22/04/2017 – 08H00 Nantes (Breizh-info.com) – Pendant que les états-majors et militants des onze candidats sont dans la dernière ligne droite avant le premier tour, toute une frange de l’ultra-gauche fait carrément campagne pour… la guerre civile. Les références sont on ne peut plus claires : l’anarchisme de 1936, Bakounine, la Commune de Paris, la Révolution française, la prise de pouvoir par la rue. Les objectifs aussi : perturber le premier tour des élections, mettre en place un mouvement de masse, perturber l’entre-deux-tours, le second tour aussi, faire un « troisième tour social » où la rue commandera aux urnes. Bastions de l’extrême-gauche, Nantes et Rennes ont toutes les chances de devenir un fer de lance du mouvement.
Dans un appel qui circule dans les milieux d’ultra-gauche à Rennes, on pouvait lire : « Nous pensons plutôt qu’il est grand temps de reprendre l’offensive, et de nous organiser pour devenir réellement ingouvernables » dans l’objectif de « mettre un terme à la domination capitaliste, au racisme et au patriarcat » par « une révolution sociale, populaire, portée par la base ».
En ce moment, c’est un autre appel, écrit à Caen, qui fait le tour de la France de la gauche libertaire. « Leurs démocraties sont des régimes bourgeois et conservateurs, dans lesquels la liberté, l’égalité et l’entraide ne sont que des inscriptions sur les frontons des palais. Elles sont le gouvernement du peuple, offrant un simulacre de liberté sous surveillance, sans toucher aux bases de l’exploitation et de la domination : l’argent, la propriété, l’Etat, le capital, les frontières, le patriarcat. Comme les monarchies et les dictatures, elles partagent l’idée qu’il faut des chefs, que ce soit à l’échelle d’un pays, au travail, à l’école, dans la famille », écrivent ses auteurs, qui appellent à « une grève des électeurs et des électrices » et au « sabotage du système électoral ». Ils font aussi l’éloge de la révolution anarchiste : « Pas plus qu’une ville, une révolution ne se dirige et ne se planifie. Elle ne se décrète pas non plus, sans pour autant surgir de nulle part. Nous entendons bien participer à ouvrir des brèches et des possibilités, sans attendre et sans savoir exactement où cela nous mènera ».
Quand le vote FN gêne, bâillonnons le vote
Ces derniers jours, les militants anarchistes ont multiplié tags et collages contre les élections, tant à Besançon qu’à Nantes ou Rennes. Devant l’école maternelle Molière, dans le centre-ville nantais, les affiches de tous les candidats – Mélenchon y compris – ont été recollées avec des candidats bidons et des slogans anti-vote. Un mystérieux « groupe anarchiste des Bons enfants » a placardé des affiches libellées : « vous vous foutez des élections ? Ça tombe bien, nous aussi ! Contactez-nous, on se fera une bouffe ». Devant le collège Victor Hugo rue de Bel Air, les affiches officielles ont été taguées «ingouvernables », à raison d’une lettre par candidat, sauf le G qui n’est pas écrit – l’affiche de Mélenchon est intacte. A Paris, le 20 avril, une manifestation sauvage de lycéens a donné lieu à des émeutes et à la dégradation d’une permanence PS.
La mobilisation contre ce que l’ultra-gauche appelle la « mascarade électorale » a un point de fixation : la possible présence du FN de Marine le Pen au second tour. A cette fin, un « tour de chauffe » est organisé ce 21 avril à 18h devant les mairies des grandes villes. Il s’agit d’une mobilisation en lien avec les syndicats de gauche pour « dire non au FN et à ses idées ». Mais aussi d’un ballon d’essai pour une mobilisation plus populaire qui dépasserait le cercle des anarchistes.
« Cela dit, si c’est Fillon ou Macron au second tour, soit un facho ou la marionnette des patrons, on prendra la rue quand même », nous affirme Camille, miltant anarchiste sur Nantes. Et Mélenchon ou Hamon ? « Même chose, le premier récupère nos idées, le second succède à Hollande, tous deux sont des valets du système et le système on le nique ».
