08/03/2015 – 08H00 Bastia (Breizh-info.com via Corsica Patria Nostra) – Depuis deux ans, des réformes dites « sociétales » révoltent les consciences, en Amérique comme en Europe. En France, leur but immédiat est de cacher l’échec économique et social de l’équipe au pouvoir. Cet échec est dû à la pusillanimité du président et à l’amateurisme arrogant, partisan et prévaricateur de ses ministres. A plus long terme, il est de détruire les structures traditionnelles du pays, au premier rang desquelles la famille et la religion, afin de ne laisser subsister que des individus atomisés, privés de repères et d’appuis, face aux puissances d’argent qui cherchent à instaurer un marché unique à l’échelle de la planète. Le puissant mouvement social contestataire qui s’est élevé en réaction et a « fait la une » des média (associé chez nous au mouvement identitaire corse qui se renforce depuis des décennies), a une fois de plus mis en lumière la notion de « pouvoir culturel ».
Le concept de « pouvoir culturel » a été théorisé à Gauche au vingtième siècle par le Communiste italien Antonio Gramsci, (1891-1937). Avant cela, il avait été élaboré dès la fin du dix-neuvième siècle à Droite par Charles Maurras. Et bien avant eux encore, il avait été largement utilisé contre la société d’ordres au dix-huitième siècle par les « Philosophes », partisans des Lumières, derrière leur chef de file, Diderot, concepteur de l’Encyclopédie. La vision d’Antonio Gramsci, même si elle est féconde, est entachée de jargon, car son but est d’abord de convaincre à l’intérieur de l’école intellectuelle marxiste.
ANTONIO GRAMSCI A L’ASSAUT DU MARXISME-LÉNINISME ORTHODOXE
On connait la thèse de Marx et d’Engels sur l’importance de l’économique comme fondement structurel de la société et origine de tous les pouvoirs politiques et sociaux. Elle est toujours véhiculée par le Marxisme dit Orthodoxe. Ce qui compte, c’est le « mode de production », c’est-à-dire l’organisation du travail. Elle est appelée « infrastructure ». Les phénomènes sociaux, notamment la culture (éducation, littérature, art, media, cinéma) et l’idéologie n’en sont que des « reflets ». Ainsi, la culture et l’idéologie d’une société sont-elles intimement liées non pas à son régime politique, mais à son mode de production. Par exemple, dans une société marxiste, là où l’état dirige économie et société, par la collectivisation des moyens de production et d’échange, la culture et l’idéologie sont-elles marxistes. Et inversement, dans une société libérale, soumise à l’économie de marché, idéologie et culture sont-elles « libérales » (ou « capitalistes » en termes marxistes). C’est ce qui a logiquement mené Marx et Engels à théoriser qu’il suffisait d’attendre « l’avènement des conditions objectives d’appropriation collective des moyens de production et d’échange », provoqué par l’effort libératoire de la classe ouvrière, pour que la révolution collectiviste se fasse d’elle-même.
La révolution tardant, Lénine entreprend de prolonger Marx. Son apport tactique consiste en fait à dire tout le contraire de ce dernier : comment peut-on créer « ici et maintenant », sans attendre, les conditions de la Révolution. Notamment dans : « Que faire ? » « Deux Tactiques », etc… C’est pourquoi l’on parle désormais de « Marxisme-Léninisme », surtout en Chine. Réfléchissant, à la suite de Lénine, aux moyens de passage à la société socialiste, Gramsci, lui, pose que les « superstructures » ou « reflets » que sont culture et idéologie ont une part d’autonomie très importante par rapport à l’« infrastructure » économique au point qu’elles peuvent même rétroagir sur cette infrastructure.
