L’INED (Institut national d’études démographiques) livre une nouvelle fois un rapport instructif. Cette fois, la publication, parue il y a quelques jours, porte sur la fécondité des hommes à travers le monde. La comparaison avec la fécondité féminine puis entre zones géographiques révèle des contrastes saisissants.
Sur quelles données ?
Comment cette fécondité masculine a-t-elle pu être évaluée ?
L’une des deux sources principales pour ces calculs sont tout d’abord les statistiques des registres d’état civil, publiées notamment par les Nations Unies. Il faut cependant noter que ces données ne sont disponibles que pour environ 80 pays dans le monde. Et principalement des pays occidentaux. Par ailleurs, l’âge du père n’est pas connu en ce qui concerne 15 à 20 % des naissances, ce qui montre la précarité statistique dans certains territoires.
Le deuxième moyen repose sur les enquêtes démographiques, qui s’avèrent être un bon palliatif aux registres d’état civil aléatoires dans les pays en développement. Ainsi, ces enquêtes portent sur les enfants vivants dans le foyer et sur leur père biologique. Un procédé appliqué dans 70 pays africains, asiatiques et sud-américains.
Ce sont donc aujourd’hui 150 pays à travers le monde qui disposent de données sur la paternité considérées comme fiables par les statisticiens.
Dans les grandes lignes
Dans un premier temps, il faut retenir que la variation du nombre d’enfants par hommes à travers le monde est bien plus importante que cette même variation chez les femmes. Les hommes ont en effet un nombre d’enfants moyen qui est compris entre moins de 1 et plus de 13 selon le pays. Ce rapport n’est « que » de 1 à 8 chez les femmes.
Autre point à souligner, sur les 146 pays étudiés, l’âge moyen de la paternité est de 33,6 ans quand celui de la maternité a lieu généralement à 28 ans.
Les cas singuliers de l’Afrique et de l’Europe
Ce qui retient également l’attention, ce sont les disparités entre le continent africain et le reste du monde. Sur la question de l’âge moyen pour commencer. En effet, la vingtaine de pays dans lesquels la paternité moyenne dépasse 40 ans sont tous situés en Afrique.
Quant à la fécondité masculine, le continent se distingue là encore avec un nombre d’enfants par homme qui atteint 13,6 au Niger, 13,5 au Soudan du Sud et 12,1 au Tchad. Plus généralement, près d’un quart des 41 pays d’Afrique subsaharienne ciblés par l’étude ont un nombre moyen d’enfants par homme supérieur à 10.
De la même façon, seuls 4 pays africains (Afrique du Sud, Botswana, Lesotho et Namibie) voient le nombre d’enfants par homme passé sous la barre des 6.
Des chiffres qui sont de très loin supérieurs à ceux de l’Europe et des pays occidentaux dans leur ensemble. Des pays où la fécondité masculine est très basse et souvent légèrement inférieure à celle des femmes. L’Europe de l’Ouest et du Nord a ainsi un nombre moyen d’enfants par homme compris entre 1,7 et 2,1. Des chiffres comparables à ceux de la Nouvelle-Zélande, de l’Australie et de l’Amérique du Nord.
L’Europe du Sud et de l’Est, quant à elle, révèle une fécondité masculine qui ne dépasse pas 1,2 enfants en moyenne.
Asie et Amérique du Sud : terres de nuances
Le continent asiatique connait des variations importantes d’un pays à l’autre. Quand le Japon et la Corée du Sud ont une fécondité masculine proche de 1,2 enfant, celle-ci franchit la barre des 5 enfants au Pakistan et même des 7 en Afghanistan.
Ces écarts sont aussi présents en Amérique latine. Notons par exemple ceux entre des États comme le Chili ou Cuba, dont les hommes ont en moyenne moins de 2 enfants, et Haïti qui culmine à 5.
Cette étude l’INED met en évidence des écarts démographiques considérables entre les continents. Mis en perspective avec les problématiques migratoires, le sujet nourrira l’actualité. Comme le pensait les philosophes européens, » Vénus engendre Mars « . Voilà un sujet de méditation pour les dirigeants politiques et leur peuple.