Le 22 avril, une manifestation syndicale et militante appelle à « prendre la rue pour imposer notre programme », à Paris place de la République. Sous l’étendard là encore de la lutte contre la précarité, de la continuation du mouvement contre la Loi Travail, du refus du racisme et des conservatismes. L’appel a notamment été signé par les fédérations Sud Commerce et Education, plusieurs sections départementales Sud-Education, la CGT-Education du 93, l’UNEF à Nanterre, la fédération Sud-PTT, la CGT de l’ex-usine Goodyear, Sud-Rail Saint-Lazare, sans oublier le « collectif Justice pour Théo » monté par l’extrême-gauche ou le Droit au logement, bref, toute la frange syndicale et politique qui partage les idées de l’ultra-gauche et est favorable à une révolution pour conjurer le péril du FN, du conservatisme ou du libéralisme au pouvoir.
Dimanche 23 avril, le jour du premier tour, l’ultra-gauche a déjà prévu deux événements « festifs » dans le centre-ville, un rassemblement autour d’un faux candidat au Bouffay à 10h, et un concours de banderoles à midi. En soirée – bien avant la fermeture des bureaux de vote – le festif fait place au combat puisque rendez-vous est donné place du Bouffay à 18 h.
Plusieurs détournements d’affiches réalisés par des militants d’ultra-gauche et compilés dans un Tumblr proches de la mouvance explicitent le but de cette manif : « RDV le 23 avril à 18h place Bouffay pour que la rue vire tout le reste de la clique ! Ingouvernables » pour l’une, « Je vais tout nikeeeeeeeer… le soir du 23 avril ! 1er tour des élections / RDV à Bouffay » pour une seconde, « Le dimanche 23 avril, tous et toutes à 18h place Bouffay pour retrouver le goût du printemps dernier ! / La rue est à nous » pour une troisième qui rappelle la casse et le pillage de mars à juin dernier à Nantes, etc.
Des rassemblements similaires sont prévus dans d’autres grandes villes où l’ultra-gauche est implantée, notamment Rennes, Brest et Caen.
Un risque notable d’émeutes et de perturbation des bureaux de vote
« Sous le couvert de la fête, ils veulent la guerre », remarque un policier nantais. « Ils veulent clairement l’émeute, et s’organisent pour cela avec les quartiers sensibles ». A Nantes, via les marges incontrôlables de la ZAD – au point que les paysans eux-mêmes n’y arrivent plus et l’ACIPA a retiré son soutien logistique à la frange anarchiste, une convergence a été organisée entre ultra-gauche et certains quartiers sensibles, notamment Bellevue, le Breil ou encore les Dervallières. Ce dernier sert en partie de vivier de recrutement pour les black blocks de l’ultra-gauche, selon nos informations.
La convergence de l’ultra-gauche et des bandes ethniques est organisée localement par un pool de quatre personnes, toutes connues défavorablement des forces de l’ordre pour délits de droit commun ; l’une d’elles fait même l’objet d’une fiche S pour son activité à l’ultra-gauche. Elle a tissé des liens avec des gros bonnets de la drogue de certains quartiers sensibles, bien contents de pouvoir envoyer leurs troupes mettre le bazar en ville… ce qui aura comme effet immédiat d’éloigner la police du juteux « bizness » dans les cités.
Toujours selon nos informations, des perturbations dans les bureaux de vote sont prévues par des bandes d’ultra-gauche qui graviteraient en marge des événements « festifs » du dimanche matin et midi. « Le principe est simple : on entre à cinq six, on casse tout, on fout l’urne par terre et des baffes aux électeurs et on se casse », résume un militant anarchiste. Des bureaux de vote situés tant dans le centre de Nantes que son agglomération seraient visés ; plusieurs ont déjà été repérés à l’avance car ils sont faciles d’accès ou permettent de s’esquiver dans plusieurs directions possibles une fois le raid commis.
Des émeutes sont prévues en ville, « même sans attendre 18 h d’ailleurs », dans l’hyper-centre, mais aussi plusieurs quartiers habituellement épargnés : Olivettes-Madeleine, Viarme, Hauts-Pavés – Saint-Félix, Graslin.