LE CAS D’ECOLE DE L’ALLEMAGNE RÉVOLUTIONNAIRE DE 1919
En effet, pour Antonio Gramsci, la société capitaliste des grands pays industrialisés a démontré qu’elle avait les moyens de résister à la Révolution. D’abord par sa mainmise sur l’appareil de production et l’économie en général en système libéral. Ensuite, parce qu’elle contrôle l’appareil d’État (armée, police, forces de répression diverses, ce que Gramsci appelle « la société politique »). Et enfin parce qu’elle impose son idéologie à-travers sa culture, (religion, philosophie, Droit, sciences et arts,) et les vecteurs qui la diffusent : églises, écoles, universités, cinéma, littérature, média, etc…, ce que Gramsci appelle la « société civile ». Dans les sociétés traditionnelles, ce sont les « intellectuels » au sens large, au premier rang desquels les clercs, qui véhiculent cette idéologie. Lénine, lui, avait simplement pour stratégie de renverser par l’insurrection armée l’appareil d’État. Cela a marché en 1917 dans un pays excentré, faiblement administré et industrialisé, déstabilisé par les privations et la défaite militaire comme la Russie tsariste. Cela n’a pas marché en 1919 dans ce pays superbement industrialisé et situé au cœur de l’Europe que visaient les Bolchéviks : l’Allemagne, devenue pour les Marxistes un cas d’école. (Dès l’origine, ils visaient l’Allemagne, et l’Histoire ne leur a accordé que le cadeau de consolation de la Russie). En effet, dans l’Allemagne vaincue de l’après 1918, la bourgeoisie a pu, en termes d’appareil d’État, s’appuyer sur les Corps-Francs, ces parties de l’armée qui avaient échappé au pourrissement et à la désagrégation, devenues forces de répression aux mains du ministre Social-Démocrate Noske, pour écraser les révolutionnaires Spartakistes. Et en termes de pouvoir culturel, elle a pu faire perdurer son hégémonie (par laquelle, pour Gramsci, la classe dominante obtient l’a soumission des classes dominées), en continuant à diffuser dans les « classes laborieuses » sa culture imprégnée de la vision Protestante du travail (« travaillez, car travailler c’est prier » affichait Krupp dans ses usines), du culte de Bismarck, (le « Chancelier de Fer » à l’origine de l’Unification), et du patriotisme Allemand. (En 1914, les organisations ouvrières allemandes ont refusé de s’unir aux organisations socialistes françaises inspirées par Jean Jaurès pour refuser la guerre. Elles ont fait passer la Patrie avant le Socialisme. Pour certains historiens, c’est là la première manifestation historique d’un courant National-Socialiste au sein du monde ouvrier allemand).
LA CULTURE EST UNE SPHERE AUTONOME QUI RETROAGIT SUR L’ÉCONOMIE…
Au vu de cet exemple, la violence révolutionnaire ne suffisant pas aux yeux de Gramsci, pour conquérir le pouvoir dans une société industrialisée, l’objectif devient de capter le pouvoir culturel dans la « société civile », dans le but de diffuser une culture révolutionnaire de masse qui, en imprégnant toutes les couches de la société, va permettre l’émancipation du prolétariat en contournant et en neutralisant en partie l’appareil de répression. L’idéal est pour lui que lors du coup d’État final, le pouvoir tombe dans les mains des révolutionnaires « comme un fruit mur ». L’exemple à suivre, à ses yeux, est celui des « Philosophes » français du dix-huitième siècle, qui par leurs écrits, ont tellement fait évoluer les mentalités, qu’en 1789, comme l’a prouvé la nuit du 4 Août, la noblesse était si bien persuadée de son inutilité et de la nécessité de son abdication en tant que groupe social, qu’elle a voté en masse l’abolition des privilèges, au cours d’une espèce de surenchère débridée avec le clergé.
