Cependant, son traitement en France est, lui, tout récent. C’est en effet le 20 juin 2016 que Le Monde puis Le Point s’émeuvent des conclusions de ce travail scientifique qui conclue que le QI moyen français a baissé de 3,8 points entre 1999 et 2009. De 101,1 à 97,3 en 10 ans.
3,8 points, cela parait peut-être ridicule. En fait, il s’agit d’une baisse énorme à l’échelle d’un pays comme la France. C’est une baisse d’autant plus importante qu’il s’agit d’une première. Le QI moyen était en effet constamment à la hausse depuis le début des tests en Europe.
Les QI moyen en hausse : l’Effet Flynn
Cette hausse constante du QI moyen au XXe siècle est connue sous le nom de « l’Effet Flynn » et a d’abord été étudiée aux États-Unis d’Amérique puis dans toute l’Europe occidentale. L’ensemble de la documentation sur cette hausse constante du QI moyen des peuples occidentaux a été réalisée par le chercheur néo-zélandais James R. Flynn qui a donné son nom à ce phénomène.
Cependant, en Norvège, Danemark, Royaume-Uni, Suède, Pays-Bas et Finlande, diverses études montrent une baisse visible du QI moyen entre les années 80 et 2000.
Selon les conclusions de Dutton et Lynn, le QI moyen en France aurait lui aussi baissé de 3,8 points entre 1999 et 2009.
A noter que des critiques très solides de l’Effet Flynn ont été produites, par exemple sur le blog Analyse Economique.
Quelles sont les raisons d’une telle baisse ?
Dutton et Lynn, les auteurs de l’étude, proposent quatre explications. Seules trois ont été relayées par les journalistes du Monde et du Point qui ont finalement expliqué cette baisse par une hypothèse qui n’était pas envisagée par les auteurs de l’étude.
1/ La baisse de qualité de la nourriture
C’est un fait reconnu que la qualité de la nourriture d’un peuple favorise l’augmentation de son QI moyen.
La baisse qualitative de la nourriture pourrait être une explication à cette diminution.
Cette explication est cependant nuancée, voire abandonnée, par les auteurs de l’étude qui considèrent que l’ampleur mondiale de la baisse du QI moyen invalide sérieusement cette option.
Le Monde et Le Point semblent retenir cette cause en imputant cette baisse du QI moyen en France à l’influence néfaste des perturbateurs endocriniens. C’est pourtant une hypothèse qui n’a pas été évoquée par les auteurs de cette étude.
2/ La baisse de qualité de l’éducation et du goût pour la lecture
La qualité de l’éducation pourrait avoir baissée au point de réduire le QI moyen des Français. Dutton et Lynn y ajoutent la diminution de la lecture.
Cette explication est, elle aussi, écartée par les auteurs de cette étude qui considèrent que cela n’aurait pas touché l’ensemble des « intelligences » testées par leurs soins. Or, des intelligences « autres » que celles dépendantes de l’éducation et de la lecture ont diminué également.
3/ Les familles les plus nombreuses ne seraient pas les plus favorables au développement de l’intelligence
Les auteurs de l’étude envisagent que le nombre d’enfant par femme est aujourd’hui, en moyenne, plus élevé dans des foyers qui permettent moins le développement de l’intelligence.
C’est une hypothèse qu’ils considèrent comme sérieuse et qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler le film Idiocracy de Mike judge.
4/ L’immigration massive
Enfin, vient le rôle joué par l’immigration.
Les auteurs sont clairs : « Il se pourrait que ce soit l’augmentation du nombre d’immigrés aux QI bas dans la population française qui explique ce déclin. Cette augmentation [de l’immigration, ndlr] a eu lieu dans toute l’Europe occidentale et un nombre conséquent d’études a démontré que les immigrés d’Afrique du nord et du sud-ouest asiatique ont typiquement un QI moyen compris entre 85 et 90. »
Ils relativisent néanmoins l’influence de l’immigration, ne semblant pas penser qu’elle puisse être assez massive pour influencer à ce point le QI moyen. Nous y reviendrons.
Le QI moyen d’un extra-européen est-il différent de celui d’un autochtone ?
Cette question est bien évidemment potentiellement polémique. Mais la science est théoriquement éloignée de ce genre de débats. Un fait est un fait. Tâchons donc de nous en tenir à ceux-ci.
Le consensus scientifique établit bien qu’il existe des différences significatives entre le QI moyen des Européens et des extra-Européens. Nous avons longuement traité de cette question dans divers articles.
