27/09/2017 – 06h30 Rennes (Breizh-Info.com) – On ne peut pas dire que ce mercredi 27 septembre soit le plus prolifique en terme de sortie cinéma. Mais néanmoins, quelques films valent peut-être le détour, films que nous vous présentons ci-dessous :
Stupid Things
De Amman Abbasi.
Synopsis : C’est l’été. Dayveon a 13 ans, et un grand frère mort trop tôt. Dans la chaleur étouffante de sa petite ville de l’Arkansas, sur son vélo, il traine sa mélancolie. Lorsqu’il intègre le gang local, les Blood, c’est à la fois la violence de ce monde et de nouveaux liens d’amitié qui font irruption dans sa vie…
https://www.youtube.com/watch?v=hZN9AfxLC5w
Money
De Gena Babluiani (13 Tzameti)
Synopsis : Fatigués de leurs fins de mois difficiles, trois jeunes sans avenir voient l’opportunité de gagner beaucoup d’argent en volant une mallette à un notable du Havre. Sans le savoir, ils viennent de braquer un secrétaire d’État corrompu et de voler l’argent d’une entreprise criminelle. Débute alors, une spirale qui les dépasse complètement.
Le jeune Karl Marx
De Raoul Peck
Synopsis : 1844. De toute part, dans une Europe en ébullition, les ouvriers, premières victimes de la “Révolution industrielle”, cherchent à s’organiser devant un “capital” effréné qui dévore tout sur son passage. Karl Marx, journaliste et jeune philosophe de 26 ans, victime de la censure d’une Allemagne répressive, s’exile à Paris avec sa femme Jenny où ils vont faire une rencontre décisive : Friedrich Engels, fils révolté d’un riche industriel Allemand.
Le maître est l’enfant
D’Alexandre Mourot
Le réalisateur, jeune père, observe une classe Montessori 3-6 ans. Les enfants y travaillent dans le calme, lisent, font du pain et des divisions, rient ou dorment. Le maître reste discret. Pour Maria Montessori, autonomie et estime de soi sont les ferments d’une société de paix et de liberté !
Le château de verre
Jeannette Walls, chroniqueuse mondaine à New-York, a tout pour réussir et personne ne peut imaginer quelle fut son enfance. Élevée par un père charismatique, inventeur loufoque qui promet à ses enfants de leur construire un château de verre mais qui reste hanté par ses propres démons, et une mère artiste fantasque et irresponsable, elle a dû, depuis son plus jeune âge, prendre en charge ses frères et sœurs pour permettre à sa famille dysfonctionnelle de ne pas se perdre totalement. Sillonnant le pays, poursuivis par les créanciers, et refusant de scolariser leurs enfants, les Walls ont tout de même vécu une vie empreinte de poésie et de rêve, qui a laissé des marques indélébiles mais qui a créé des liens impossibles à renier.
Crédit photo : DR
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