Lorient. Salon du livre jeunesse, propagande et subventions multiples

27/11/2014 – 08H00 Lorient (Breizh-info.com) – La promotion de l’homosexualité, du gender et de la sexualité infantile financée par le contribuable via la mairie de Lorient, le conseil régional de Bretagne; le conseil général du Morbihan (UMP) et d’autres administrations ? C’est devenu une réalité du 21 au 26 novembre 2014, avec l’organisation par la Compagnie des Livres et la Ligue de l’Enseignement du 13ème salon du livre jeunesse qui se déroule au Palais des Congrès .

En effet, durant ces journées – où tous les établissements scolaires envoient leurs élèves (par centaines)  pour développer le goût de la lecture – les organisateurs ont mis les bouchées double côté subversion :  dévoiements des contes pour enfants, appel à la révolution et à l’anarchie, apologie de la sexualité infantile et juvénile et de l’homosexualité, présentation choquante de l’Histoire (notamment dessins et photos détaillées de camps de concentration proposés au stand des enfants), déconstruction de l’identité garçons-filles à partir de stéréotypes grossiers, vulgarité générale de bon nombre d’ouvrages…

Au 1er étage, plus de 50% des ouvrages font l’apologie de l’anarchie, de la révolution ou sont des panégyriques de la théorie du genre. A cet étage, les enfants ne peuvent échapper à ce thème. Exemple : il est demandé aux garçons de se déguiser en filles et aux filles en garçons pour écouter le conte Boucle d’Ours. Exemples de titres glanés sur les stands : Mon frère, ma princesse – Pourquoi je suis devenu une fille – Boy’s don’t cry – F comme garçon – On n’est pas des poupées – les 2 mamans de Petirou – Tous à poil – Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon – Vive l’anarchie – Tous en grève, tous en rêve, Mai 68…
Au rez de chaussée, judicieusement disséminés sur chaque stand, 5% des livres environ reprennent ces thèmes (Je veux un zizi, Zizi et zezette, Egaux sans égo…).

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Anarchie, livre rouge, désobéissance et gender : tout un programme

Ce salon est aussi un lieu de formation pour les enseignants et bibliothécaires. A la page 17 du programme de l’événement – duquel le quotidien Ouest-France était le partenaire numéro 1,  les participants sont invités à participer à des réunions intitulées :  «travail sur les questions de genre», «représentations et stéréotypes de sexes véhiculés à travers la presse et les médias», «comment les albums de littérature jeunesse contribuent ils à élaborer le genre »

Les organisateurs ne cachent d’ailleurs le sens de ces journées «sens d’ssus d’ssous» : « Pieds par-dessus tête, je rêve le monde en vers et en droits, où les filles jouent au ballon et les garçons font des gâteaux à la vanille » proclame le poème d’introduction du programme.

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Un centre d’apprentissage pour révolutionnaires ?

Anne-Sophie M. , 30 ans, maman de 3 enfants (6 ans, 5 ans, 3 ans) témoigne :

« Le thème de cette 13ème édition du Salon du Livre « Sens dessus dessous » me semblait une invitation au rêve, à l’insolite, à l’imaginaire et me plaisait mieux que le thème de l’année dernière qui était « Fais-moi peur ». Je m’y suis donc rendue dimanche après-midi.  Si ce salon a donné effectivement lieu à des ateliers plaisants, quelle ne fut pas ma surprise en découvrant les ouvrages proposés aux enfants ! (Je parle ici du premier étage) : apologie de l’anarchie, appel à la rébellion, images violentes sur les camps de concentration à portée de mains des petits, vulgarité générale de nombreux ouvrages aussi bien dans les dessins que dans les textes. La plupart des ouvrages cherchaient à ébranler les enfants dans leur identité masculine ou féminine. J’ai eu l’impression d’avoir été bernée par un titre accrocheur, pour nous attirer en fait avec nos enfants dans un salon de propagande politique, théorie du genre en fil directeur. Si ces salons sont de bonnes initiatives pour raviver en mes enfants le gout de la lecture, je trouve important de savoir dire non quand ils deviennent des outils de manipulation. Je suis admirative devant le courage de l’école du Sacré-Cœur qui a annulé ses visites de classes en guise de protestation. »

Des milliers de visiteurs ont fréquenté le Palais des Congrès durant ces journées – l’entrée gratuite et la majorité des visiteurs étaient des scolaires venus de tout le département atténuant néanmoins considérablement le succès de cette manifestation qui laisse un goût amer à de nombreuses familles, notamment concernant le financement de ces journées.

