01/06/2017 – 08H30 Nantes (Breizh-info.com) – Depuis plus d’un an une kyrielle d’associations immigrationnistes tente de mobiliser les pouvoirs publics et l’opinion sur la situation des « jeunes migrants ». Ceux-ci seraient plus de 200 à Nantes , hébergés dans des hôtels du centre-ville, des foyers d’accueil, dans des squats ou simplement à la rue. D’autres résideraient chez des « hébergeurs solidaires » dont on aimerait connaitre le nombre.
Le 31 mai le « Collectif de soutien aux mineurs isolés étrangers » (Gasprom, Droit au logement, Ligue des droits de l’homme, Médecins du monde, Nantes en résistance, Action jeunesse scolarisation, Collectif des hébergeurs solidaires…) organisait « pour en parler » une conférence de presse à la Manufacture de Nantes. Parmi les invités : Breizh-info qui avait reçu par courriel une invitation en bonne et due forme.
A l’heure prévue seuls deux médias étant présents – le quotidien Presse Océan et Breizh-info – les organisateurs, représentés par six femmes, après avoir patienté 15 minutes pour attendre un représentant d’Ouest France, décidèrent de commencer leur intervention.
Mais à peine l’une d’entre elles avait-elle commencé à exposer « la situation très préoccupante » des jeunes migrants en matière de scolarisation, de santé et de « mise à l’abri » qu’elle était interrompue par plusieurs autres représentantes des associations organisatrices : «il n’est pas possible de continuer en présence d’un média d’extrême droite et anti-migrants» désignant le journaliste de Breizh-info. Arguant qu’il avait reçu une invitation, il lui fut répondu que c’était certainement une erreur « parce qu’on ne parle pas à nos adversaires » (sic). Il fut donc prié de quitter la salle municipale. A noter que le journaliste de Presse Océan se garda bien de faire la moindre observation sur cette conception très particulière de la liberté de la presse.
Dommage car il aurait été intéressant d’entendre les arguments des défenseurs de ces jeunes clandestins entrés illégalement en France sans papiers d’identité et présentés comme des « mineurs non accompagnés et jeunes majeurs de moins de 21 ans ». Cela d’autant plus que trois jeunes Africains au look très tendance devaient aussi intervenir. Manifestement ceux-ci ne rentraient pas dans la catégorie «mineurs».
Nombre d’entre eux se voient contester leur minorité et les autorités ont recours à des tests osseux pour déterminer leur âge. Ceux-ci donnent souvent des résultats étonnants et sont contestés comme non scientifiques par les associations pro «migrants».
Signalons que le collectif « Dessins sans papiers » organise des ateliers de dessin auprès des jeunes migrants de Nantes. Le résultat a donné naissance à une expo depuis le 29 mai à Pol’n rue des Olivettes à Nantes « Les jeunes migrants de Nantes dont la minorité est contestée ont réalisé de nombreux dessins qu’ils sont fiers de présenter » écrit Presse Océan qui en montre plusieurs à ses lecteurs . « Dessins qui en disent long tant sur les difficultés du passé et du quotidien de ces jeunes que sur la cruauté du monde ». Quand il faut faire pleurer Margot …
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10 réponses à “Jeunes migrants à Nantes : Breizh-info n’est pas le bienvenu !”
Alors je ne vous trouve absolument pas d extrême droite vous dites juste la vérité,mais les association sont la pour nous remettre dans le droit chemin et nous faire comprendre que la démocratie n est que pour eux , moi je vous dis bravo Breizh info vous ne devez pas changé vous êtes très bien et même si je suis lyonnais j apprécie beaucoup votre site
Quant aura t-on un gouvernement qui revoient dans leurs pays tous ces minables venus chercher de l’argent et des soins en France.En plus ces associations devaient être interdites et dissoutes.
Chaque fois que des immigrés arrivent, vous vous assimilez à eux : Romains, Francs, et maintenant Africains. C’est pour cette raison que nous les Bretons nous vous méprisons avec autant de force.
Jamais, ces association sont le bras de l’état français, aucun gouvernement n’y changera rien.