A lire sur le sujet :
[20 an après] The Bell Curve : Le QI moyen diffère entre les groupes ethniques
Danemark. Les conscrits extra-européens ont un QI inférieur à celui des conscrits européens
Emil Kirkegaard : « Le quotient intellectuel mondial est à peu près de 85 » [Entretien]
A ces longs articles, nous pourrions ajouter cette étude de te Nijenhuis, J., de Jong, M. -J., Evers, A., & van der Flier, H. ou encore ce schéma récapitulatif, tiré d’une étude de Christopher Eppig pour l’Université de New Mexico faisant le lien entre QI moyen et fréquence des maladies chez l’enfant.
Cette étude a été publiée dans diverses publications scientifiques comme Scientific American ou News Scientist.
Si certains pays asiatiques possèdent un QI moyen plus élevé que celui des Européens, certains pays africains possèdent un QI moyen moins élevé que celui des pays occidentaux.
Une immigration assez massive pour influencer les résultats ?
Comme nous l’avons vu précédemment, Dutton et Lynn semblent douter que l’immigration soit assez forte pour provoquer une telle baisse.
Mais l’immigration en provenance du continent africain est massive, la baisse moyenne du QI français trouve donc là un élément d’explication particulièrement pertinent.
Nous rappellerons en effet que l’on compte plus de 300 000 entrées par an sur notre territoire si l’on en croit Brice Hortefeux, ancien ministre de l’Intérieur français. Parmi ceux-ci, nombreux sont les Africains du nord et subsahariens dont le QI moyen est moins élevé que celui des Européens.
Il s’agit donc d’une hypothèse plausible, parmi d’autres, de cette baisse significative.
Conclusion
L’immigration massive d’individus appartenant à des populations dont le QI moyen est moins élevé qu’en Europe est une explication plausible de cette baisse de près de 4 points du QI moyen en France entre 1999 et 2009. Cependant, il est évident que ce n’est pas la seule. Les quatre explications envisagées par Edward Dutton et Richard Lynn jouent sans doute, chacune à leur niveau, un rôle dans cette diminution inquiétante.
Les grands médias semblent se focaliser sur l’hypothèse des perturbateurs endocriniens. C’est une hypothèse recevable et à laquelle il parait intéressant d’apporter du crédit même si elle n’est en aucun cas citée par les auteurs de cette étude.
Cependant, cette fixation est tellement intense que ces grands médias semblent en avoir oublié de citer l’hypothèse de l’immigration. C’est d’autant plus étonnant que c’est une hypothèse sérieuse pour Dutton et Lynn et que des éléments probants existent pour appuyer sa validité.
Pour aller plus loin, sur l’intelligence humaine :
Ce que Laurent Alexandre n’osera jamais dire sur le QI [Tribune libre]
Sciences. 536 gènes liés à l’intelligence découverts, une percée majeure
Les enfants réfugiés sud-soudanais auraient un QI extrêmement faible
Taille du cerveau et intelligence seraient fortement liées
Sciences. Quarante gènes de l’intelligence découverts
[cc] Breizh-info.com, 2016 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
36 réponses à “Baisse du QI moyen en France : l’influence de l’immigration ?”
Ou de l’américanisation ?
Oui mais c’est complètement politiquement incorrect de parler de ça, pire ça peut mener au tribunal …
Ha le bon vieux retour en arrière de l’utilisation des tests de QI pour justifier des théories eugénistes… Ca a commencé au début du 20e siècle, et je vois que vous faites perdurer cette « tradition » !
Déjà, il serait bon de préciser aux lecteurs que Richard Lynn est connu pour ses théories racialistes et eugénistes, et est plus que controversé dans le sérieux de ses études, et des conclusions qu’il en tire (supériorité intellectuelle masculine comparée aux femmes, études sur le QI des juifs peuple élu, études de QI des africains sans parler leur langue, sans réétalonnage pour chaque pays, etc. etc.). Il est de la lignée des Rushton, Jensen, et autres scientifiques qui sont connus pour orienter leurs recherches afin de les mener aux conclusions qui les confortent dans leurs idées xénophobes.
Et il y aurait tant à dire sur la pertinence des tests de QI, qui ne vérifient que l’aspect logico-mathématique et ne sont plus aujourd’hui considérés comme des tests d’intelligence, au sens premier du terme.
