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Cinéma. 7 films à voir ou à revoir sur la Drogue

Breizh-info vous propose une chronique hebdomadaire intitulée « 7 films à voir ou à revoir » et réalisée par Virgile pour le Cercle Non Conforme, qui nous a donné son accord pour reproduire le texte.

Cette semaine, 7 films à voir ou à revoir sur le thème de la drogue.

Et si la drogue venait à disparaître ? En Amérique du Sud, en Asie, la production de cocaïne, héroïne et cannabis connaît une baisse constante. Certes, de nouvelles drogues font leur apparition mais, globalement, la tendance se révèle être à la baisse. La lutte contre les cartels de Colombie et du Mexique semble enfin porter ses fruits tandis que les pressions internationales s’accentuent sur les pays producteurs du centre asiatique dont les gouvernements semblent prendre le problème à bras le corps. Egalement dans le reste du monde. Moyennant contreparties, ça aide… A l’exception de l’Amérique du Sud et contre toute attente, les producteurs de stupéfiants n’opposent pas la résistance la plus farouche. Plus particulièrement en Afghanistan, au Pakistan, en Iran, en Turquie, en Egypte, au Maroc, au Kenya, au Burkina Faso ou au Nigéria. Oh !… pas par philanthropie rassurez-vous ! Quelles sont les nouvelles marottes des narcotrafiquants ? Le trafic d’armes ? Trop cher et dangereux ! La fausse monnaie ? Les organes ? Trop contraignant ! Non, le top du top, le nec plus ultra aujourd’hui, c’est le trafic d’êtres humains. La prostitution direz-vous alors ? Mais c’est que ça coûte cher de loger, nourrir et soigner des damoiselles.

Quel trafic d’êtres humains alors ? Curieuse coïncidence ? Les Etats mentionnés plus haut calquent quasi-parfaitement ceux concernés par le déferlement migratoire, pays d’émigration ou de transit, qui sévit et s’accentue sur notre vieux continent. C’est pratique des migrants. Pas de stockage, pas de coûts de production. Juste quelques frais logistiques et encore… la marchandise n’est pas regardante. Etablir ce lien est-il signe de pensée démente ? En réalité, pourquoi les trafiquants se priveraient-ils d’abandonner les trafics traditionnels pour d’autres transactions tout aussi juteuses et moins risquées ? Car les nouveaux clients des dealers ne sont autres que les nouvelles élites négrières. Avouons que ça change du junkie obligé de faucher un téléphone pour se payer sa dose ! Gouvernants et financiers se délectent de voir arriver la marchandise en quantités toujours plus importantes. Les autorités sont même prestement dépêchées pour recueillir le fruit illicite des nouvelles routes de trafics internationaux. C’est un peu comme si les douaniers du port de Marseille accouraient, sourire aux lèvres et bras grands ouverts, pour demeurer ébaubis devant des containers débarquant moult cocaïne et résine de cannabis. Les migrants sonneront peut-être le glas de la came…

Et si la drogue venait à disparaître, arrêterions-nous pour autant d’être tous des toxicomanes en puissance ? Car si la drogue est un produit de synthèse, que d’autres sont les additifs alimentaires comme la cellulose microcristalline E460 contenue dans cette délicieuse saute risotto que vous appréciez tant ou l’acide benzoïque E210 qui fait de vos raviolis préférés un véritable délice pour vos papilles ? Le junkie du coin de la rue est juste un peu plus drogué que les autres… Il est même finalement plus traditionaliste ou conservateur ! Plus de dealers, plus de drogues, l’empoisonnement légal est devenu obligatoire ! Tels des hackers qui conceptualisent des virus pour mieux vendre l’anti-virus, Monsanto crée des cancers qu’entretient Bayer, bailleur de fonds du nouveau cartel supranational qui se dessine. Bayer rachète donc Monsanto.

