Ces dernières semaines, sur ordre du gouvernement, les préfets de région, épaulés par des organismes comme Coalia notamment, se concentrent sur la répartition de l’immigration dans les régions.
Les préfectures et sous-préfectures ont ainsi tous pouvoirs pour réquisitionner, dans les communes, des biens appartenant à l’État, pour y loger des immigrés. Ainsi, à Plévenon, dans les Côtes d’Armor, ou à Sarzeau, dans le Morbihan, les centres d’accueil PEP qui appartiennent à l’Education nationale sont mis à disposition de ces nouveaux arrivants en provenance de la Jungle de Calais. « Nous n’avons pas notre mot à dire » nous a expliqué Mme le maire de Plévenon, dont les administrés sont furieux, le ministère de l’Intérieur s’inquiétant même d’éventuels mouvements de sabotage ou d’opposition à cette installation.
Certes, les préfets répartissent prioritairement dans les communes où les conseils municipaux ont prononcé le voeu d’accueillir des «réfugiés». C’est le cas dans le Finistère, où des arrivées (on parle de plusieurs centaines, selon une information émanant d’un employé des services sociaux du département) sont prévues à Pleyber Christ, à Brest, à Saint-Thégonnec, mais également dans de nombreuses communes dirigées par des élus membres du Parti socialiste.
La population n’est bien entendue jamais consultée. Cela constitue un symbole et un message fort de la part du gouvernement à ses administrés : c’est le pouvoir central, et lui seul, qui décidera de l’implantation et de la répartition de l’immigration. Et celle ci se fait désormais majoritairement dans cette France périphérique, où les immigrés représentaient jusqu’ici une proportion faible voire inexistante. Une France périphérique ou bien souvent, des autochtones avaient choisi de s’installer car justement, ces campagnes, ces petites communes n’étaient pas touchées par les grands maux des métropoles multiculturelles et multiethniques de France.
Le retour de l’Etat central et le rôle fondamental redonné aux préfets témoigne d’une volonté affichée de passer outre les aspirations populaires. Avec le risque, dans les prochaines semaines, mois, années, de voir une partie de la population d’abord voter pour « renverser la table », avant de se révolter physiquement, le système social et économique français étant à bout de souffle.
Avec le risque également que les élus locaux qui auront favorisé ces arrivées massives de populations aux moeurs et aux cultures presque incompatibles – car non européennes – avec celles des autochtones soient pris en partie, y compris violemment, en cas d’atteintes au vivre-ensemble causées par ce nouveau monde qui s’installe sans avoir été invité.
C’est en quelque sorte une des dernières cartes, violente, abattue par François Hollande, dont la popularité historiquement basse est le témoignage de cette défiance généralisée qui s’organise et qui grandit.
En faisant du préfet le nouveau gardien de l’ordre républicain et le nouveau faiseur de pluie et de beau temps en région, François Hollande, Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, ont volontairement choisi de se réincarner en Robespierre durant la terreur.
Ce retour en arrière pourrait rapidement provoquer la montée en flèche des volontés autonomistes, séparatistes, notamment en Bretagne, où la campagne des élections régionales tourne d’ailleurs autour de candidats dont chacun veut être plus militant breton que l’autre.
Désormais, l’histoire pourrait s’accélérer très rapidement, le processus d’accueil étant enclenché, l’appel d’air s’étant généralisé sous l’impulsion d’une Angela Merkel que des Allemands de plus en plus nombreux qualifient de criminelle. Tout retour en arrière est désormais juridiquement et humainement impossible, surtout dans une société où l’image l’emporte sur la raison.
Les responsables du désastre à venir ne peuvent plus faire marche arrière, et doivent vaincre leurs propres populations ou bien s’exposer, dans les années à venir, à des jugements particulièrement expéditifs nés d’une frustration, d’une humiliation et d’un sentiment de viol quasi permanent de tout ce qui constituait les fondements d’une société apaisée et d’une civilisation rayonnante.
Julien Dir
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2 réponses à “Immigration en Bretagne. Le retour du préfet et de la centralisation française”
« Le retour du préfet et de la centralisation française »
Euh… Il était parti à la boulangerie ?
Quand la France a-t-elle été décentralisée ? Jamais. Ou via Bruxelles à la limite. Qui malgré tous les maux qu’on lui porte, est bien moins nocif pour les peuples de France que Paris. La France ne sait pas évoluer, Napoléon l’a castrée. Même Paris, la seule et unique bénéficiaire pompant ce magnifique et richissime carrefour européen (que la France n’est jamais fini n1 en Europe est la plus grosse aberration de l’Histoire vu son territoire incroyable et ne peut que s’expliquer que par l’incongruité de Paris, dense comme un bidonville de Calcutta, et sentant à peine meilleur, provoquant le désert français), ne fait plus rêver que les niais depuis les années 50.
Le gouvernement et ses préfets ont un double objectif :
1. Que la France phagocyte la Bretagne
2. Que l’Afrique phagocyte la France
Quand on les voit détruire délibérément la nation française, on réalise qu’ils ne risquent pas d’avoir la moindre sympathie pour l’identité bretonne. Ce n’est pas vraiment l’identité culturelle bretonne qui leur pose problème, mais l’existence physique des Blancs !
À mon avis, ce sont plus ou moins les mêmes gens qui ont essayé de démolir la Bretagne, surtout depuis 150 ans, et qui travaillent maintenant au remplacement des Blancs. Est-ce qu’il y a eu des démissions de préfets qui refusaient de collaborer au Grand Génocide ?
« l’appel d’air s’étant généralisé sous l’impulsion d’Angela Merkel »
Ça serait génial que Breizh-Info essaye d’interviewer quelques réfugiés-bidon, pour leur demander qui les a incités à tous se rendre subitement en Grèce depuis septembre dernier ; qui leur a indiqué les frontières à traverser ; qui leur a fourni le transport, etc. Ce n’est quand même pas un simple discours de Merkel qui les a décidés à se rendre subitement en Europe.
Normalement, les journaux devraient être pleins d’interviews où les journalistes essayent de découvrir si cette comédie est directement organisée par certains gouvernements (lesquels?), par l’Union Européenne, par l’ONU, ou si ça passe par des organisations intermédiaires. Malheureusement, les grands journaux font tous partie du système anti-blanc. Il n’y a rien à en tirer.
Par contre, les élus locaux qui n’ont pas envie de collaborer au Grand Génocide pourraient très bien enquêter par eux-mêmes. Ce n’est quand même pas compliqué pour eux de faire interroger les réfugiés-bidon par leurs services, même si les réfugiés-bidon ont reçu des consignes pour se taire.