En même temps votre article est encore une fois assez révélateur de vos « méthodes » : broder et mettre un vernis pseudo-scientifique afin d’épater le lecteur benét qui ne vient pas ici chercher de l’information, mais du prêt-à-penser pour justifier ses théories xénophobes.
En clair vous prenez vos lecteurs pour des cons. Tout comme la majorité des sites d’extrême-droite, remarquez. Et ça marche… On se demande pourquoi.
@ David Torondel : épargnez-nous vos lieux communs et vos procédés rhétoriques de bas étage. Vous vous vautrez dans l’inversion des valeurs en voulant politiser à outrance un aspect de la connaissance scientifique non conforme à vos préjugés idéologiques. Vous en êtes réduit à insulter les lecteurs de cette rubrique, probablement plus équilibrés que vous-même, car aptes à se faire leur propre jugement au regard de la réalité
constatable.
Chacun peut juger de ce que ce déni de la réalité a pu produire d’humainement abject (ce sont vos termes!) en parcourant vos contributions imprégnées de poncifs idéologiques insensés.
Si vous aviez confiance dans le socle de vos prétendues »valeurs humanistes », vous n’auriez pas besoin de recourir au discrédit d’autrui, ce que vous faites de bout en bout de vos apports polémiques.
Ne parlons pas de votre incapacité à produire des références scientifiques dignes de ce nom, car cela vous forcerait à l’objectivité.
« Il s’agit donc d’une hypothèse plausible, parmi d’autres, de cette baisse significative. »
C’est une des 4 hypothèses explicative abordées dans l’étude. Il est aussi précisé via trois exemples (que vous avez choisi d’ignorer) que l’immigration massive à elle seule ne peut expliquer la baisse de QI en France et en Europe :
1/ la baisse de QI chez les conscrits finnois dès 1997, en la quasi-absence de population étrangère.
2/ le non-impact des populations d’origine immigrée sur le QI moyen des conscrits norvégiens.
3/ et surtout, l’absence d’impact sur l’effet Flynn au USA, malgré une immigration massive de populations de QI inférieur (ou encore les gains en moyenne de QI chez les petits anglais).
« 1/ la baisse de QI chez les conscrits finnois dès 1997, en la quasi-absence de population étrangère. »
Certes. Et cette étude conclut, dans ce cas précis, à une prévalence de l’explication de la fécondité dysgénique.
Or, les auteurs étaient les mêmes que ceux de cette étude sur la baisse du QI moyen français. Leur rejet logique de l’explication « immigration » dans l’étude finnoise est tout aussi logique que la reconnaissance de l’impact du critère « immigration » en France.
On ne peut pas les accuser de vouloir imposer la cause « immigration » puisque :
1/ Ils ne le font pas, proposant de multiples causes probables
2/ Dans d’autres études ils écartent bien volontiers cette cause
Pour être complet sur la question, une étude norvégienne (« The end of the Flynn effect?: A study of secular trends in mean intelligence test scores of Norwegian conscripts during half a century ») ne mentionne, elle, pas de baisse du QI moyen mais bien une stagnation. Ce qui va plutôt dans le sens d’un impact de l’immigration sur le QI moyen d’un peuple dont le QI moyen stagnerait sans influence de celle-ci.
Il est clair que cette baisse du QI moyen en France n’est pas seulement explicable par l’importation massive de populations aux QI moyens inférieurs à celui des Européens. Il y a évidemment une multiplicité des causes de cette baisse.
Cela tombe bien, cet article se conclut de la manière suivante : « Il est évident que [l’explication par l’immigration] n’est pas la seule. Les quatre explications
envisagées par Edward Dutton et Richard Lynn jouent sans doute, chacune à
leur niveau, un rôle dans cette diminution inquiétante. »
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« 2/ le non-impact des populations d’origine immigrée sur le QI moyen des conscrits norvégiens. »
Voilà une présentation particulière des faits qu’il convient de rectifier.
Non-impact : non, impact minime : oui.
Mais uniquement car les extra-européens représentent seulement 2 à 3 % des conscrits. Leur QI est donc bien inférieur mais leur faible nombre n’entraine pas d’impact significatif sur les résultats globaux.
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« 3/ et surtout, l’absence d’impact sur l’effet Flynn au USA, malgré une
immigration massive de populations de QI inférieur (ou encore les gains
en moyenne de QI chez les petits anglais). »
Effectivement, il n’y a pas d’inversement de la courbe aux USA. C’est bien pour cela que la liste des pays où cette inversion est visible est la suivante : « Cependant, en Norvège, Danemark, Royaume-Uni, Suède, Pays-Bas et
Finlande, diverses études montrent une baisse visible du QI moyen entre
les années 80 et 2000. »
C’est un phénomène atypique qui ne manquera pas d’être étudié par les chercheurs, il y a en effet de très nombreuses raisons potentielles à un tel maintien de l’effet Flynn.