Pour le Sarde Antonio Gramsci, le but n’est donc pas d’obtenir la majorité des suffrages à l’assemblée, mais la majorité culturelle dans la société civile. Cette majorité culturelle sera imprégnée de l’idéologie révolutionnaire véhiculée par les « intellectuels de Gauche » au sens large, dont le but est de rendre aux Travailleurs la direction idéologique et morale de la société. (« L’hégémonie par l’idéologie »). On peut donc écrire, dans son optique, que lorsque la majorité des journaux décryptera l’actualité selon une grille de lecture marxiste, lorsque la majorité des films d’auteurs « engagés » mais toujours subventionnés par les fonds publics, illustrera des thèmes marxistes, mettant invariablement face à face oppresseurs et opprimés, lorsque l’Église sera acquise aux thèses de la Révolution (on a vu comme elle a vacillé plus tard face à la « Théologie de la Libération »), lorsque les instituteurs, oubliant que leur mission est avant tout d’apprendre à lire à écrire et à compter aux enfants, consacreront leur énergie à les amener à la « prise de conscience » de l’exploitation sociale de leurs parents par la bourgeoisie, lorsque le policier et le soldat douteront, considérant que « sous l’uniforme ils sont avant tout des travailleurs » et mettront la crosse en l’air, alors le pouvoir sera prêt à tomber aux mains de la Contestation, rendant beaucoup moins risqué ce recours à la force appelé Révolution (« le remplacement par la violence d’une classe par une autre classe ») qui tout en étant le but final de la praxis marxiste,constitue aussi son mythe moteur.
C’EST L’ORIGINE DU CONCEPT DE « RÉVOLUTION CULTURELLE »
Laissées après la mort en prison de Gramsci à la garde de son camarade Togliatti, les théories de Gramsci ont commencé à se diffuser à partir de la fin des années Soixante du vingtième siècle. Elles expliquent parfaitement le pourquoi de la « révolution culturelle » qui a sciemment prolongé les événements de 1968 et qui a abouti tout naturellement au succès socialiste de 1981. (Pourquoi les affiches du PS de 1981 ressemblaient-elles tellement aux affiches trotskistes de 1970 ? Parce que les Trotskystes étaient entretemps venus investir le PS en groupes constitués).
Depuis, les théories gramsciennes d’hégémonie par la culture et l’idéologie ont été souvent employées par des acteurs différents, véhiculant des idéologies différentes en fonction des objectifs de chaque acteur.
Dès le début des années 70, la Nouvelle Droite (c’est-à-dire le noyau fondateur du GRECE et la mouvance idéologique qu’il a entrainée autour de lui), se lançait dans un « Gramscisme de Droite » qui a eu l’immense mérite de fortifier les esprits, au moment où l’Église conciliaire abandonnait les âmes. A l’époque, il n’était pas contradictoire pour un Catholique de chercher des arguments de combat culturel dans « Éléments pour la Civilisation Européenne » : contre la marée rouge et rose, il fallait faire feu de tout bois. Cela ne l’est pas plus de nos jours.
En effet, la dernière entreprise en date de subversion des valeurs par la « révolution culturelle » est celle des groupes Libertaires mondialistes infiltrés à l’intérieur du PS actuellement au pouvoir en France pour détruire les structures traditionnelles de notre société comme de toute société cohérente. Idéologie du Droit-de-l’hommisme, de l’Anti-racisme, de l’Égalitarisme à tous crins, vague de la Théorie du Genre, religion du Mariage pour Tous, citoyenneté du monde sans frontières, du métissage généralisé, tous ces thèmes idéologiques et culturels que les pseudo-intellectuels présents dans l’ensemble des média présentant comme des progrès vers la sacro-sainte Egalité et la Fraternité universelle. Sans se rendre compte, puisqu’ils ont tout oublié de la théorie de la « main d’œuvre de réserve » de Marx, (« pourquoi payer les travailleurs nationaux au prix qu’ils réclament, alors qu’on peut en faire venir de loin de plus nécessiteux qui accepteront de travailler pour moins » ?), qu’ils travaillent en réalité contre le peuple, c’est-à-dire les contre les Travailleurs et au bénéfice de leurs pires exploiteurs : les Libéraux mondialistes.
ET LA CORSE DANS TOUT CECI ?
