22/12/2014 – 07H00 Rennes (Breizh-info.com) – Au début du mois de février 2014, Philippe Perchirin, un conférencier spécialiste notamment de philosophie celtique, avait été violemment agressé par un groupe de militants «antifas» alors qu’il donnait une conférence à l’université de Rennes 2 , invité par une association reconnue par la faculté. De l’ammoniaque lui avait été jeté au visage, occasionnant également des séquelles pour l’organisateur de la conférence.
Alors qu’une plainte avait été déposée par la victime, cette derniere n a pas eu de nouvelles de la police ni de la justice pendant plusieurs mois. Pourtant, des caméras de surveillance aux abords du campus de Villejean, mais également dans le métro rennais, ainsi que les témoignages des personnes présentes auraient dû permettre à la police boucler très rapidement l’enquête.
D’autant plus que les «antifascistes» ayant commis ces méfaits sont parfaitement identifiés, localisés, fichés par les différents services de police. L’action avait été revendiquée du nom du commande «Wilhelm Wicki» du nom de ce chasseur de nazi sorti du cerveau du cinéaste Tarantino.
C’est donc avec stupéfaction que M. Perchirin vient d’apprendre, par un courrier émanant du Parquet du Procureur de la République, que « l’examen de cette procédure ne justifie pas de poursuite pénale au motif que : la personne qui a commis l’infraction dont vous avez été victime n’a pas été identifiée. Il est possible que… l’enquête n’ai pas permis de trouver des preuves suffisantes contre cette personne. ».
La plainte est donc classée sans suite. La victime était également étonnée d’apprendre que le parquet s’était prononcé sur la base d’un PV en date du 5 septembre 2014 émis par Commissariat de Police de Rennes, alors que le dépôt de plainte remontait à février …
Y’a t-il eu réellement une enquête policière ? Pourquoi cette accumulation de plaintes classées sans suite ou de laxisme judiciaire lorsqu’il s’agit de la mouvance antifasciste ? Quelqu’un serait-il lié par la famille – au sein du parquet de Rennes – avec un des meneurs ? Autant de questions qui méritent d’être soulevées et – à défaut d’enquête policière – d’être soumises à enquête journalistique .
Photo : DR
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5 réponses à “Rennes. Violente agression des antifas : le parquet classe…”
Bonne question posée par cet article!
De là à ce que l’agressé finisse en correctionnelle pour procédure abusive,il n’y a qu’un pas que le parquet-ciré de Rennes n’a pas franchi…
ha les pourris,elle est belle notre justice,pas étonnant qu’il y ai autant d’agressions dans ce pays !!
Rennes, Brest, ou Nantes, sont des repères de gauchistes. Vous ne serez pas dans la merde quand vous serez indépendants !
Ce n’est peut-être pas votre indépendance qui compte dans un premier temps, mais surtout remettre ou exiger que l’ordre revienne en Bretagne, et mieux, en France : car il y a de moins en moins d’État (Hollande n’est qu’un visage médiatique à présenter au peuple), de moins en moins de police, et de moins en moins de justice, çà va être chaud les amis, et pas qu’en Bretagne !
Moi je dis : SOLIDARITÉ, soyons unis et efficaces, on discutera de l’indépendance après !
Pas repère mais repaire…
Bisous
Je connais depuis longtemps Rennes comme une ville de non-droit ; le gauchisme est pire que le nazisme ; il ne faut pas laisser faire ces gens là qui gâchent leur région et la France.