Cela n’invalide pas les conclusions tirées par cette étude et cet article.
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Pour finir, vous noterez que, « des 4 hypothèses explicative abordées dans l’étude », nous avons traité les quatre tandis que Le Monde et Le Point n’en ont traité que trois…
Bonne journée.
« Pour finir, vous noterez que, « des 4 hypothèses explicative abordées dans l’étude », nous avons traité les quatre tandis que Le Monde et Le Point n’en ont traité que trois… » Pourquoi avoir opté pour ce titre ne retenant QUE l’immigration comme cause possible ?
Cet article est un article de réinformation sur
cette étude ayant observé la baisse du QI moyen en France. Il a donc été choisi de s’intéresser à l’hypothèse – pourtant pertinente –
sciemment ignorée par les médias dominants. Normal, donc, que cette
hypothèse (celle de l’influence de l’immigration) constitue le titre de
l’article.
Notez d’ailleurs que le titre ne retient pas l’immigration comme seule cause possible. Il parle de l’INFLUENCE de l’immigration sur cette baisse de QI moyen. Et avec un point d’interrogation.
L’analyse de cette étude et sa mise en relation avec d’autres travaux sur le sujet du QI moyen des populations démontrent que l’immigration massive extra-européenne pourrait être susceptible d’être un élément clef pour comprendre cette chute de près de 4 points du QI moyen français.
C’est une hypothèse qui, malgré sa justesse, a été soigneusement tue par les médias dominants qui ne la mentionne même pas dans leurs colonnes.
Enfin, à deux reprises, il est rappelé que l’immigration n’est sans doute pas l’unique cause :
« Il s’agit donc d’une hypothèse plausible, parmi d’autres, de cette baisse significative. »
« Cependant, il est évident que ce n’est pas la seule. Les quatre
explications envisagées par Edward Dutton et Richard Lynn jouent sans
doute, chacune à leur niveau, un rôle dans cette diminution inquiétante. »
Bonne journée.
Donc vous confirmez que le contenu de votre article n’est pas en adéquation avec le titre… Et je continue de penser que cette inadéquation n’est pas fortuite.
Ce que je vois surtout, c’est que dans votre analyse, vous avez passé sous silence cette partie de l’étude expliquant pourquoi les chercheurs estiment douteux que l’immigration aient un impact majeur dans la baisse de QI. Vous dites y revenir, mais finalement ne développez pas cette partie, au contraire, vous embrayez sur Hans Eysenck (comme les journaleux du point ont embrayé sur les perturbateurs endocriniens) et sur les chiffres de l’immigration (les 300 000 d’Hortefeux, alors qu’on sait que les nouveaux arrivants sont majoritairement européens, ce que corroborent les chiffres de demandes d’asile).
Pis, vous affirmez que « c’est une hypothèse sérieuse pour Dutton et Lynn ».
Vous auriez pu vous arrêter à dénoncer le parti pris flagrant du Monde et du Point, mais à mon avis, vous employez le même procédé.
1/ Les chercheurs n’estiment pas « douteux » que l’immigration ait un impact potentiel majeur dans la baisse de QI.
Les chercheurs considèrent, au contraire, que l’immigration massive d’extra-européen est une excellente explication possible de la baisse du QI moyen.
Dans un cas d’espèce (Finlande), cette explication n’a pas été retenue mais cela n’empêche pas qu’en France, elle puisse l’être !
2/ Le doute qu’ils ont sur la situation de la France est uniquement lié à leur questionnement sur le caractère massif de l’immigration extra-européenne.
Ils ne mettent pas en doute le fait que les extra-européens aient un QI moyen inférieur à celui des Européens (3 études différentes citées dans l’article à ce propos). Mais, selon eux, c’est le caractère massif de l’immigration extra-européenne qui pourrait expliquer une telle baisse. Et pour Dutton et Lynn, ce caractère massif n’apparait pas avéré en France. C’est là qu’ils citent l’exemple Norvégien où la présence de 2 à 3 % seulement de soldats immigrés en disant bien qu’il fallait que l’immigration soit plus massive que ces chiffres pour avoir un effet important.