Parlons un peu de nous… A quel degré le dispositif de combat culturel gramscien institué en faveur de la Mondialisation fait-il sentir son influence en Corse ? Il faudrait une bibliothèque pour répondre à cette question. Si nous sortons du domaine de l’économie, de cette politique de la « mise en valeur » qui a vidé nos villages, pour nous situer uniquement dans le domaine de la culture, il saute aux yeux qu’institutions, journaux, radio, télévision, tous les canaux de communication ne cessent d’émettre chaque jour des messages massificateurs destinés à affaiblir notre Identité dans le but de couper les liens communautaires qui unissent les hommes. Ceci afin de nous faire passer du statut de peuple vivant selon les critères de sa culture traditionnelle à celui de masse indifférenciée, privée de repères, conglomérat d’individus émiettés, prolétarisés, réagissant à des slogans droit-de-l’hommistes et consuméristes, réservoir sans fond de serveuses de bar et de garçons de café métissés qui constitueraient la chair à canon du tourisme de masse. Descendons simplement un Dimanche au marché aux puces place Saint-Nicolas à Bastia. A côté d’une minorité vivace et toujours renouvelée d’ouvrages, de plaquettes, de revues, de journaux culturels, heureusement toujours présents, qui défendent, chacun à sa manière, l’identité corse, nous n’y trouvons le plus souvent rien d’autre, en termes de livres et de revues d’occasion, que l’échantillon grand-public et aseptisé de tout ce qui nous a été proposé depuis vingt ans en termes de biens de consommation culturels. Une immense majorité d’ouvrages sans saveur et de revues sans intérêt, certains conçus selon les plus pures lois du marketing, pour convenir indifféremment à toutes les « cibles » commerciales d’ici et d’ailleurs sans distinction. Les plus vendus, même, décalquant mot-à-mot des réalités concernant uniquement les États-Unis (« je plaide coupable et je paierai la caution Votre Honneur »).
Dirigeons-nous vers le quartier des cinémas. Quels messages instille-t-on à notre jeunesse dans les salles obscures ? Le révisionnisme y est de rigueur. Voilà que dans « Merlin » la reine Guenièvre est désormais mulâtre. Il faut bien trahir la réalité d’hier afin de promouvoir le monde espéré pour demain. Quant au second volet, récemment sorti, du « Hobbit », voici que la population de la ville intègre ostensiblement, maintenant, des individus aux types physiques symbolisant tous les continents du monde actuel, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici, l’histoire étant censée se dérouler dans un passé très reculé. On sent bien la main de ces états-majors états-uniens qui ont élevé, en 2010, le « système industriel de production de biens de consommation culturels » US au rang des grands vecteurs de pouvoir, d’influence et de rayonnement du pays, sous la dénomination nouvelle de « soft power ».
Mais la Corse résiste.
Mieux : la Corse progresse, même. Là où la culture Corse a indéniablement gagné, c’est dans les domaines culturels du chant et de la religion. On écoute nos polyphonies partout, et l’on vient de loin pour suivre nos processions. (Et le touriste nostalgique devient à son retour un ambassadeur de la vraie Corse). Comme quoi, ce téléviseur qui diffuse de la musique de supermarché ou des retransmissions sportives à des individus déracinés parqués dans un ghetto afin de les maintenir éloignés du combat politique ou de la revendication sociale (et qui est donc un instrument d’aliénation), peut être victorieusement combattu par un autre téléviseur ou un appareil radio diffusant des chants traditionnels capables de renforcer les solidarités au sein d’un peuple, (et qui sont, eux, des instruments de libération). Ceci permet à la Corse de continuer à fabriquer des Corses, même avec certains des nouveaux arrivants, (du moins lorsque ceux-ci s’y prêtent), à condition qu’il reste un socle incompressible de Corses, une masse critique, capable d’assimiler les nouveaux venus. Et c’est là tout le problème. Et c’est aussi tout l’enjeu de la lutte. De la lutte que mène le peuple corse pour sa survie, et des luttes que mènent les peuples du monde pour leur identité et pour se redifférencier face à la massification mondialiste. Il serait dangereux de croire que cet enjeu soit uniquement local.
