Lloret del Mar. Colère après la mort d’un Italien dans une bagarre

18/08/2017 – 09h00 Lloret del Mar (Breizh-Info.com) – Dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 août dans la ville espagnole de Lloret de Mar – très connue pour sa vie nocturne mouvementée –  Niccolò Ciatti, un jeune Italien de 22 ans, a été tué dans une bagarre qui a éclaté dans une discothèque, le St Trop. L’assassin présumé est un Tchétchène qui vit en France en tant que “réfugié”.

Le vidéo de la bagarre a donné lieu, en Italie, a un débat très animé, parce qu’on y peut voir Niccolò à la merci de son agresseur, tandis que toute la population assiste sans réagir à ce lynchage.

Parmi les réactions, celle de Davide Di Stefano, un des dirigeants romains du mouvement CasaPound Italia, a particulièrement été partagée et appréciée sur les réseaux sociaux. La voici ci-dessous :

L’homicide de Lloret de mar m’a rappelé l’histoire des viols de Cologne.

Lorsque plus d’un millier de migrants ont violé des centaines de filles allemandes pendant les célébrations du Nouvel An 2016, des journalistes comment Enrico Mentana [le directeur du Tg La7, très connu en Italie pour ses opinions pro immigrées – NDLR], se sont demandés «comment est-il possible que des Allemands ne soient pas intervenus pour défendre les femmes»?

On a donc prétendu qu’une génération élevée avec du pain et des jeux, avec des affiches colorées «Welcome refugees» , avec le rejet de toute violence, devrait tout à coup faire preuve de courage, de force, même physique. De se comporter comme des vrais hommes, et défendre les femmes, même si le prix à payer peut être celui de se prendre un coup de couteau par un maghrébin.

Le cas de Niccolò Ciatti, tué par un coup de pied au visage dans une discothèque de Llloret de Mar, a des points en commun avec cela. Beaucoup se sont demandés «pourquoi personne n’est intervenu? Est-il possible que ses amis ne l’aient pas défendu? ».

Moi même , en voyant une interview d’un des amis de la victime, dans lequel il déclare : « personne ne nous écoutait, personne n’est intervenu», j’ai pensé à chaud «mais, connard, pourquoi ne l’as tu pas défendu ? » . Mais ensuite j’ai vu le film et j’ai vu un de ses amis à terre, frappé à la tête. D’autres ont essayé d’intervenir timidement, mais ils ont été refoulés par les poings des trois tchétchènes.

J’ai lu cette déclaration de son meilleur ami: « Nous avons essayé de faire tout notre possible pour le sauver, mais nous avons pris une raclée (…) nous sommes des gars normaux, nous n’avons jamais été dans une situation comme ça».

La situation est toujours la même.

Sans la guerre ou bien l’aventure, sans leurs « substituts », qui peuvent être le militantisme politique, la violence dans les stades ou dans la « rue », on ne peut pas attendre ce type de réaction dans de telles situations.

Les parents de ceux qui ont maintenant 20/30 ans ont créé une société fondée sur le service d’assistance téléphonique « anti-intimidation » , où l’on dépose plainte pour une simple insulte.

Ils ont diabolisé le courage et la force tandis que la lâcheté et l’empathie ont été exaltées, les « émotions » divinisées, le sens de l’honneur a été raillé et la « virilité» est devenue ridicule.

Mais maintenant, bien cachés derrière votre smartphone et avec cette même empathie, vous accusez les amis de Niccolò Ciatti.  

Oubliant le sens tragique de notre vie, seuls des épisodes comme ceux là ou des attaques terroristes nous rappellent l’importance de certaines prédispositions ancestrales : la civilisation du prétendu bonheur ne nous dispense pas d’être des hommes !

Mettons nous bien dans le crâne que nous sommes l’exception : l’Europe occidentale, l’Italie en particulier.

En Asie, en Afrique, au Moyen-Orient, en Amérique du Sud, mais aussi en Russie, Europe de l’Est et même aux États-Unis, cela ne fonctionne pas de cette façon.

Dans le reste du monde, bien que malade, la relation avec la guerre, les armes, la force, même physique, ou la brutalité, est vivante.

Si notre société ne cesse pas dès à présent de rejeter la guerre, le combat, l’homme, le mâle, si nous ne redevenons pas des loups qui « allumons un feu dans la nuit et défendons une frontière », alors comme le dit Adriano Scianca dans son dernier livre, nous sommes destinés à disparaitre et mourir.

Crédit photo : DR
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2 réponses à “Lloret del Mar. Colère après la mort d’un Italien dans une bagarre”

  1. Claise dit :

    BRAVO !!!

    Oui les jeunes ont étés émasculés… on les culpabilisent pour ne pas manger de viande ou supprimer les corridas… Ils ont peur de tout, même de rejeter des saloperies comme l’islam…
    Par contre pour protéger les enfants de la circoncision il n’y a personne… trop de lâcheté !

  2. Yvette Prétet dit :

    L’aveuglement de certaines bonnes-consciences est inimaginable!
    Pendant la  »guerre d’Algérie », nos  »bonnes-consciences » aveugles reprochaient à nos militaires d’utiliser la  »gégène » pour faire parler des terroristes et éviter ainsi la mort de  »civils innocents » mais si je disais à un gauchiste (un enseignant) que les fellouzes émasculaient des hommes  »innocents », éventraient des femmes  »innocentes », égorgeaient des enfants » innocents », il me répondait:  »On ne peut pas faire d’omelette sans casser des oeufs »..La  »gégène » est utilisée, actuellement, par le F.L.N., qui gouverne en Algérie, contre ses opposants politiques.. Le F.L.N. tire  »à balles réelles » sur ceux qui osent manifester (les Kabyles, etc)..mais nos gauchistes trouvent cela NORMAL et Hollande a fait  »la repentance » de la France pour les musulmans tués par notre armée, mais.. le F.L.N., lui, n’a pas fait sa  »repentance » pour les non-musulmans et les musulmans qu’il a tués, les musulmans tués par le F.L.N. sont plus nombreux que ceux qui ont été tués par notre armée!

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