Or, contrairement à ce qu’ils semblent penser (pour le bien de leur carrière ?), les extra-européens sont bien plus nombreux que 2 à 3 % de la population française.
Cette hypothèse est donc tout à fait pertinente, parmi d’autres évidemment.
Bonne journée.
« These immigrants are likely to have had some impact on reducing the average IQ of the populations, but it is doubtful whether the increase in the number of immigrants with lower IQs has been sufficiently great to have had a major effect ». S’en suivent les trois exemples que vous ne citez pas dans votre article (Norvège, Finlande, USA) qui viennent appuyer l’opinion des chercheurs.
Bref. Votre lecture est bien particulière, et vous prouvez encore une fois votre facilité à : 1/ mêler votre avis à une étude scientifique, 2/ passer sous silence ce qui vous gêne, 3/ réinterpréter grossièrement une phrase.
Et maintenant, le réflexe complotiste (pour le bien de leur carrière ?)…
Merci pour cet échange, mais il y a visiblement un souci de mauvaise fois quelque part.
Pour ma part, je ne suis pas préoccupé outre mesure par la conservation de la race blanche. C’est une démarche conservatrice et sentimentale qui ne convient pas à mon esprit cartésien.
Ce qui m’intéresse, par contre, c’est le progrès génétique, une démarche devant mener à l’existence d’une humanité améliorée racialement; or cet article démontre brillamment que l’apport de sang congoïde ne permet pas une amélioration intellectuelle de l’espèce humaine. Ce n’est donc pas parmi eux que nous trouverons des échantillons propres à améliorer les qualités génétiques de l’espèce humaine. Reste à voir s’il y a d’autres domaines dans lesquelles le métissage peut amener une amélioration génétique…
Chinois, japonnais, sud coréens et mongols, surclassant les français, si vous estimez que le QI n’est qu’affaire de génétique, je vous conseille d’essayer de convaincre certains d’entre eux de vous métisser avec vous.
Ce qu’on gagne en QI avec les Asiatiques, on le perd en taille ou en beauté. L’art de la génétique contrôlée est un art difficile, petit. Mais le principe de la sélection est bon. Pour des hommes plus intelligents, plus forts, plus beaux.
En beauté ? Hilarant ! La femme asiatique est un fantasme très répandu depuis des siècles. Au contraire de l’homme asiatique. Mais plus pour longtemps à mesure que celui-ci gagne de l’influence. La Chine, notamment avec beaucoup de professionnels français (Muyl, Annaud, Gans), entame une stratégie de conquête cinématographique et leurs acteurs mâles plaisent de plus en plus aux femmes occidentales. D’ailleurs, il suffit de voir dans les rues les couples mixtes, encore rares mais moins exceptionnels qu’auparavant, homme asiat / femme occidentale, ces dernières ayant grandies avec la japanimation et les jeux vidéos. Nombre d’études démontrent aussi que les enfants en bas âge asiatiques charment le plus. Quant aux critères physiques, l’homme asiat a un déficit de virilité, au contraire du congoïde comme vous dites. Mais il y a un demi-siècle, les femmes occidentales répugnaient à l’idée d’un homme noir. C’est aujourd’hui un fantasme très répandu, notamment grâce à l’Afro-américain et sa sous-culture populaire promue par les USA. Et sa virilité moyenne plus prononcée (il y a eu sélection par l’esclavage, les plus forts ont survécus, le « congoïde » resté en Afrique, s’est renforcé face à une Nature très hostile). Notamment par sa couleur de peau. Chez toutes les « races », le mâle est plus mate de peau que la femelle. Cela ne joue pas pour le Blanc d’ailleurs (voir les Roux: pléthores d’actrices ou mannequins pour les femmes, en surproportion rapport à la population, très peu d’hommes -encore moins que d’Asiats). Quant à l’Asiat, s’il est relativement moins fort, il est plus souple et a une meilleure espérance de vie. Puissance ou solidité ? Quoi choisir ? Quant à la taille, il est de moins en moins petit à mesure que la malnutrition s’estompe, processus entamé avec du retard comparé aux Occidentaux. Ils n’ont pas eu la peste comme en Europe d’ailleurs, les plus faibles ont pu survivre plus facilement (leurs avancées civilisationnelles aidant aussi) et la population élevée a imposé un partage de nourriture plus longtemps. Voyez d’ailleurs la corpulence du Franco-Magrehbin moyen ayant aussi gagné en puissance. Souvent rachitique il y a 30 ans, héritant de campagnards issus de terres plus ingrates qu’en Europe, beaucoup sont de sacrés athlètes aujourd’hui.