Si Pablo Escobar avait épousé Al Capone, on ne serait qu’à des années lumières de ce mariage criminel. La lune de fiel, c’est vous qui la payez ! Récapitulons ! Des trafiquants convoient des migrants pour travailler à bas salaire dans des usines, pour certaines participant de l’empoisonnement général de la population mondiale. La boucle est bouclée. Schéma simpliste ? Tant pis ! Snif…

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L’HOMME AU BRAS D’OR

Titre original : The Man with the golden arm

Film américain d’Otto Preminger (1955)

A Chicago, Frankie Machine est croupier dans le tripot clandestin de Schwiefka. Sa femme Zosh demeure prisonnière de son fauteuil roulant, les deux jambes paralysées, après un accident dont le croupier est responsable. Evidemment, elle ne manque pas de lui en vouloir. Pour s’extirper de son infernal quotidien, Machine a sombré dans la dépendance à la morphine. De retour dans le foyer après une énième cure de désintoxication, il manifeste un désir ardent de changer de vie et devenir batteur dans un orchestre de jazz, après s’être essayé à l’instrument en cure. Mais le toxicomane a le plus grand mal à décrocher ; tenu qu’il est par son dealer Louïe auprès de qui il a contracté des dettes. Par ailleurs, Machine se sent de plus en plus troublé par sa voisine Molly qui tente de lui venir en aider pour un sevrage total. Sentant son mari s’éloigner, Zosh voit d’un mauvais œil les ambitions artistiques de son mari qui l’éloignerait du domicile, de même que son rapprochement avec la voisine…

Adaptée du roman de Nelson Algren, l’œuvre de Preminger est la première grande production hollywoodienne à évoquer le sujet de la toxicomanie et les ravages qu’elle engendre. La drogue, ce sujet alors tabou aux Etats-Unis… C’est sans surprise que la censure y mit sa pincée de poudre en refusant le visa de sortie d’un film jugé immoral. Un film qui a bien évidemment vieilli au regard des productions contemporaines. L’Homme de Preminger montre une vision trop feutrée des prises de drogue et la réalisation sombre trop souvent dans le mélodrame le plus effroyable. Il n’en reste pas moins que sont tout simplement génialissimes les séquences de sevrage du héros, magistralement interprété par Frank Sinatra dont l’investissement fut total. Une valeur sûre du cinéma noir américain à la mise en scène brillante.

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LAS VEGAS PARANO

Titre original : Fear and loathing in Las Vegas

Film américain de Terry Gilliam (1998)

1971, le journaliste Raoul Duke roule en direction de la ville du péché, accompagné de son avocat Maître Gonzo. Duke est chargé par sa rédaction de couvrir la célèbre course de motos des 400 miles qui se double d’une grande fête populaire. Les deux acolytes sont effectivement parfaitement disposés à goûter à tous les plaisirs stimulants, emmenant avec eux un large panel de stupéfiants: cocaïne, marijuana, poppers, mescaline et autres psychotropes. Profondément immatures, l’avocat et le journaliste refusent la mort de l’Amérique insouciante des années 1960 et le retour d’un certain puritanisme. Défoncés aux acides, le duo ne manque pas d’attirer l’attention sur eux dès leur arrivée à l’hôtel. Leur état ne s’améliore guère le lendemain et jour de la course. Pénible est le réveil au troisième jour, à plus forte raison lorsque Duke constate que la chambre d’hôtel est saccagée et que Gonzo a repris l’avion en direction de Los Angeles. Duke prend la fuite à son tour mais la police a tôt fait de le rattraper…

Séparé des Monty Python, Gilliam passe seul derrière la caméra et entreprend l’adaptation au cinéma du roman Fear and loathing in Las Vegas : A savage journey to the heart of the American dream de Hunter S. Thompson. Si Johnny Depp et Benicio del Toro se montrent à la hauteur et sauvent la réalisation du naufrage total, Las Vegas Parano ne réjouira que les bas de plafond se complaisant dans cette succession fatigante de délires hallucinatoires de peu d’intérêt. Le film ne manque pourtant pas d’égratigner le consumérisme et l’impérialisme américain au Viet Nâm, mais le tout est noyé dans un psychédélisme confus et outrancier. Cuisant échec commercial lors de sa sortie, le film devint culte peu après pour une raison que le cinéphile ignore. La bande originale, en revanche, vaut un long détour jusque la Cité du vice.