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
12 réponses à “Fécondité des hommes : 13 fois plus élevée en Afrique qu’en Europe !”
Article nul’avenir de ces masses débilitées est sombre: inadéquation famine et guerres donc.;;les >Limiteront mieux que tout Progrès Mental impossible (archaïsme et religion débile associés!)
Il n’y aura pas 2 milliards d’Africains!
Intelligence et Culture et leur corollaire dénataliste maîtrisé sont les seuls Choix d’avenir… »Etpic’esttout »
Pourquoi n’essayez vous de prendre le problème à l’envers, le taux de fertilité des hommes europééns 13 fois plus bas que celui des hommes africains. Les causes, la masturbation que vous exercez dès l’âge de 8 ans et continuez toute votre vie de chiens. L’homesexualité qui atteint des taux effarants chez vous. Le meutre systèmatique des foetus (iVG) à 20 ans une femme de chez vous l’a fait en moyenne 4 fois dans sa vie de chienne.
Le problème en définitive c’est vous
Ibuna Réponse typiquement africaine. « Ce qui nous arrive n’est pas de notre faute, c’est la faute des blancs ». Les noirs ne maitrisent plus leur natalité et tentent de faire supporter leur surplus de population a toute la planète. Il n’y a pas que les blancs qui sont touchés, mais aussi tout les pays du monde. On retrouve des noirs maintenant jusqu’en Chine et en Inde. Inde ou il y a 500 millions de pauvres ! Et comme par Hasard, les noirs y causent les mêmes problèmes qu’en Europe, aux USA, au Brésil etc… Il n’y aurait aucun problème en Europe si elle n’était pas envahie de population incapables de produire quoi que ce soit et vivant uniquement de l’aide sociale, tout en reproduisant ici les mêmes problèmes que chez eux.
Quand a nos problèmes de fécondité, d’avortement, ils ne regardent que nous.
PS: la masturbation ne cause aucun problème de quoi que ce soit, au contraire. Contrairement a ce que disent imams et prédicateurs chrétiens africains.
La vraie réponse tu la trouveras un peu plus haut chez Bistouille Poirot !
Quand on copule comme des lapins sans penser aux conséquences, mais en comptant sur les autres pays pour entretenir votre progéniture, on évite de juger ceux qui reflichissent à comment entretenir ses enfants
Bistouille Poirot t’a déjà répondu sans avoir besoin de prendre le problème à l’envers:
Si les hommes africains ont 13 enfants en moyenne alors que les femmes n’en ont que huit, c’est parce que les hommes se font engrossé plus souvent que les femmes et c’est ce qui t’est arrivé mais que tu ne veux pas avouer…
[…] Suite sur breizh.info […]
Il est probable que la fertilité des Africains a toujours été élevée, la régulation démographique se faisant à la dure par les guerres, les famines et les épidémies. La vraie surprise, c’est que l’amélioration énorme de l’espérance de vie apportée par l’ONU, les ONG et les vaccins ne provoque pas une « transition démographique » avec une baisse considérable de la natalité. L’émigration revient pour les pays africains à exporter un problème qu’ils ne gèrent pas, à faire prendre en charge leur surplus démographique par le continent européen — où la densité de population est pourtant plus élevée. L’une des premières mesures souhaitables serait que les Etats occidentaux conditionnent leurs aides à une stabilisation de la natalité.
Avec l’ homosexualité et l’ avortement célébrés comme des victoires, l’ Occident ne risque pas d’ être en tête pour la natalité !!!! Dans 30 années, après la fin du grand remplacement, là, ce sera l’ Europe de l’ ouest qui sera en tête à coup sur ……………….pour la fécondité masculine et féminine !!!!!
Je pense qu’il y a une relation entre fécondité et QI
Les hommes étant aussi nombreux que les femmes, comment est-il possible qu’ils aient 13 enfants en moyenne et les femmes 8, en Afrique? Pouvez-vous s’il vous plait donner une explication?
se feraient-ils plus souvent engrossé que les femmes ? Non !