18/03/2017 – 09H00 Nantes (Breizh-info.com) – L’association EACEP (Ensemble, agissons contre l’exclusion parentale) lance une campagne d’accrochage de banderoles sur les ponts du périphérique de Nantes le samedi 25 mars 2017 de 10h à 18h et un rassemblement de 15h à 19h devant le T.G.I dans la foulée.
L’association ‘Ensemble, agissons contre l’exclusion parentale’ a pour but de lutter contre toutes formes d’exclusion parentale (aliénation parentale, éloignements géographiques, placements abusifs, non représentation d’enfants..) après une séparation ou un divorce.
Le but de cette action sera d’alerter l’opinion publique mais aussi d’interpeller les candidats à la présidentielle. « 40 banderoles seront disposées sur le périphérique de Nantes, par séquence, pour faire passer un message alarmant d’un scandale d’état. » explique Delphine Boulois, la présidente.
« La situation de la justice familiale et de ses millions d’usagers est catastrophique et indigne d’un pays comme la France : 20% des enfants de parents séparés ne voient plus du tout l’un de leurs parents (étude INED 2013), procédures interminables, ruineuses, et à répétition. Les enfants en sont les premières victimes…920.000 enfants ne voient plus 1 de leur parent ».
L’association reproche le fait qu’aucun changement ne soit intervenu depuis dix ans sur la matière familiale, le divorce et « l’enlèvement légalisé de nos enfants »
Selon l’association, l’exclusion parentale occasionnerait 1000 suicides par an.
D’autres actions sont prévues dans la foulée à Caen et à Marseille notamment.
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5 réponses à “Nantes. Une action contre l’exclusion parentale le 25 mars”
C’est fabuleux que ces actions continues et bien visibles pour le grand public !
Car… ça n’arrive pas qu’aux autres ! Croyez-moi !
OUI… ÇA VOUS PEND AU NEZ !!!… à vous… citoyens… si vous avez des enfants !
La »fonction parentale » traditionnelle de former les Enfants en futurs »bons citoyens » se voit — depuis des lustres (40 ans ?) — fragilisée, voire même anéantie (n’ayons pas peur de le dire) par la culture conflictuelle ambiante qui laisse libre court aux nombreuses ruptures conjugales, où des Enfants sont victimes de dégâts psychologiques importants, dès qu’ils sont – à la suite de dysfonctionnement au sein de la famille, et ce, au cours du conflit de couple de leurs Parents (Triangulation, aliénation parentale, manipulation-destructrice) – privés de la relation affective d’un de leurs Parents,
Ces »dysfonctionnement » ambiants, en grand nombre (500.000 cas depuis 1990, en Belgique ?) précarisent, détruit, ôte,… la bonne fonction parentale, et ce, particulièrement dans un contexte de »fragilité narcissique de l’adulte » qui fut élevé de manière toxique, par sa mère, ou par son père, lors des conflits de séparations et de divorces…
De nombreux jeunes enfants, et adolescents sont donc éduqués, depuis tant d’années, dans de tels climats d’hostilités envers leurs pères — ou leurs mères — c’est selon ; et où ces enfants, manipulés de manières toxiques, rejettent, haïssent,… l’un de leurs Parents ; ce qui leur provoque des formes (exemples / imitations) d’éducations toxiques.
Depuis des années, on a pu constater, en réseaux, que des pères de familles, ayant été — eux-mêmes — des enfants du divorce, et n’ayant pas — eux-mêmes — connu leurs pères, ou leurs mères (en moindre nombre) lesquels pères (ou mères) reproduisent, dans leurs couples, les mêmes formes perverses de »manipulation-destructrice » (aliénation parentale, syndrome de Médée, triangulation, famille dysfonctionnelle active,…) qu’ils ont apprises de leurs mères, (ou bien de leurs pères) au cours de leurs jeunesses…
Nous avons donc rencontré de plus en plus de citoyens au profil »d’adolescents-attardés », au lieu de »bon pères de famille » traditionnel, éduqués aux »bons savoir-être », »savoir-faire », et »savoir vivre ».
Mais le constat est aussi porté sur de plus en plus de pervers-narcissiques, psychopathes — tant hommes que femmes – qui arrivent à pourrir la vie et l’avenir de braves et honnêtes citoyens, parents attentionnés, qui sont, par milliers, privés injustement de leurs enfants sous de simples accusations sans preuve, et où la (prétendue) justice les estime réelles, selon leur faculté d’appréciation… alors que ces Parents faussement accusés, ne sont ni négligents, ni maltraitants envers leurs enfants…
C’est bien le constat que, n’ayant pas eu, jusqu’à présent, la possibilité de fortifier la justice… on a bien réussi… au fil du temps… à fortifier la force du mensonge…
Oui, en réseaux internationaux, (sur plus de 2,5 millions de plaintes) nous avons constaté plus de 90 % de fausses accusations lors des conflits de séparations et de divorces.
Cela concorde (ou peut correspondre) avec le résultat de la bonne pratique de Cochem (modèle de consensus 1993) où le taux d’échecs est de +- 5 %, le taux de résolutions des conflits étant de +- 95 %. Quand au taux de résidence alternées, il approche les 100 %.
D’autre part, rappelons-nous que la »socialisation » d’un individu est le processus par lequel sont transmises les valeurs, les codes symboliques, les règles et les normes partagées, par la famille, (et par le groupe sociétal) , et qui permet à chaque individu de s’y intégrer.
Pour trouver une place dans la famille, et dans la société, l’être humain doit également découvrir son individualité, ce qui le rend différent, et unique.
