05/01/2017 – 08H00 Paris (Breizh-info.com) – Le 30 novembre 2016 était dévoilé le rapport sur la vaccination du Comité d’orientation de la concertation citoyenne sur la vaccination. Ce rapport préconise notamment un élargissement temporaire de l’obligation vaccinale de l’enfant à onze maladies contre trois actuellement ( la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite) mais aussi l’instauration d’une clause d’exemption à cette vaccination, finalement peu médiatisée, y compris par les opposants à la vaccination obligatoire.
Les huit autres maladies pour lesquelles le vaccin est aujourd’hui « recommandé » et que le comité d’orientation propose de rendre obligatoires sont : coqueluche, haemophilus influenzae de type B, hépatite B, rougeole, oreillons, rubéole, tuberculose et infections à pneumocoque. Le comité souhaite regrouper tous ces vaccins, et les inclure sous forme d’une ou plusieurs piqures ( le nombre n’a pas été donné dans le rapport) et de le rendre « temporairement » obligatoire, totalement remboursé par la Sécurité sociale « jusqu’à ce que les conditions soient réunies, à terme, pour une levée de l’obligation.».
Les préconisations insistent aussi sur le fait que ces vaccins devraient être disponibles ; une des raisons de la défiance croissante d’une partie de la population vis à vis de la vaccination résulte en effet dans l’indisponibilité du vaccin DTP notamment.
La clause d’exemption supprimée si trop de demande
Le rapport propose également que les parents qui ne souhaitent pas faire vacciner leur enfant bénéficient d’une clause d’exemption, motivée par leurs convictions. Ils devront signer un document écrit, courant le risque de voir leur enfant refusé à la crèche ou à l’école. Dans les faits, c’est ce que réclament de nombreux parents et associations depuis fort longtemps. Toutefois, l’ambiguïté dans ces préconisations réside dans les propos tenus – hors rapport – par Alain Fischer, président du Comité d’orientation , médecin et professeur d’immunologie pédiatrique et titulaire de la chaire de Médecine expérimentale au Collège de France. Ce dernier a en effet déclaré, sans chiffrer la chose que, si elle était trop utilisée « cette clause serait supprimée ». Une suppression qui pourrait avoir lieu également en cas de menace endémique forte.
Etonnant donc de proposer une telle clause à la condition que peu de parents s’en saisissent.
Tant que le Ministère de la Santé n’a pas pris de décision et annoncé de mesures concrètes et chiffrées (on parle d’un coût de 150 millions d’euros pour la Sécurité Sociale avec le remboursement de ces vaccinations) difficile de s’y retrouver pour les parents. Ces derniers sont très souvent perdus entre des partisans de la vaccination généralisée qu’il peut être parfois difficile de suivre eu égard des nombreux scandales ayant frappé le domaine de la Santé ces dernières années (et des intérêts économiques en jeu), et des opposants dont une partie use de méthodes médiatiques contestables et contestées (une vidéo a circulé en décembre laissant à penser qu’un enfant subirait onze piqures, ce qui n’est pas vrai).
N’y aurait-il pas un juste milieu à trouver là dedans pour éviter dans la fausse rumeur d’un côté et dans les conflits d’intérêts économiques et médicaux de l’autre ? Le fait qu’aucune voix scientifique ou médicale dissonante, comme celle du Professeur Joyeux par exemple, n’ait été invité à prendre part au Comité d’orientation ne manque pas d’interroger par ailleurs …
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3 réponses à “Concertation sur les vaccins : la faible médiatisation de la proposition de clause d’exemption”
Cet article ne parle pas de l’indemnisation des victimes de cette vaccination qu’il y aura obligatoirement: c’est prévu, mais par la « solidarité nationale » et non par les fabricants de vaccins. L’aluminium de ces vaccins est toxique comme l’a prouvé le professeur Gherardi: voir https://www.sante-corps-esprit.com/vaccins-verite-etouffee/ . Pour être renseigné sur cette arnaque scandaleuse, voir http://www.pure-sante.info/vaccins-situation-explosive/?utm_source=facebookPurst&utm_medium=sponsoris%C3%A9&utm_campaign=petitionVaccins et signer la pétition à la ministre de la santé.
la pétition à eue pour seule effet de faire exclure le lanceur d’alerte, le P° Joyeux, qui est désormais interdit d’exercer! non seulement le dtp n’est toujours pas remis en circulation, et est pour ceux qui réussissent à se le procurer à l’étranger, bourré d’aluminium, mais big pharma, a réussit à convaincre cette connasse de touraine qui n’y connait rien, de lancer cette campagne stupide de super vaccination, et ce avec l’aide de « spécialistes » payés par big pharma, c’est dire leur « intégrité »!
C’est le comble du cynisme de promouvoir un véritable totalitarisme comme préalable à une improbable liberté !