La beauté est d’abord un critère culturel (exemple classique de la femme bien en chaire ou fine selon les époques ou de la petite verge synonyme de virilité chez les Grecs anciens). Prenez n’importe quelle « race », la proportion de personne séduisante ou laide est la même, la personnalité et l’hygiène de vie jouant pour beaucoup. Combien de blondes sont des laiderons alors qu’elle définit encore souvent la beauté (en oubliant que c’est d’abord sa rareté) ? Un seul point objectif peut être déploré par le métissage qui se développe: le manque de diversité dans la chevelure et les yeux (le futur envisageable est une population mondiale indianisée dans ses traits). Enfin, la génétique n’est pas, encore, une science exacte. Prenez Yannick Noah: bel homme métis au visage charmant. Sa femme est un mannequin suédois. Le fils Joachim, en dehors de son corps d’athlète travaillé (et encore, l’athlète est souvent un « monstre », le basketteur inclus, comme le rugbyman, le pire étant le nageur, le plus proche de la divine proportion étant peut-être le handballeur), est plutôt laid.
Et quand la génétique sera libéralisée, seuls les plus fortunés y auront droit. Mais même le bébé aux gênes sélectionnés pourra être bercé trop près du mur. Ce qui rend exceptionnel, c’est d’abord le Hasard. Pas une quelconque pureté ou métissage recherchés.
La réalité est bien plus complexe que vos fantasmes persos.
Au passage, vous n’avez pas répondu sur le fait que Flynn soit un scientifique connu pour ses penchants pour l’eugénisme… Cela ne vous pose pas de souci ?
Par ailleurs si vous accordez tant d’importance à la mesure et préservation du taux moyen de QI, sachant qu’un agriculteur aurait un QI moyen de 96, et un cadre supérieur un QI moyen de 112, vous en tirez quelles conclusion ? Qu’il serait bon d’expatrier les agriculteurs pour les remplacer par des cadres supérieurs ?
Vous parlez de Lynn puis de Flynn, il faudrait savoir. Mais peut-être qu’à vos yeux tous les chercheurs s’intéressant au QI et à l’intelligence sont des nazis…
Pour votre information, je n’ai pas pour coutume de répondre aux pleurnicheries des commentateurs et encore moins lorsqu’elle ne sont pas argumentées.
J’ai donc choisi de répondre aux questions pertinentes et ayant trait au FOND de l’article.
Votre délire sur ma volonté fantasmée « d’expatrier » toute personne ayant un QI inférieur à la moyenne ne mérite évidemment aucune réponse.
Bonne journée.
Désolé, Flynn/Lynn est une faute de frappe, pour tout vous dire je ne savais pas qu’un nazi portait le nom de « Flynn »… Et je ne me souviens pas avoir à aucun moment assimilé Lynn au nazisme, d’ailleurs.
Je ne vois pas ou se trouve les « pleurnicheries », et encore moins ou manquent les arguments, et pas non plus ou manque le rapport avec le fond de votre article.
Vous écrivez un article mettant en relation la baisse de QI en France et l’immigration.
Je vous pose des questions liées aux différences de QI dans les niveaux sociaux et professionnels, c’est donc totalement lié au au sujet de l’article. Votre refus d’y répondre n’est donc pas fondé.
@ David Torondel : Vous cherchez à jeter le discrédit sur un scientifique, au motif qu’il ne partagerait pas vos opinions politiques. Parce que vous ne pouvez pas lui reprocher autre chose ? Ah, si, certains seraient »nazis », comme d’autres seraient »juifs », selon vous ? Et vous introduisez ensuite dans un constat scientifique de la discrimination entre des catégories socio-professionnelles qui n’y figure pas. N’est-ce pas une partialité idéologique humainement abjecte ?
Je ne cherche à aucun moment à jeter le discrédit sur ce scientifique, je signale juste qu’il s’est ouvertement prononcé en faveur de l’eugénisme. Ce n’est pas moi qui le dit, mais lui. A aucun moment je n’ai fait allusion au nazisme, c’est l’auteur de l’article qui le fait. Vous devriez relire avant de répondre…
Manifestement, cette question est très controversée. Or potentiellement, elle est d’une importance majeure. Il paraît donc urgent et indispensable que la recherche publique française travaille cette question de manière neutre et objective. Vu les préférences générales affichées par la classe intellectuelle française, le chercheur qui parviendrait à prouver que l’immigration n’est pour rien dans la baisse du QI deviendrait aussitôt un héros des médias. On peut se demander, alors, pourquoi les travaux français sur la question sont inexistants. Nos savants auraient-ils peur de pas parvenir à la conclusion souhaitée, et de ruiner ainsi leur carrière ?