Selon nos informations, pendant que certains casseront et brûleront tout ce qu’ils peuvent – la grève des éboueurs tombe à pic, le matériel pour les barricades enflammées jonche littéralement les rues de Nantes, « il n’y a plus qu’à enflammer les tas d’ordures », d’autres en profiteront pour « niquer les bourges » en commettant des cambriolages. « C’est ça qui est intéressant : foutre assez de bordel en ville pour pouvoir se remplir les fouilles et reprendre ce qu’ils ont piqué au peuple. Et puis si on ne fait pas ça, ça n’intéresse pas les petits jeunes des quartiers », nous confie un militant. « Puis il faut du flouze pour financer le mouvement dans la durée, car on n’aura pas fait la révolution le 23 avril », complète-t-il avec cynisme. Au printemps dernier, en plus de la casse en ville, du pillage du Go Sport place Bretagne, il y a eu au moins deux tentatives de pillage de bar-tabac en marge des émeutes en ville. Les émeutiers s’étaient aussi attaqués à une sandwicherie et à un café place du Bouffay.
Le mouvement émeutier du 23 avril serait poursuivi, dès la fin des vacances, par un blocus de certains lycées. Sont concernés les lycées Monge-la-Chauvinière (quartiers nord), Camus (Bellevue), Mandela (Ile de Nantes, avec beaucoup d’élèves qui viennent de Malakoff), la Colinière (Doulon, avec beaucoup d’élèves issus de la Bottière), Jean Perrin (Château de Rezé) ou encore la Joliverie (Nantes-sud). Ils sont tous situés dans des quartiers (très) sensibles ou accueillent nombre d’élèves qui en sont issus.
Louis Moulin
Crédit photo : DR
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22 réponses à “Comment l’ultra-gauche prévoit de perturber les élections”
Pour les Français les semaines a venir risquent d’être chaudes…
Pour les patriotes ils va peut être falloir arrêter les tractages et collages d’affiches, les actions politiques et :
– passer un peu plus de temps en salle de sport
– s’inscrire dans un club de self défense
– s’inscrire aux arts martiaux ou sport de combat en complément
– s’inscrire comme chasseur ou en tir sportif
– et on oubliez pas de prévoir de faire ses courses pour plusieurs semaines d’avance… ainsi que de faire le plein de la pharmacie, de l’essence,…
Je vous conseille aussi les livres de Piero San Giorgio
Enfin chacun est libre ;o)
Purs produits d’une éducation marxiste et cosmopolite, les racailles rouges sont les dignes rejetons des « Sans-culottes » républicains, qu’ils veulent singer en ce début de siècle.
Ils ne font que reproduire les exactions des ancêtres politiques de nos actuels politiciens républicains, qui prospèrent sur notre dos. Le fonds commun idéologique qui relie tous ces gens, interdit à tout gouvernement (de droite comme de gauche) de prendre les mesures salvatrices, pour éradiquer cette plaie purulente au flanc de notre société.
Au cours des dernières décennies, les mesures de dissolution n’ont frappé que les mouvements dits d’ Extrême-droite (Jeune nation, Occident, Ordre Nouveau, Unité radicale, Œuvre française…) qui pourtant, n’ont jamais caillassé les forces de l’ordre, brulé des voitures et du mobilier urbain, ou manifesté violemment contre le tenue de meetings de leurs adversaires.
De cette situation, doit-on s’étonner quand, jour après jour, nos médias font l’apologie des désordres politiques et sociaux de notre histoire, et encensent les pourfendeurs notoires de nos institutions séculaires ? Quand nos structures pédagogiques font l’éloge de l’esprit de contestation systématique, quand elles avalisent nombres d’inepties doctrinales héritées de Mai 1968, ou inculquent l’esprit de reniement et de repentance chez nos « têtes blondes » ?
Qu’il y ait une convergence entre les gauchistes, les bandes ethniques et les asociaux , ne doit pas non plus nous surprendre. L’esprit de destruction et d’envie a toujours animé les ratés à toutes les époques.
Le général Pinochet, au Chili, avait mis au point des méthodes efficaces et exemplaires pour lutter contre l’extrême gauche, l’ouverture des stades et des voyages gratuits en hélicos…
oui nous avions également
les corvées de bois!!!!!!
Et les ancetres de Pinochet sont originaires de Lamballe.
@ Erwan
En attendant ce n’est pas l’extrême droite qui pille, vol, casse tout, tabasse et tue !!! C’est bien l’extrême gauche avec l’approbation des socialo-communistes au pouvoir et des juges rouges !!!
Ce qui est sûr, c’est que ce sont bien les Français qui puent, qu’ils soient d’extrème truc ou pas. Tous puent. Etrangers Dehors ! Ici c’est la Bretagne.
