01/08/2017 – 05h50 Douarnenez (Breizh-Info.com) – Une fois de plus, le festival de cinéma de Douarnenez fera cette année l’apologie de l’immigration et de l’ouverture des frontières. Sans la moindre contradiction. La 40ème édition de ce festival cinématographique – qui projette par ailleurs très souvent des films ou documentaire de qualité – aura ainsi pour titre principal « Frontières ».
Parmi les principaux films projetés, Un Paese di Calabria, Mediterranea, les Sauteurs, Les Messagers, La traversée, J’ai marché jusqu’à vous, Des spectres hantent l’Europe (programmation complète ici) ainsi que des dizaines d’autres films ayant tous un message en commun : culpabiliser les Européens et les obliger à accepter les flots continus de migrants qui arrivent quotidiennement sur les côtes.
Qui pourrait en effet rester insensible devant de tels destins et de telles souffrances ?
Les organisateurs expliquent leur démarche :
Franchir une frontière, c’est aller à la rencontre de la différence pour la confronter avec sa propre réalité et ainsi s’enrichir et/ou se redéfinir. Une autre motivation, moins louable, est de vouloir annexer ou envahir son voisin pour lui imposer son modèle ou s’approprier le sien. Dans le premier cas, on espère l’hospitalité et le dialogue. Dans le second, l’avis de l’autre importe peu. Ceux qui franchissent les frontières prennent des risques. D’une part, ils risquent la remise en cause partielle ou totale de leur propre identité ou de celle de leur groupe, d’autre part ils risquent aussi de ne pas recevoir l’accueil escompté et de se faire renvoyer chez eux.
L’idée n’est évidemment pas de dresser un panorama complet de tous les films liés aux frontières, mais de faire ressortir la puissance d’invention et de créativité qui surgit chez les cinéastes. Une programmation qui va des Western à Billy Wilder, des films de l’Europe des Balkans aux films sur la frontière mexicano-américaine, des films Aborigènes a la frontière Coréenne… Chaque spectateur devra se faire son parcours dans cette traversée cinématographique tous azimuts et riche en découvertes. Avec plusieurs films présentés cette année en pellicule, Nous tenons aussi à sortir le 35 mm et le 16 mm de l’exil où le tient reclus le numérique. Et c’est un plaisir pour nous !
Le festival de Douarnenez est militant : on y a vu ces dernières années des opérations en soutien aux LGBT, aux homosexuels du monde entier, mais également au burkini (en marge du festival) et cette fois-ci aux migrants. Problème : il s’agit d’un festival subventionné par les contribuables, via différentes institutions, qui ne partagent pourtant pas forcément toutes les lubies sociétales des organisateurs.
A noter que la fondation Crédit Agricole du Finistère finance également l’évènement.
Le festival se tiendra du 18 au 26 août 2017, en vase clos, la direction du festival n’ayant pour le moment annoncé aucun débat contradictoire sur les questions mises en avant par la thématique centrale de ce cru 2017. Pourtant, ils seraient nombreux également à pouvoir évoquer les drames humains et les conséquences économiques, sociales, culturelles, écologiques, liées à l’immigration en Europe. Il suffit de se promener aujourd’hui dans les rues puantes et insalubres de Rome pour s’en rendre compte …
Crédit photo : DR
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12 réponses à “Subventionné, le festival de cinéma de Douarnenez fera l’apologie de l’immigration”
Et aller donc….
A boycotter fermement !!!! Pour nous, Douarnenez c’ est …..fini !!!!
Breizh, c’est ringard, sans doute … On pourra compter, en plus de O.F. et du Télégramme, sur Radio Bleu Breizh Izel pour « accompagner sympathiquement » la manifestation …
Breizh n’est pas perçu comme ringard . Lire l’article sur « s’installer en Bretagne » dans le dernier Marianne. Ce n’est pas ringard mais c’est séditieux et dangereux. À nous Bretons d’assumer!
En fait, il y existe deux bonnes raisons à l’immigration française en Bretagne.
La première est d’assurer la main prise sur la Bretagne en la françisant.
La deuxième est que les Français ont détruit leur pays et leur identité, alors il cherche une terre d’asile (si possible avec de beaux paysages et la proximité de la mer).
Certains s’adaptent à la Bretagne, mais avec l’idée saugrenu qu’il s’agit d’une culture française et que prétendre le contraire ne serait pas correct… voir discriminatoire pour eux…
D’autres ne s’embarrassent pas de cette adaptation, pour eux les Bretons sont quasiment en trop dans ce territoire qui serait français… et veulent imposer leur mode de vie et jusqu’à la République et sa volonté d’un avenir heureux car métissé, ce qu’ils fuient pourtant… (agissant en cela comme les 2 magrébines de la Baule qui expliquent la bonne manière de se comporter aux autochtones…)
Les Bretons là dedans sont toujours honteux d’être eux-même… aux mieux voient-ils dans cette migration une opportunité de devenir politiquement correct… seul moyen de retrouver une auto-estime…
C’est ça, et c’est Breizh qui régularise les migrants et ce sont les nationalistes bretons qui tiennent les préfectures ainsi que l’appareil d’Etat français. On y croit… Vous allez tous devoir quitter la Bretagne, vous, vos préfets, vos dealers, vos flics, vos militaires et vos Africains. VOUS TOUS.
Normal de ne pas mordre la main qui les nourit . Pas de frontières = pas d’indépendance.
La mairie est de quel bord?
Un parti français bien entendu ! « les républicains »
La mairie obéit au préfet, donc elle est pro-migrants, comme 100% des mairies en fait. C’est ça la France, et nous en Bretagne on n’en veut pas de votre France.
Excellente mise en perspective de la réalité ! Trugarez
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