Désolé, mais la question dépasse le sujet des migrants… c’est en cela que je ne comprends pas le refus de l’auteur de l’article de répondre sur le fond du débat, qui est clairement celui de l’eugénisme. Souhaitez-vous une société qui adapte ses lois dans le but d’augmenter le QI moyen de sa population ? Si oui, cela induit qu’il est potentiellement possible d’envisager de chercher à réduire le nombre d’agriculteur ou d’ouvrier, par exemple. Il n’y aurait aucune différence de fond entre ça et adapter les lois d’immigration à cause d’une hypothétique baisse de QI. Ca n’est pas politiquement correct ou incorrect, c’est tout simplement humainement abject.
Je vous suis reconnaissant de préciser implicitement que vous êtes pour une société qui adapte ses lois dans le but de diminuer le Q.I. moyen de la population, sur le fondement de l’antithèse de votre parti-pris. Vous êtes donc pour l’eugénisme des élites intellectuelles. Autrement dit, vous reprochez à ceux qui ne partagent pas votre formatage idéologique d’user de vos propres pulsions morbides. Ce qui se concrétise dans votre phobie de lois contre-immigrationnistes, un significatif hors-sujet validant le postulat que je vous ai retourné. Donc merci d’avoir précisé que
votre position est tout simplement humainement abjecte.
Alors soit vous n’avez rien compris, soit vous faites semblant de n’avoir rien compris… L’article parle du fait que l’immigration ferait baisser le taux moyen du QI en France. Outre le fait que je n’accorde pas un grand crédit à ces tests de QI, je précise que si une société se basait sur une évaluation du QI moyen pour adapter ses lois, ce serait une forme d’eugénisme. Et que si on l’acceptait en ce qui concerne les migrants, idéologiquement cela ouvrirait des portes pour toutes lois qui irait dans le même sens, donc une discrimination par l’hypothétique QI moyen. Donc toucher aussi les catégories socio-professionnelles dites avec un QI inférieur. C’est la paradoxe du sujet de l’article, que j’essaye de soulever. Si vous souhaitez absolument avoir mon avis, je trouve humainement abject d’aller dans ce sens, pour quelle catégorie de personnes que ce soit. Tout comme d’ailleurs je trouve tout autant abject quand des études analyses le rapport entre niveau d’études et intentions de votes… Pour ma part l’intelligence et la valeur d’une personne ne se quantifie pas par un test de QI ni par un niveau d’étude. Et le simple fait de chercher à classer les populations par ce biais est abject. Et j’ose espérer que c’est le cas pour vous aussi, et pour l’auteur de l’article, et que cela dépasse les querelles politiques, même si votre réponse semble dire le contraire.
@David Torondel : Votre conditionnel sur les conséquences de l’immigration est tout simplement absurde, tant cela se conçoit
aisément ! Un taux élevé d’immigrants à fort différentiel de Q.I., quel qu’en soit le signe + – , dans une population donnée fera
nécessairement varier le Q.I. moyen de l’ensemble (avec ou sans assimilation). J’en déduis que non seulement vous vivez dans un déni des réalités, mais aussi que votre niveau d’études ne semble pas flamboyant (hum) !
Ce qui conduit souvent à cette constante inversion des valeurs que l’on retrouve dans votre discours : ce n’est pas le métier qui fait
le Q.I., mais le Q.I. qui est orienté (par ses titulaires, hein, pas de »complot » ici, merci!) vers les métiers de leur choix. Et il n’y a pas de sot métier, comme quoi vous êtes imperméable à cet adage populaire si plein de bon sens …
Alors, fichez nous la paix avec vos fantasmes sur les migrants »ségrégationnalisables », sauf si vous êtes réellement parano, hein, ça ne se commande pas ! Vos »abjections » de circonstance sont donc parfaitement infondées. À moins que vous souhaitiez que tout le monde vous ressemble ?
Vous trouveriez normal de classer les populations par la taille, le sexe, le poids, le niveau d’études ou leur amour de la choucroute, mais pas par le Q.I.
Je sens que jamais vos arguments en ce sens ne seront ici présentés, tant vous êtes ridicule avec vos »abjections », vos »nazis », etc.