ET NOUS, QUEL EST NOTRE RÔLE DANS CE DOMAINE ?
Ce qui nous amène à dire un mot des buts du cercle « Petru Rocca ».
Nous ne sommes pas, nous l’avons déjà écrit, l’émanation, de près ou de loin, d’un parti politique. Ce n’est pas notre rôle. Par contre, nous avons souvent constaté que « la Vérité est dans les minorités ». Prisonnier de ses promesses en système électoral, le parti doit toujours « ratisser » plus large. Et affadir sa doctrine en conséquence.
Ainsi, l’Action Française de 1936, devenue à la fois une structure et un large mouvement d’opinion auquel adhèrent des gens de toutes les catégories sociales, n’est-elle plus le petit cercle nietzschéen de ses débuts. De même l’UMP social-démocrate et maçonnique chère à MM. Baroin et Raffarin n’est-elle plus le RPR radical-cassoulet de M. Chirac, qui n’avait lui-même plus rien à voir avec l’UNR-UDR gaulliste souverainiste, qui n’avait lui-même plus rien à voir avec le RPF nationaliste de 1947, qui reprenait, lui, le programme politique du Parti-Social Français du Colonel de La Rocque de 1938 (le PSF ayant succédé, à la suite de la dissolution des Ligues, aux Croix de Feu).
Les Marxistes ont connu la même problématique de leur côté.
Staline l’a perçu en substance ainsi : « aujourd’hui, il n’y a plus de classes, mais la conscience des gens est toujours en retard par rapport à la réalité immédiate. C’est pourquoi, même si nous vivons dans une société socialiste, notre conscience reste bourgeoise. Cette contradiction nous permettra de nous développer : il faudra rééduquer tous les gens qui ont une mentalité bourgeoise ». Et Mao : « maintenant nous sommes au pouvoir. Les nôtres vont diriger le pays. Mais le pouvoir corrompt. Les nôtres seront corrompus. Il faudra les remplacer. Mais ils refuseront de quitter le pouvoir. Il faudra donc les en chasser par la force. Cette révolution, qui s’opérera dans le domaine des mœurs, sera donc une révolution culturelle ».
Le rôle que nous nous assignons est donc le suivant : nous comprenons la mécanique de l’inévitable et, d’un certain point de vue, nécessaire évolution, toujours centriste sur le long-terme, des partis les mieux intentionnés dès qu’ils veulent recruter largement dans l’optique du scrutin. Mais par suite, nous constatons aussi que leurs dirigeants finissent inévitablement par oublier leurs idées, par se couper des réalités, et qu’ils vivent dans une bulle totalement étanche aux préoccupations du Peuple et de la Nation et aux enseignements de l’Histoire Longue.
Notre but à nous, qui sommes totalement et volontairement en-dehors du système des partis, c’est de défendre l’Identité Corse, comme l’identité de tous les peuples d’Europe et du monde face au grand mélange mondialiste. De maintenir les consciences au niveau de la réalité du vécu populaire. De dés-occulter les difficultés et la peur du déclassement des couches moyennes, celles qui paient pour toutes les autres. Et de participer à ce combat, (qui est bien celui d’aujourd’hui face à la mondialisation), dans le domaine de la culture et de l’idéologie. Ceci afin de contribuer à une « révolution culturelle » permettant de donner la majorité culturelle à notre courant d’idées, qu’on l’appelle patriotique, nationaliste, populiste ou identitaire. Car après tout, le souverain c’est bien le peuple.
PINCU
Photo : DR
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2 réponses à “Le pouvoir par l’idéologie et par la culture [tribune libre]”
L’Europe c’est çà ! NON MERCI .
Un salut à tous nos amis corses, pour qui l’enracinement n’est pas un vain mot …