29/07/2017 – 07h40 Rennes (Breizh-Info.com) – C’était le 5 mai dernier, à Rennes. La brigade anti criminalité (BAC) procède à l’interpellation d’un dealer présumé après avoir été témoin d’une transaction quartier Sarah-Bernhardt. Dans l’opération, un coup est porté au visage de ce dealer. Problème : le procès verbal rédigé par le chef de la BAC au moment de l’interpellation ne fait pas mention de ce coup.
Pour avoir frappé le suspect et réalisé un faux en écriture, il a été condamné à 10 mois de prison avec sursis.
Un coup de genou au visage et un procès verbal bidonné
Le 5 mai, la BAC est en patrouille. Témoins d’une transaction suspecte, les policiers poursuivent un dealer présumé. La course poursuite s’engage. Alors que le délinquant présumé s’est réfugié dans un bar, la BAC surgit et appréhende le suspect. Mais, alors que le dealer présumé est au sol, le chef de la BAC donne un coup de genou au visage de celui-ci. Des caméras de vidéo surveillance immortalisent la scène.
Une action qui n’avait donc aucune utilité selon l’avocat de la victime et le procureur. Mais le plus grave aux yeux du procureur de la République : la rédaction d’un procès verbal d’interpellation manifestement faussé.
Un cas grave qui serait susceptible de jeter le discrédit sur la réputation de la police.
L’ex chef de la bac admet son erreur
Face au tribunal, le 20 juillet dernier, le policier, visiblement très touché, reconnait son erreur et admet avoir failli.
Son avocat a beau plaidé les états de service impeccables du policier et son comportement exemplaire pendant 30 ans, rien n’y fait.
L’ex chef de la BAC de Rennes est finalement condamné à 10 mois de prison avec sursis, conformément aux réquisitions du procureur.
Le policier a annoncé vouloir faire appel.
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
6 réponses à “Rennes. 10 mois de prison avec sursis pour l’ex-chef de la BAC”
En comparution immédiate, le dealer pris en flagrance de commerce de stupéfiants en récidive, refus d’ obtempérer, fuite, rébellion, insultes et coups au moment de son arrestation, sera condamné à 3 mois de prison avec sursis. Il recevra 1000 euros de dommages et intérêts pour un coup de genou reçu pendant son immobilisation musclée.
Les policiers ayant participé à cette action se verront infliger un blâme pour mise en danger des passants et du fugitif en obligeant ce dernier à courir au risque de tomber et de se blesser.
Madame le maire de Rennes propose d’ interdire toute présence policière quartier Sarah Bernhardt pour que de tels faits discriminants, qui sont autant de troubles à l’ ordre public, ne puissent se reproduire.
Et les préfectures de police continueront de délivrer la nationalité française à tous les migrants, et ce dans la plus totale impunité. A combien estimez-vous les dommages et intérêts dus aux Bretons pour l’ensemble des Français de toutes origines installés chez nous par la France ? Ayez la décence de ne pas vous apitoyer sur la police, merci. La police sait très bien ce qu’elle fait, elle exécute la politique d’immigration massive décidée par la France. Madame le maire de Rennes obéit au préfet, tout comme la police. L’opposition apparente entre elle et la police n’est qu’enfumage à destination des neuneus.
Et quand vous acquittez votre abonnement internet, c’ est à la France que vous donnez 20% de TVA, collabo !!!!
Une fois de plus, on est tombé sur la tête. Les « Droits de l’homme » avant la sécurité, la police et le maintien de l’ordre… Je n’irai pas jusque là, mais certains disent que la Justice est pourrie et pratique le culte de l’Autre suprême.
Bravo… donnez raison aux bandits, dealers et voyous de toutes sortes. Vive la Police.
Il vaut mieux être dealer!