C’est donc un »tissage » subtil entre »adaptation » et »affirmation » de soi.
Pour l’enfant, ce long chemin de »construction » commence pendant la grossesse et va se prolonger à la naissance, et au cours de sa vie : par le toucher, les paroles du papa, le regard de la maman, les écoutes actives… et les marques d’affection.
Quand aux parents, leur désir est de voir leur enfant grandir de manière la plus excellente qui soit. Ces premières expériences ouvrent l’enfant au monde et l’inscrivent dans la communauté des humains.
Ce qui est de moins en moins le cas, lors des conflits de ruptures conjugales de leurs parents…
(Michel O. WILLEKENS – Comité de Défense des Droits Parentaux 1994 – Approche de 15.000 parents privés injustement de leurs enfants)
Ce que nous avons pu constater chez des enfants négligés (graves négligences), ou maltraités (de manières graves) lesquels enfants ont été retirés de la garde de leurs parents, et dont certains ont été placé dès l’âge de 6 à 8 mois, et bien, ces enfants n’ont… à nos connaissances, jamais rejeté leurs pères ou leurs mères, comme dans les situations où les »enfants impliqués dans les conflits de ruptures conjugales de leurs parents » rejettent, haïssent, et souhaitent même la mort de leurs pères ou mères…
Il fallait que je précise cela, car il est difficile pour quelqu’un qui ne connaît pas les effets (et les réactions destructrices sur la santé des enfants) résultant des »manipulations-destructrices » particulières de parents, telles le »Syndrome d’ Aliénation parentale » (SAP), le »Trouble d’Aliénation Parentale » (TAP), l’Aliénation Parentale (AP), le »Syndrome de Médée » (SDM), et autres appellations utilisées par divers médecins spécialistes de la santé mentale…
Alors, dans les divers cas, que j’ai désignés ci-dessus, les enfants sous emprises (aliénés) sont dans des situations de conflits d’intérêts tels que bon nombres d’entre eux arrivent même à se suicider… même étant adultes, à l’âge de 30 ans et plus…
Il est très urgent de légiférer afin d’éviter les destructions de familles… car, en France, plus de 3 millions de familles sont ainsi détruites… où il n’existe plus de solidarité familiale…
La Famille est pourtant le ciment de la Société… que l’on dit… mais celle-ci perd, petit à petit, sa solidité… et ça coûte très cher à la collectivité !
Michel Willekens 20 octobre 2014 à 15 h 49 min
L’enfant séparé de son père, ou de sa mère souffre ! Mais sa souffrance ne se voit pas…
On a beau dire qu’il est bien où il est… ou bien que l’on ne peut pas forcer un enfant de 13 ans (par exemple) de voir son père ou sa mère…
Mais je connais bien le cas d’une fille aliénée par son père, qui ne voyait plus sa mère depuis des années, et qui, à 16 ans, a commis des actes de vandalisme… et qui a failli être colloquée pour des troubles psychiatriques… Un Policier a même dit qu’à 18 ans elle irait en Prison !
On sait bien que plus de 80 % d’adolescents délinquants sont privés de pères, ou de mères… vivant sans repères…
Quand donc allons-nous voir fonctionner… chez nous… une bonne pratique de gestion de conflits de ruptures conjugales des parents de ces enfants ?
Depuis plus de 30 ans, le »Modèle de Cochem » permet, actuellement, d’approcher les 100 % de »Résidences alternées » (Loi française du 4/3/2002)…
Alors, c’est pour quand une telle bonne pratique chez nous ?
Des millions de familles détruites sont donc toujours victimes de souffrances incurables… parce qu’aucune loi décente ne voit le jour pour éviter ces destructions de familles, en cause, le »Syndrome d’aliénation parentale » (Gardner 1986) ; de »Syndrome de Médée » (Wallerstein et Blakeslee 1989) ; souffrent de »Parentectomie » (Williams 1990) ; d’ »Aliénation parentale » (Darnall 1997) ; ou d’autres appellations de »Troubles » et »Symptômes » de l’aliénation parentale… c’est selon… à défaut d’une juridiction, et de juges, qui travaillent au plus près de la bonne pratique de gestion de conflits : le »Modèle de Cochem » (qui existe depuis près de 30 ans) qui permet de tuer dans l’oeuf les conflits… il y aura toujours des parents qui seront victimes de »Parentectomies » et d’enfants victimes d’ »Aliénation parentale » !
Enfin, le fait, pour un parent gardien, d’empêcher un enfant… ou à lui interdire… de voir son deuxième parent… le fait, pour un parent gardien, de lui dire des choses méchantes sur son autre parents,… cela provoque un Trouble d’aliénation parentale (TAP inscrit dans le DSM5), ou la non-représentation d’enfants, que ces troubles de dysfonctionnements dans les familles en conflit de ruptures conjugales (voir la Triangulation depuis 1950)… et où le »Syndrome de Médée » apparaît… alors… (1) »cela provoque une réaction destructive très grave avec impact négatif majeur sur la santé des enfants… qui vont jusqu’à se suicider… même à l’âge adulte ! Mais cela provoque aussi des dégâts sur la santé des parents privés injustement de leurs enfants !
Nous avons donc besoin d’une nouvelle législation qui est nécessaire afin de décourager ce comportement et de mieux protéger les victimes. »
(1) Pr Antonio Andreoli – Service de psychiatrie de liaison et d’intervention de crise
HUG, 1211 Genève 14 – Revue Médicale Suisse : http://rms.medhyg.ch/numero-236-page-340.htm
Nous devons agir, si nous sommes humains !