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MARIA, PLEINE DE GRÂCE

Titre original : Maria full of Grace

Film américano-colombo-équatorien de Joshua Marston (2004)

Elle est belle Maria, cette jeune colombienne de 17 printemps ! Elle est belle et elle se désespère d’étouffer dans sa petite ville de la banlieue de Bogota. Maria Alvarez est tellement belle qu’elle n’aura pas tardé à succomber à l’amour. Maria est belle et enceinte de trois mois d’un piètre mécanicien peu enclin à se soucier de son avenir. Maria vit chichement dans une petite maison surpeuplée de rien moins que sa mère, grand-mère, sœur et son neveu. Au sein de la maison, notre Cendrillon latina est exploitée par sa famille avec les tâches ménagères autant que par son employeur dans la plantation de roses dans laquelle elle travaille. Maria n’a qu’un rêve : fuir sa vie pour en commencer une autre. Elle rencontre Franklin et Javier. Les deux hommes constituent une fantastique opportunité pour aider la belle à quitter la Colombie. Mais Javier est un narcotrafiquant qui transforme Maria en mule, chargée de convoyer aux Etats-Unis 70 boulettes de cocaïne dans son estomac. Elle est belle Maria…

Au péril de leur vie, les mules franchissent les douanes l’estomac chargé de sachets compressés de cocaïne. La moindre fissure de l’un d’eux, et c’est l’overdose assurée. Le moindre doute des douaniers, et ce sont de longues années passées à l’ombre des barreaux. L’on sent immédiatement que le réalisateur américain n’a pas pris le sujet à la légère et ne manqua pas de recueillir de nombreux témoignages pour augmenter la crédibilité de son film. Et c’est parfaitement réussi ! Cette réussite, on la doit aussi à la gracieuse Maria, pleine de Grâce. Et puisque Maria est belle, citons Catalina Sandino Moreno qui campe brillamment son rôle de jeune femme aussi libre que fragile et innocente, et rêveuse d’une autre vie. La scène lors de laquelle Maria ingurgite, selon un processus strict car vital, chaque boulette de cocaïne qui va accompagner plusieurs milliers de kilomètres durant son fœtus, est une merveille de cinéma. Un film d’une force extraordinaire à voir absolument.

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OUBIER PALERME

Titre original : Dimenticare Palermo

Film italien de Francesco Rosi (1989)

Carmine Bonavia se déclare candidat à la mairie de New York. La lutte contre le trafic de drogue constitue le thème principal du candidat d’origine sicilienne. Au cours de sa campagne électorale, Bonavia rencontre Gianna, une jeune journaliste italienne qui lui suggère au contraire de mener son combat contre la drogue par le prisme d’une légalisation qui ruinerait la Mafia. De même, Gianna lui conseille de se rendre à Palerme. Immigré de la deuxième génération, Bonavia n’a d’ailleurs pas oublié ses racines îliennes. Aussi, l’homme politique décide-t-il de joindre l’utile à l’agréable en suivant les conseils de la journaliste et en profitant des charmes palermitains lors de son voyage de noces avec sa jeune épouse Carrie. Le piège tendu par Gianna se referme sur Bonavia bientôt accusé du meurtre d’un jeune vendeur de fleurs. Tenant entre ses mains la carrière politique de Bonavia, Cosa Nostra enjoigne au candidat d’accepter un marché…

