmans »étrangers » au lieu de les donner aux »vrais » Français non-musulmans!…
Les politicards sont loin de se désintéresser des agriculteurs: les premiers veulent que les seconds disparaissent. C’est aussi simple que cela. Ils sont en train d’y arriver.
Uniquement de producteurs bio, les autres, basta !
Stupidité d’extrémistes contre-productifs.
D’une, bio, c’est insuffisant. Il faut surtout de la permaculture.
Que l’on s’oppose aux stupides extrémistes du conventionnel, certes, mais que ça n’inclut pas les agriculteurs conventionnels qui ne s’arqueboutent pas sur leur système.
Ce sont eux qu’il faut convaincre, car on ne fera pas la révolution verte sans les personnes vivants à la campagne. Et ils se trouvent que la majorité des campagnards sont liés de près ou de loin au conventionnel.
Perdre ces gens par des propos caricaturaux, et c’est la porte ouverte aux gros propriétaires terriens qui non seulement ne feront pas du bio, mais en plus de la finance.
Il y a des verrous à faire sauter chez les petits exploitants, c’est sûr mais il faut dialoguer et non pas s’opposer. Certes, il y en a trop qui semble obtus mais la réalité leur fera comprendre ou, à défaut, abandonner leur activité.