Coluche disait des professeurs qu’ils parlaient d’intelligence sans disposer d’un échantillon pour eux-mêmes. Vous m’y faites penser.
« Souhaitez-vous une société qui adapte ses lois dans le but d’augmenter le QI moyen de sa population ? »
Arrêtez l’hypocrisie, ici il dénonce l’eugénisme de la société actuelle.
Niez vous que les lois sponsorisent le stupide, le faible QI, et taxent la réussite, ie le QI élevé ?
L’argent distribué aux « défavorisés » il est pas créé du néant, il vient de l’asservissement actuel et futur (dette) d’une partie de la population.
Je viens de découvrir votre journal …. je suis sidérée : Comment ??? vous n’êtes pas encore interdit, alors que vous « osez » parler de RACES ????
La Licra et autres tue-démocratie ignorent donc encore votre existence ….
« Heureux les simples d’esprit » …..
On peut aussi prendre le probleme dans l autre sens. Peut être est ce la baisse du QI moyen des Francais qui permet de leur faire gober que l immigration et le multiculturalisme sont bels et bons?…
Article très pertinent. Et encore une fois on constate que les medias « moralistes » préfèrent cacher cette vérité dérangeante. Il faut d’ailleurs s’attendre à ce que le phénomène s’amplifie : outre l’immigration, tout le système social français est fait pour inciter les QI les plus faibles à procréer le plus. Dernière mesure en date : la réduction des allocations par enfant pour les familles ayant trop bien réussi dans leur vie professionnelle (critère établi via le revenu). C’est une forme d’eugénisme mais à l’envers … un système suicidaire à long terme.
C’est la destruction par la « démocratie ».
Les faibles QI ne font pas le lien entre cause et conséquences.
Entre distribution d’argent, et taxe & dette.
Entre taxe & dette, et l’économie qui ralenti.
Entre l’économie qui ralenti, et le chomage qui augmente, et les prix qui augmentent.
Ils sont intéressés par l’argent gratuit, le pillage.
Les faibles QI ont la loi du nombre, celle qui compte en « démocratie ».
La démocratie ne peut aboutir qu’à la destruction, par définition.
[…] poursuivant ma recherche, je tombe innocemment sur une possibilité: l’immigration massive d’individus appartenant à des populations dont le QI moyen est moins élevé qu’en Europe est […]
Il y a une cause possible qui n’est pas signalée , c’est la consanguinité des communauté musulmanes , où le mariage entre cousins directs voire nièce est permis !http://www.ndf.fr/article-2/04-07-2014/consanguinite-une-prise-de-conscience-tardive/
Votre réponse constitue à elle seule une raison pour laquelle le QI moyen a baissé en France.
Complètement d’accord avec Thomas et Balpa. Après, c’est dommage que des gens comme Stella soient dans dénis.
Mais les faits, ça ne se nie pas et ça ne se négocie pas !!
On peut également évaluer le QI d’un pays entier, par sa capacité à produire des biens qui intéressent et que tout le monde utilisent dans la vie de tout les jours (voiture, avion, moto…).
Qui donc produit les meilleurs voitures ? L’Allemagne, la France, les USA, l’Asie…sont les meilleurs, car leur niveau d’ingénierie, de conception et de fiabilité sont élevés. L’Afrique et certain pays de l’est de l’Europe n’ont pas ces compétences là.
Qui donc produit les meilleurs avions ? La France et les USA. D’ailleurs, la compagnie aérienne Qatar a une flotte composé uniquement de Airbus et de Boeing.
Il faut également un haut niveau d’intelligence pour produire une telle technologie car il y a tout un travail de conception, de calculs réalisés par des ingénieurs (et pas les pires)…..jusqu’à la production des pièces (qui n’est pas à confier à n’importe quel pays, car il ne faut pas faire n’importe quoi)
Il y a bien sur des tonnes et des tonnes d’autres exemples.
La réalité est donc là, avec ces exemples criants. Et c’est parfois difficile pour certains à entendre ou à lire.
Mais soyez également conscient aussi, que chaque pays à la capacité et les ressources pour changer sa situation.
Rappelons aussi que mise à part le QI, le QE est aussi important (analyse,compréhension de l’humain)
Voilà voilà, ne vous prenez pas la tête en général. Veuillez accepter les gens tels qu’ils sont, peu importe leur QI, leur couleur de peau et de pot, leur orientation religieuse et sexuelle. Les gens changent et évoluent uniquement si ils le décident eux-mêmes, de leur propre initiative.