Valeur sûre du cinéma transalpin, Rosi est au crépuscule de sa carrière lorsqu’il transpose à l’écran le roman éponyme d’Edmonde Charles-Roux. Cinéaste engagé, le caractère du réalisateur s’émousse dans cet avant-dernier long-métrage. Plusieurs curieux raccourcis mêlés à quelques invraisemblances gâchent quelque peu un film puissamment porté par la musique d’Ennio Morricone. L’idée est pourtant plaisante : un métrage sur la drogue et la Mafia qui se double d’une quête identitaire d’un homme déraciné souhaitant renouer avec l’île que son père a quitté pour s’extirper du contexte lourd de violence qui gangrène la Sicile. L’on s’y perd quand même un peu parfois et le thème de la Mafia est mieux traité dans nombre d’autres films. Palerme est en revanche superbement représentée par le cinéaste. Pas le meilleur Rosi mais du Rosi quand même.

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REQUIEM FOR A DREAM

Film américain de Darren Aronofsky (2000)

Héroïnomane notoire, Harry Goldfarb ne fait rien de ses journées qu’il laisse filer en compagnie de sa petite amie Marion et de son ami Tyrone. Perpétuellement dans le nirvana, le trio espère une vie meilleure, très différente de celle qui se dessine à court terme tant il s’enfonce toujours plus dans le désespoir. En matière d’addiction, Harry est allé à bonne école. Sara, sa mère, souffre d’une autre drogue : la télévision. Veuve depuis de nombreuses années et vivant seule à Coney Island, elle n’a pour seul compagnon que son petit écran. Sara en est certaine ! Elle participera un jour à son émission préférée. Afin d’épouser au mieux les codes esthétiques de la télévision, la mère juive s’astreint à un régime draconien, composé de pilules amphétaminées, pour revêtir le jour J sa plus belle robe rouge. Les rares sorties de Sara l’amènent chez le prêteur sur gage. Elle aime son fils bien que celui-ci ne cesse de déposer son écran chez le prêteur pour se payer ses doses. Chacun à leur manière, ils vont connaître l’enfer…

Là encore, le réalisateur s’inspire d’un roman, cette fois-ci de Hubert Selby. Clint Mansell signe une des meilleures musiques de tous les temps pour ce film merveilleusement sordide ! Qui a vu Requiem en conserve un souvenir indélébile. Jamais le détail de l’existence explosivement terne d’un drogué n’a été montré avec autant de force que par Aronofsky qui use et abuse de tous les effets stylistiques modernes du cinéma. Rien ne semble pouvoir détourner les protagonistes de l’abîme destructeur dans lequel ils plongent progressivement. Les corps se désirent puis se décharnent. Marion se prostitue pour une simple dose. Le sang ne coule plus dans le bras gangréné de Harry. Sara s’inflige les pires tortures pour quelques minutes de gloire espérées à la télévision. La dernière demi-heure est un sommet hallucinant et hallucinatoire du cinéma. Bref un film magistral et éprouvant sur la toxicomanie au point qu’il demeure un sujet d’étude en faculté de psychologie.

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TRAINSPOTTING

Film anglais de Danny Boyle (1996)

Edimbourg dans les années 1990. Au chômage, Mark Renton a l’existence confuse de tout junkie qu’il est. Il peut difficilement compter sur ses amis pour le remettre dans le droit chemin. Lors de ses moments de lucidité, il se dit qu’il lui serait profitable de se séparer d’eux : Spud, un crétin encore plus héroïnomane que lui, Sick Boy le fan de James Bond, Tommy, ex-gars bien sous tous rapports, qui sombre dans la drogue maintenant qu’il a été plaqué par sa petit amie et Begbie. Si ce dernier est clean niveau drogue, il compense par une alcoolémie aiguë et d’inqualifiables crises de démence violente. Oui, pour Renton, décrocher de la drogue est synonyme de se séparer de ses douteux camarades. Tant bien que mal, le renaissant parvient à se sevrer et découvre d’autres plaisirs auprès de Diane, lycéenne délurée. Découvrant qu’elle n’est âgée que de quinze ans, Renton veut la quitter mais l’adolescente menace de le dénoncer. Autre vie, autres ennuis qui se cumulent bientôt aux précédents. Car le démon de l’héroïne réapparait…

