22/03/2016 – 13h00 Bruxelles (Breizh-info.com) – Ce mardi 22 mars 2016, le terrorisme islamiste a frappé à nouveau le sol européen, à Bruxelles cette fois. Selon le parquet fédéral belge cité par la chaîne publique RTBF, il y aurait au moins 13 morts et 35 blessé à l’aéroport de Zaventem où au moins deux explosions ont eu lieu vers 09 h 00. Il y aurait eu également « une dizaine » de tués à la station Maalbeek dans le quartier européen « où il y a eu une très grosse explosion dans le métro », selon un porte-parole des pompiers.
Quelques mois seulement après les attentats de novembre 2015 qui avaient frappé Paris, quelques jours après l’arrestation – en plein coeur de Molenbeek, bastion islamiste de Bruxelles – d’Abdeslam Salah, le terrorisme islamiste a donc encore frappé.
Les mesures de sécurité et de restriction – qui visent l’intégralité des citoyens en Belgique, en France, mais aussi dans d’autres pays d’Europe – ont été portées à leur niveau maximal. Ainsi, l’ensemble des citoyens doit se plier à des mesures sécuritaires alors qu’il s’agit systématiquement d’attentats émanants de terroristes musulmans.
En début de semaine, Abdeslam Salah, impliqué dans les attentats de Novembre et recherché dans toute l’Europe, a été arrêté. Cela s’est passé dans son quartier de Molenbeek, bastion musulman de Bruxelles, où il a bénéficié de la solidarité de sa communauté pendant plusieurs mois. Un quartier que le polémiste Eric Zemmour se proposait, dès le mois de novembre de bombarder : « Au lieu de bombarder Raqa (le fief de Daech en Syrie, NDLR), la France devrait bombarder Molenbeek d’où sont venus les commandos du vendredi 13. Les frontières entre pays européens ne servent plus à rien depuis Schengen (…) ».
Ces propos n’avaient pas manqué de heurter une élite politique refusant de voir la réalité en face. Sur France Info, un éminent universitaire belge énonçait ainsi doctement ce mardi qu’Abdeslam Salah était indiscutablement « de culture belge » (sic).
En Hongrie, en Pologne, en Slovaquie, sociétés homogènes qui refusent l’implantation d’une forte communauté musulmane en leur sein, il n’y a aucun attentat de ce type, ni aucunes tensions liées à l’immigration.
« Le temps est venu d’empêcher la destruction de l’Europe » expliquait il y a quelques jours Viktor Orban, le Premier ministre Hongrois. Pendant ce temps, le gouvernement français lançait une campagne #TousUnisContrelaHaine, à plusieurs millions d’euros, visant à stigmatiser le racisme supposé des Français de souche. Le Premier ministre Manuel Valls, qui explique à qui veut l’entendre que « nous sommes en guerre » n’a pour le moment jamais voulu désigner l’ennemi, première étape avant d’espérer détruire l’islamisme radical en Europe.
Des priorités bien différentes, donc …
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3 réponses à “Bruxelles. Le terrorisme islamiste frappe à nouveau l’Europe”
Les liaisons dangereuses entre Ankara et Daesh ne sont pas vraiment un secret. La semaine dernière, Erdogan déclarait que : les Kurdes sont « un serpent réchauffé sur le sein européen, qui peut mordre ses sympathisants à n’importe quel moment ». Il ajoutait qu’il n’y avait « aucune raison pour que les bombes d’Ankara n’explosent pas à Bruxelles aussi, où les partisans de l’organisation terroriste PKK ont pu manifester au cœur de la ville ».
À chaque attentats, il suffit de fermer et raser dix mosquées à la ronde du lieu meurtrit.
Vous verrez que nos amis musulmans vont vite faire le ménage chez eux plutôt que d’héberger les assassins !
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Mon cher ami je crois que tu ne comprends pas deux choses : 1- les musulmans modérés n’ont rien à voir avec les extrémistes. Dans le sens où si il les hébergent ils sont eux-mêmes extrémistes. Les familles musulmanes modérées dénoncent les membres de leur famille afin de les sauver d’une mort certaine
2- les musulmans extrémistes s’en foutent autan des musulmans modérés que des infidèles. Si on les elimine ça n’affectera en rien ces extrémistes.