Evel just ! Les batailles entre Français n’ont rien à faire sur notre sol . Qu’ils aillent se castagner à Paris
Tout ça est déjà réalisé vous ne proposez rien de nouveau.
On manque d’ imagination à gauche ? :-D
Nous ne sommes pas de gauche. Nous sommes de fervents lesquénistes. Et, en tant qu’hommes de droite, nous rejetons toute forme de socialisme, comprenant le national-socialisme et le fascisme.
En tant que nationaux-libéraux, nous rejetons toute idéologie étatiste qui tient les Français, soit pour des assistés, soit pour des vaches à lait, pressurisés par la fonction publique obèse. Nous sommes fiers d’appartenir à un grand mouvement populaire qui s’emploie à rendre à la France son honneur et sa grandeur. Les cosmopolites ne pourront pas arrêter ce grand mouvement : la force du peuple français les obligera à reculer.
En vérité, la paranoïa et la fausse virilité des garçonnets d’extrême-droite nous amusent au dernier degré. Par leurs délires, ils font travailler les BTP, l’industrie pétrochimique pharmaceutique et l’industrie de l’armement.
Pendant que les fascistoïdes à la petite semaine claquent tout leur salaire de vigiles ou de manutentionnaires dans des futilités, les hommes de droite s’enrichissent.
Henry de Lesquen président ! De la Bretagne bien sûr ;-)
La force du « peuple lesquéniste », combien de divisions ?
20 000 membres. Loin du compte pour gagner la guerre intérieure qui se profile.
Comme tout ce qui n’ est pas conforme au « politiquement correct » vous êtes classés à l’ extrême droite, ne vous en déplaise.
Alors, pour les garçonnets d’ extrême droite, vous repasserez vous les « virils courtois » qui « s’ enrichissent » quand d’ autres s’ arment :-D
Mais vous êtes tellement supérieur aux vigiles et aux manutentionnaires que vous ne pouvez qu’ avoir raison, n’ est-ce pas ?
Laissez donc les survivalistes à leur violon d’ Ingres; chacun se rassure comme il peut dans ce monde de oufs.
Et si nous n’ obtenons pas satisfaction le 7 mai au soir il se pourrait bien que les 5 années à venir donnent toutes les raisons aux plus lucides de venir augmenter leurs rangs et vous fassent perdre votre sourire tellement supérieur…
Étant lesquéniste, nous avons hésité entre Macron et Le Pen. Ce fut un choix cornélien.
En effet, nous considérons que le libéralisme économique de Macron est meilleur que l’étatisme socialiste de Le Pen. Car nous préférons les battants qui produisent aux perdants gagne-petit qui rêvent d’une France sociale. Nous nous positionnons clairement du côté des capitaines d’industrie contre les atermoiements du lumpenprolétariat blanc, si caucasoïde soit-il.
Mais nous pensons singulièrement à la ligne conservatrice de Marion Maréchal-Le Pen pour nous rapprocher d’une frange du FN car elle est à la fois identitaire et favorable au libéralisme. Car nous souhaitons que la France reste la France et nous nous employons à restaurer son honneur et sa grandeur. Aussi sommes-nous positivement conservateurs.
En vérité, notre candidat était le ci-devant Fillon, à la fois libéral et conservateur. Mais il n’a pas été qualifié. Aussi Macron nous satisfait-il sur le plan du libéralisme, mais point sur le plan du conservatisme et la Le Pen du point de vue conservateur mais point économique.
Dés lors, il convient que Marine Le Pen fasse un score fort honorable afin d’imposer le rejet de l’immigration de masse et de la congoïdisation de la France comme des choses naturelles à la droite. Peut-être même le score élevé du FN inspirera une ligne plus prudente en matière d’immigration au funeste Macron.
Nous appelons donc à voter Marine Le Pen mais afin que la droite se durcisse et acquiert en courage, et non pour que l’extrême-droite crypto-socialiste triomphe.
Bonne résolution, bien que le cheminement intellectuel et l’ hésitation m’ interpellent.
Vous me rappelez un peu La Fontaine dans le chien et le loup.
La liberté, l’ indépendance, la sauvegarde de l’ esprit de meute promises par la louve Marine contre le gras promis par ce chien de Macron, pas pour tous les ventres, réservé à ceux à qui profite le mondialisme: les « cités monde » et le CAC40.