La municipalité de Lorient, dirigée par Norbert Métairie (PS) depuis 1998 – a octroyé  une subvention de 30 000 euros en 2013 à la Ligue de l’Enseignement pour ses frais de fonctionnement et 10500 euros supplémentaires à la Ligue de l’Enseignement Fédération du Morbihan pour l’organisation du salon du livre. La Ligue possède de surcroît un local mis à disposition par la municipalité. Hormis le Festival Interceltique de Lorient,  aucune autre association ne touche autant dans le domaine «de l’intervention économique ou culturelle». Chaque année, la municipalité de Lorient pioche ainsi dans la poche du contribuable pour permettre la tenue de cet événement.

enseignement_ligue

D’autres partenaires financiers sont à l’honneur :

Outre la ville de Lorient (PS) , les villes de Queven (droite) , de Lanester (PS) , de Guidel (UMP), de Ploemeur (UMP), de Kervignac (DVD), de Gestel (DVG), mais aussi le Conseil régional de Bretagne, le Conseil Général du Morbihan (UMP), la DDCS du Morbihan et la DRAC de Bretagne participent financièrement , avec l’argent de leurs administrés.

Le Crédit Mutuel de Bretagne, Ouest-France, France Bleu Breizh-Izel, le Crédit Coopératif, MGEN ADOSEN, la fondation Crédit Mutuel, la fondation SNCF ou encore le CHBS financent également l’opération.

Les contribuables, clients et consommateurs pourront ainsi se faire une idée de ce à quoi sert leur argent. Plus de détails prochainement, avec le bilan financier du salon du livre jeunesse, la publication des comptes – avec détails précis – étant obligatoire pour ce type d’évènements incluant d’importantes transactions financières avec des acteurs publics et privés.

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Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2014, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

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18 réponses à “Lorient. Salon du livre jeunesse, propagande et subventions multiples”

  1. warnan dit :

    Mais où va le monde ???
    comment détruire toute une société vieille comme le monde en un claquement de doigt… Bande d’inconscients.

  2. HOUPEURT dit :

    Merci pour ces informations qui même si elles ne concernent que 5% des documents présentés, constituent une preuve indiscutable de la volonté de poursuivre l’introduction dans les mondes scolaire et culturel de tout ce qui peut nuire à l’éducation de nos enfants. RESISTANCE!!!

  3. Nathalie dit :

    Je suis bibliothécaire et suis outrée par votre article ! Je connais ces livres et leur contenu pédagogique de grande qualité. Vous faites un raccourci entre éducation non sexuée et je vous cite « La promotion de l’homosexualité, du gender et de la sexualité infantile ». Je reste sans voix devant autant de bêtise. Pour enfoncer le clou, vous arguez de la prise en charge financière de cette manifestation par les contribuable. Quand on arrive à prétendre qu’un salon du livre est du gaspillage d’argent public, c’est que le reste de votre argumentaire est infondé et dénué de tout intérêt. Lisez « j’en ai marre du rose » ou comment en étant une fille, il est salutaire d’apprendre à construire sa personnalité sur d’autres valeurs que celles perpétuées par une société machiste et pleine de carcans qui conditionne notre devenir à notre sexe.

    • Nourdine dit :

      Nathalie, votre statut de bibliothécaire vous octroie-t-il une quelconque supériorité sur les parents d’élèves qui ne souhaitent pas que leurs enfants soient intoxiqués avec ce genre de livres ?
      Demande-t-on aux enfants s’ils souhaitent – ou pas – aller à ce salon du livre jeunesse ? Que diriez-vous si étaient exposés des livres à caractère religieux, d’autres prônant l’inverse de ce que prônent ceux présentés à Lorient ?
      Seriez vous toujours outrée qu’un média relate cela ?

      Accepteriez-vous, en tant que contribuable, de payer par vos impôts des livres qui incitent à se convertir au catholicisme, à l’Islam, au judaisme ?
      Accepteriez-vous, en tant que contribuable, de payer par vos impôts des livres pour enfant qui montrent les dangers de l’immigration et du métissage par exemple ?

      Vous partez de votre point de vue sur la construction de l’enfant pour en faire un point de vue universel, c’est ainsi faire preuve d’ethnocentrisme .

