27/08/2017 – 06h00 Nantes (Breizh-Info.com) – Revue de quelques faits divers ayant récemment eu lieu dans la Cité des Ducs.
Blessé par balle et justification confuse
Mercredi dernier matin, vers 9h30, les secours sont appelés par un homme ayant subi un tir d’arme à feu dans le mollet. Prévenus, les policiers sont chargés d’éclaircir une histoire qui parait bien embrouillée. Selon ses dires, l’homme de 49 ans aurait trouvé refuge chez une proche au nord de Nantes après avoir été agressé. Toujours selon lui, il aurait été attaqué par trois hommes qui lui auraient bloqué son véhicule sur une route au nord du département en lui réclamant de l’argent. Les hommes lui auraient tiré dessus.
Hospitalisé, il s’est vu notifier un ITT d’un an. L’enquête policière sera menacée par la brigade criminelle.
Roue arrière devant la BAC
Mercredi après-midi, vers 17 heures, les policiers de la BAC n’ont pas pu manquer la moto volée. En effet, son conducteur, un jeune de 19 ans, s’adonnait à la passion de nombreux jeunes de quartier : les rodéos urbains.
Roue arrière, feu rouge grillée… La BAC est donc intervenue. Le conducteur a voulu échapper aux agents de police mais sa moto a heurté un trottoir. Rattrapé, il est interpellé. Sur lui, pas de permis de conduire mais 3 grammes de cannabis. Déjà bien connu des services de police, il a été placé en garde à vue et convoqué au tribunal le 6 mars prochain.
Un SDF de 31 ans retrouvé mort, décomposé, dans un squat
Dimanche dernier matin, un corps avait été retrouvé dans un squat du quartier Zola. Son identité a pu être établie par les services compétents. L’homme âgé de 31 ans était un sans domicile fixe connu des policiers pour plusieurs vols. La cause du décès reste indéterminée étant donné l’état de décomposition avancé du cadavre. Un état qui a également gêné les enquêteurs quant à l’établissement de la date de la mort.
En effet, le médecin légiste avait d’abord établi que le décès datait de deux mois. Or, l’homme était admis au CHU le 8 août dernier et se trouvait au commissariat pour le port d’un pistolet d’impulsion électrique.
Mais, si des zones d’ombre existent encore, les questions sur l’identité de la victime sont désormais levées.
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