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Au sommaire :
EDITORIAL.
L’Europe violée sous les yeux de nos braves démocrates.
Certains vont peut-être s’étonner de ce titre quelque peu provocateur. Je pense au contraire que les évènements que nous connaissons à l’heure actuelle attestent et confirment le choix et les termes de ce dernier. Esprit libre et indépendant, je n’ai pas l’habitude d’accepter de me courber sous les fourches caudines du politiquement correct ni de frémir devant les ligues de vertu qui veulent nous fixer les limites de la liberté d’expression. Sans violence, sans haine, je persiste et signe : oui l’Europe est bien victime d’un viol.
Tétanisée depuis des décennies par la crainte d’être taxée de racisme, elle est aujourd’hui totalement lobotomisée. Elle n’a plus la force de réagir et se laisse littéralement envahir par une immigration massive qui n’est autre qu’une véritable invasion. Cette invasion est un réel viol, le viol des peuples européens, le premier de toute l’histoire de ce grand continent. Mais ces peuples sont-ils consentant de cette agression ? Ont-ils donné leur assentiment pour se faire envahir ? Ont-ils été consultés ? Non bien évidemment. La démocratie gère le problème, cette démocratie qui n’est ni plus ni moins qu’une belle arnaque, une dictature qui ne dit pas son nom.
La France, par exemple, prétend que les problèmes sociétaux engendrés par l’immigration proviennent du fait qu’il s’agit essentiellement d’immigrations coloniales. L’argument est fallacieux car les pays européens qui n’ont pas de passé colonial ont le même problème d’une immigration massive d’origine extra-européenne. Il est grotesque de continuer à entretenir une telle affabulation. Le problème ne vient pas du fait qu’il s’agit d’immigrations coloniales mais du fait que ces immigrations extra-européennes n’ont pas la même culture, la même religion et cherchent à s’imposer en faisant petit à petit fléchir et reculer les lois des pays au nom de la tolérance ou d’une nouvelle religion que l’on a baptisée « antiracisme ». La gauche, le saint des saints, la lumière universelle incarnée sur terre, a beau répéter sur tous les tons qu’il n’y a pas de race, elle persiste et signe et qualifie de racistes tous les opposants à l’immigrationnisme. C’est ce levier qu’elle utilise de façon systématique pour faire taire toutes les critiques. La moindre contestation est ainsi interprétée comme du racisme alors que ce n’est pas la race qui est en cause. Elle prétend également qu’il ne faut pas fixer l’homme dans une sorte de tradition. Argument risible quand dans son immigrationnisme forcené elle souhaite accueillir en masse des communautés qui, elles, sont essentiellement attachées à leurs traditions.
Qui peut nier qu’il s’agit d’une invasion quand des pans entiers de l’Europe sont aujourd’hui quasiment déjà aux mains de populations extra-européennes, lesquelles fantasment d’ailleurs d’y installer leurs lois spécifiques ? Elles ne sont invitées que par les politiques laxistes des gouvernements européens, quand ce ne sont pas elles-mêmes qui s’invitent illégalement. Elles ne sont pas invitées par les peuples d’Europe et voilà pourquoi il y a des discriminations. Ces discriminations sont alors vécues comme légitimes par les Européens pour la raison que cette immigration massive est illégitime de leur point de vue. Alors la « Bien-Pensance » voit rouge et crie à la xénophobie ! Enfin, il est bon de prendre en compte que les nouveaux flux migratoires sont très connectés à la géopolitique et aux choix géostratégiques de l’Occident.
Nous, Bretons, qui luttons pour notre souveraineté, la préservation de notre ethnie, de notre identité, de nos traditions, nous nous opposons à cette présence allogène massive. « Les nôtres avant les autres »… Une mère nourrit en priorité ses enfants, et non pas ceux des autres, c’est un instinct animal irréversible, rien n’est plus naturel que ce réflexe maternel.
Un véritable chaos ethnique guette l’Europe. La crise qui se profile est sans précédent. Je pense qu’on ne pourra en sortir qu’à travers un traumatisme purificateur qui fasse comprendre à tous les peuples européens la gravité de la situation présente. C’est une question de survie et nous avons besoin pour cela de lois drastiques afin de protéger nos peuples et cette Europe ethnique qui nous est si chère.
Padrig MONTAUZIER.
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