27/09/2016 – 07h30 Nantes (Breizh-info.com) – Alors que Nantes est – comme de nombreuses grandes villes françaises – de plus en plus prisée par de nombreux immigrés clandestins, un collectif d’associations et de syndicats subventionnés par le contribuable demande à la mairie l’ouverture d’un centre d’accueil pour ces clandestins.
Cible privilégiée par les associations de défense des clandestins : le presbytère de l’église Saint-Médard, à Doulon. La paroisse s’était d’ailleurs récemment opposée à l’expulsion des immigrés qui y vivent – et dont certains sont parfois aperçus se livrant à différents trafics, en plein coeur du Nantes historique. La capacité d’hébergement serait de 60 à 80 places maximum, même si, les associations le reconnaissent, des centaines d’immigrés clandestins vivent à Nantes dans la rue ou dans les squats, sans jamais faire l’objet de procédures d’expulsion.
Actuellement, dans le presbytère, vivent des hommes célibataires, mais aussi des mineurs isolés étrangers, incités à venir ici car ces associations se sont spécialisées dans des ouvertures de squats illégaux, sans jamais être inquiétées par les autorités.
Parmi les soutiens à ce projet, on retrouve notamment l’Intersyndicale départementale (CGT, CFDT, Unsa, FSU, Solidaires) dont certains adhérents se sont montrés pour le moins surpris, « Le syndicalisme, c’est fait pour défendre les travailleurs français non ? Au moins Force Ouvrière ne rentre pas dans cette mascarade », nous confie l’un d’entre eux.
On retrouve aussi France terre d’asile, dont le président Pierre Henry accusait récemment les migrants afghans d’agresser des Africains à Paris. Cette association a récemment hébergé un réfugié afghan recherché alors qu’il était suspecté de vouloir commettre un attentat sur le sol français.
Les autres soutiens à l’immigration : le Logis Saint-Jean, Emmaüs 44, le Dal, L’Association santé migrants de Loire-Atlantique, la Ligue des droits de l’homme, AC !, La Confédération syndicale des familles, le Gasprom, le Mrap, le Goût des autres, l’Anade, Réseau éducation sans frontières, le collectif de soutien aux expulsés(e) de la rue des Stocks, le collectif de soutien aux Mineurs isolés étrangers, le Collectif d’accueil des réfugiés de La Montagne,
A Paris, plusieurs centres pour migrants vont être ouverts à différents endroits de la capitale, sans qu’Anne Hidalgo, la maire (PS), n’ait consulté la population ou les élus de droite de certains arrondissements.
Photo : DR
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