Je suis Français d’origine Indochinoise. Nous sommes Français depuis mes Grands-parents, quand nous étions encore en Indochine c’est-à-dire bien avant de venir en France. Pourquoi cela ? Eh bien parce que nous avons choisi non pas de nous »intégrer » (ce mot ne me convient pas car il n’exprime pas complètement les vraies raisons de notre choix de nationalité, je préfère le mot »s’identifier »). Oui, nous nous sommes identifier aux Français, nous nous sommes identifiés à la civilisation, à la culture française car la France rayonnait sur le monde et cette Nation représentait une grande puissance en tant que civilisation.
Ma famille et moi-même à l’âge de sept ans, sommes arrivés en France parce que notre Indochine avait perdu son adjectif »française » et devint le Viêt-Nam actuel depuis mai 1954.
Mais malheureusement, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, cette grande Nation France s’est autodétruite petit à petit et lentement par les utopies humanitaristes qui ont et qui continuent de culpabiliser les Français de souche en leur accusant de spolier, d’exploiter leurs anciennes colonies d’outre-mer. Toutes ces accusations ne sont que des tromperies pour berner les compatriotes de souches française. Car si cela est vrai, mes grands-parents et mes parents n’auraient jamais choisi de nous identifier aux Français et quitter notre propre pays natal pour nous fixer définitivement en France.
Une autre remarque concernant les immigrations. Jusqu’en 1970-1975, la France avait encore les moyens d’accueillir les immigrés en leur donnant une éducation scolaire de qualité et surtout en leur donnant un travail permanent qui permit de fonder leur propres familles et de s’intégrer et de se fondre dans la société française.
Depuis 1975, la France sombre de plus en plus dans le chômage et aucune des innombrables successions de Présidents de la République et aucune politique mis en oeuvre n’ont réussi à redresser ce pays.
En ce qui aggrave encore plus pour améliorer l’intégration des immigrés dans la société française, ce sont les changements de mœurs, de mentalités et surtout de la disparition de la morale qui faisait de la France, une Nation unie sur une base commune. De ce fait, les étrangers et les »immigrés de force » n’ont plus aucune raison de ressentir une quelconque affinité envers ce pays d’accueil, cette Terre d’asile (!) et ne peuvent avoir le moindre respect envers les gens qui les accueillent… à part d’avoir atteint l’ El dorado au frais de la Princesse.
Les Français de souche sont devenus corvéables à merci et doivent constamment baisser la tête.
Votre histoire d’intégration est une sinistre blague. Vous êtes un immigré de la troisième génération, très loin de votre pays. Votre comportement, aussi obéissant soit-il, ne vous donne aucun droit de présence ici.
La famille de Léon est arrivée en France à une époque où cette dernière était capable d’ assimiler des arrivants par l’ admiration qu’ elle suscitait et la fierté de pouvoir se dire Français.
Léon a bien raison de dire que cette époque est révolue. La France a perdu sa fierté, elle est tombée dans la repentance honteuse. Elle n’ a plus de culture et s’ est rendu coupable de crimes contre l’ humanité si l’ on en croit le « président » qu’ elle vient de se donner à 66%.
Les gens qui y sont accueillis ou qui imposent leur présence illégale depuis les années 1975 n’ ont aucune raison de l’ admirer, aucune raison autre que financière et de conquête à se revendiquer Français.
Cela n’ est pas le cas des Indochinois qui sont entrés en France, soit dans les bagages de l’ armée française, soit « boat people » fuyant le communisme sauvés par nos navires.
Ceux là sont devenus français de cœur et ont donné à la France leur force de travail, leur sérieux, des enfants bien éduqués, des cadres de valeur à l’ armée française.
Tiens, un migrant donneur de leçons.
Il est parfois instructif de se voir au travers du regard des autres.
Ses associations aiment la liberté de la presse quand ça les arrange. Le discourt est simple, la France est responsable de ne pas s’occuper de tous ses clandestins et de ne pas donner des papiers à tous les illégaux qui viennent augmenter la précarité de tout ceux déjà présents.
Ils se fichent bien que ces gens là arrivent sans diplômes, sans formations, ne parle pas le français et que l’intégration soit le cadet de leur soucis.