Quand il n’a rien de mieux à faire, un trainspotter, ferrovipathe en français, observe les mouvements de locomotives et wagons dans les gares. Irvine Welsh est l’auteur du roman éponyme transposé à l’écran par Boyle qui lance la carrière d’Ewan McGregor au cinéma. Faisant s’alterner comédie et voyeurisme tragique, le cinéaste dépeint le quotidien d’une fine équipe de toxicomanes dans une Ecosse désenchantée, touchée de plein fouet par le chômage. L’on rit souvent à la vue de ces pieds nickelés finalement plus bêtes que méchants. Et l’on ressent un profond malaise en voyant le corps bleu de ce bébé mort faute de soins d’une mère qui ne fut pas héroïne. Lorsque le réalisateur se rend coupable de présenter le shoot comme un orgasme multiplié par mille, c’est pour mieux faire redescendre le spectateur à la glauque réalité. Un film dur, fort bien fait et sans concession. De New Order à Blur, la bande originale sonne bien.

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UN MAUVAIS FILS

Film français de Claude Sautet (1980)

Bruno Calgagni rentre en France après un long séjour de six années aux Etats-Unis. Condamné là-bas à cinq ans de pénitencier pour trafic d’héroïne, il n’aura guère eu le temps de faire du tourisme. Sa pauvre mère n’aura pas survécu à la douleur d’un fils emprisonné. Dès son atterrissage à Roissy, il est informé par la police des contrôles auxquels il devra se plier. Ouvrier dans le bâtiment, son père René accueille bon gré mal gré Bruno au sein du foyer familial parisien mais la situation se dégrade aussitôt ; le paternel accusant le fils du suicide de son épouse. Sur le chemin de la repentance, Bruno trouve un emploi temporaire de manutentionnaire. C’est ensuite dans une librairie que Bruno travaille. La librairie, tenue par l’homosexuel Adrien Dussart, réinsère plusieurs toxicomanes. Bruno y fait la connaissance de Catherine. Un soir de déprime, le couple replonge…

Du grand cinéma français ! Sautet nous avait habitué à croquer la bourgeoisie avec la plus grande acerbité. Il s’attache désormais au prolétariat. Que dire de ce film si ce n’est qu’il est tout ce que le spectateur recherche ? Profond, sobre, touchant, bien filmé, bien joué. Yves Robert est magistral, Jacques Dufilho extraordinaire et le couple Brigitte Fossey – Patrick Dewaere fonctionne à merveille. Un rôle malheureusement de composition pour le plus grand écorché vif du cinéma français adulé par ses compatriotes, détesté par l’intelligentsia culturelle et la critique. Au point que son nom fut supprimé de la distribution du film dans plusieurs journaux et remplacé par les initiales P.D. Dewaere avait commis le crime de lèse-majesté de frapper un journaliste qui l’avait trahi et révélé le secret de son prochain mariage. Raison de plus pour aimer Dewaere !

Virgile / C.N.C.

Note du C.N.C.: Toute reproduction éventuelle de ce contenu doit mentionner la source.

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Une réponse à “Cinéma. 7 films à voir ou à revoir sur la Drogue”

  1. Erwan Leubreuton dit :

    Bheu…. l’ecriture est lourrrrde, mais lourrrde, d’ailleurs quelqu’un peut m’epliquer cette phrase par exemple: « Dès son atterrissage à Roissy, il est informé par la police des contrôles auxquels il devra se plier », pour moi ça ne veut rien dire.. (ah et j’ai adoré LasVegasParano, d’ou peut etre une certaine mauvaise foi de ma part, apres il est bizarre je dit pas)

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