La marionnette Macron ne gouvernera pas. C’ est l’ homme de paille de la haute finance. Il ne possède ni la carrure ni les qualités ni les aptitudes ni la culture requises chez un homme d’ état.
Pas besoin d’ être grand clerc pour deviner qui va le faire à sa place.
La grande question à se poser c’ est combien de temps mettront les macronistes pour s’ apercevoir qu’ ils ont été grugés et que la rue devienne un champ de bataille…
Hésiter ne serait-ce qu’ un instant dans le choix de second tour est un signe d’ égoïsme chez ceux qui possèdent deux sous et de tiédeur patriotique pour un Français, de manque total de réalisme pour un Breton, futur congoïdé ou pire: oummaïdé.
Des « congoides » si c’est votre critère de choix il y en a dans les deux camps. Et ce qui divise les deux candidats est de savoir s’il faut les inclure par l’insertion ou l’assimilation. La grillle de lecture ethno-nationale est bretonne, pas française.(Re) lisez Mordrel!
De congoïdes et d’ oumma-ïdes la Bretagne n’ a pas encore fait le plein, mais la raie-publique du macroniste Le Drian, roi élu de la Bretagne, y travaille; nul doute que nous rejoindrons bientôt, avec l’ aide d’ ONG subventionnées pourries et prévaricatrices, le taux de mixité enrichissant qui frappe l’ Ile de France, le nord, l’ Alsace etc.
L’ ethno-nationalité bretonne va en prendre un grand coup. Bagadou noirs et appels du muezzin cinq fois par jour remplaceront les pardons interdits, thé à la menthe contre cidre et gwin ru, burkini pour toutes à la plage comme à la piscine.
Les touristes vont bouffer leurs chapeaux, la gauche macroniste de Bretagne va adorer.
Ce qui divise les candidats c’ est que l’ une se propose de stopper l’ immigration de masse quand l’ autre veut « construire un pont entre la France , la Bretagne et l’ Algérie » pour faire oublier un « crime contre l’ humanité ».
Quand l’ une veut durcir les lois d’ accession à la nationalité française et revenir au droit du sang, l’ autre veut les assouplir et l’ automatiser.
Quand l’ une parle d’ assimilation, l’ autre poursuivra « l’ inclusion », mantra de gauche et donc la poursuite de la libanisation, de la partition que rien n’ arrêtera selon Hollandouille.
Mordrel n’ est pas ma tasse de thé. Allié des nazis en vue d’ une hypothétique indépendance bretonne, il termine comme espion des britishs contre la nation celte.
On se doit d’ aimer la Bretagne, il y a des lignes rouges à ne pas franchir…
Macron est un bonimenteur: tout changer pour que rien ne change et surtout avec le même casting. Le Pen elle magnife tout ce qu’il y a de pire dans l’hexagonisme et qui est aussi en germe chez Macron: chauvinisme étroit, centralisme, assistanat. Le devoir des Bretons – envers leurs ancêtres et leur terre- n’est pas de choisir entre deux versions de la. France finalement pas si éloignées que cela l’une de l’autre. C’est à qui interprèterait le mieux « l’oracle républicain ». Notre devoir envers nos enfants est de préparer l’après- France. Car le vieil édifice est vermoulu.
Les Français ne peuvent pas être autre chose que des assistés puisque l’existence même de France procède de son état. L’Etat Français est une structure déresponsabilisante et infantilisante.
« Nous sommes fiers d’appartenir à un grand mouvement populaire » (Sic) Ne rêvez pas votre popularité est (heureusement) proche aussi proche de zéro que vos « analyses » politiques.
Que les Français retournent en Afrique vivre avec leurs congénères. Ici c’est la Bretagne.
Etes-vous certain que vos idées soient majoritaires en Bretagne ?
Peu importe quelle est l’idée majoritaire du moment. Dans les sociétés dites démocratiques la masse change d’opinion comme de chemise . Ce qui compte pour l’avenir de la Bretagne c’est d’avoir un noyau d’Emsaverion déterminés et intellectuellement équipés pour la relève . Car la France n’est pas éternelle et approche du naufrage final.
ceux connus devrait être assigné a résidence pendant les élections ,des abrutis de moins a semer la pagaille et a faire peur aux électeurs