      Allez en Arabie Saoudite, au Qatar, en Algérie, et comme ça vous reviendrez peut être en réfléchissant à vos propos sur le prétendu « machisme » de la société européenne.

      Oui, les sexes et les différences existent, c’est ce qui fait la richesse, mais surtout le moteur du monde. L’homme et la femme se complètent et sans leur union, pas d’enfant possible, donc la fin de l’humanité tout simplement.

      Encore une fois, que des livres pour enfants prônent le mélange universel, l’indifférenciation des genres, la lutte contre tel ou tel préjugé supposé, pourquoi pas; Ce qui est choquant, c’est que les organisateurs de ce genre d’évènements sont rémunérés par le contribuable, dans un pays ou la moitié du peuple au moins ne souhaite pas enseigner cela à ses enfants.

      Faites preuve de démocratie, avant de vouloir faire la leçon.

      • JulesMachefer dit :

        Nourdine, vous parlez d’or! Félicitation pour votre argumentaire qui sonne vrai et qui tape juste.Pas besoin de commenter la réction de Nathalie, une fois de plus, le seul argument que trouve cette personne engagée à gauche, c’est : « vous ne pensez pas comme moi,vous êtes des imbéciles ».
        Le seul hic,c’est que ce qui marchait naguère (marginalisation des opposants,ironie,mauvaise foi), ne passe plus, les caves se rebiffent et ne sont plus disposés à laisser faire ceux qui ont détruit l’un des pays les plus civilisé au Monde.
        La révolution des esprits est en marche!

    • Blanc dit :

      Madame,
      Je pense que voyager vous ferait du bien ,
      On relativise mieux .
      On découvre le vrai machisme !
      Vous avez un de ces tons pour réagir .
      Bonjour la fureur !
      On a toujours tort quand on a besoin de ce ton là pour défendre ses idées !
      Bien cordialement

  4. veriez dit :

    Miss Belkacem ment dans tous ses interviews en niant ce qui est en marche: la destruction de la cohésion sociale
    Le PS à réussi la normalisation de l’homosexualité, du mariage des homos, j’ai toujours été ouvert à l’évolution des moeurs…mais là c’est trop!
    A 70 balais je suis rockn’ roll..mais là c’est trop!
    Nous allons vivre la déliquescence d’une société TRISTE messieurs du PS
    Je crois que CE gouvernement va laisser une trace dans l’histoire
    Il faut que le futur gouvernement abroge toutes ces loi scélérates et destructrices.
    RAZ LE BOL

  5. Issbern dit :

    Ces éditeurs, auteurs et illustrateurs se comportent comme des exhibitionnistes, en agressant la sensibilité des enfants par des images issues de cervelles délirantes. C’est tout simplement démoniaque.

  6. PETIT madeleine dit :

    d’abord , qu’est-ce que c’est qu’ « un contenu pédagogique de qualité » ? … qu’est-ce que tous ces pédagogues la plupart auto-proclamés, tous ces tarés (es) qui se mêlent de vouloir apprendre le sexe dévoyé à des enfants innocents et pudiques … qu’ils se mêlent donc de leur cul… de leurs copulations anales si gaies qu’ils s’en suicident 3 fois plus que chez les hétéros … ça veut bien dire qu’il y a problème , dans leur tête et sous leur ceinture … REJOIGNEZ LA FAPEC DE FARIDA BELGHOUL
    VIVE LA FAMILLE TRADITIONNELLE !!

  7. Vincent dit :

    Bonjour Nathalie, bonjour chère collègue,

    Par le saint esprit qu’êtes-vous donc venue vous perdre sur ce site nauséabond, chef-lieu des petits esprits étriqués qui viennent sans complexe y vomir leur homophobie, épancher leur haine de l’autre sur dix malheureuses lignes ? Je souris en découvrant les réactions à votre post tout autant qu’en lisant le torchon difficilement rédigé par un petit scribouillard du dimanche, qui en digne héritier des plus belles heures de la religion dont il se revendique, s’improvise inquisiteur et se pointe au salon de Lorient pour photographier en douce l’objet du délit : des couvertures de livres ! Oui, des couvertures de livres !!! Pathétique. Fallait pas se donner cette peine, il pouvait les trouver sur Amazon. Pensez-vous qu’il les ait ouverts ? Que dalle ! Il s’agit juste de livrer des œuvres en pâture à la petite clique d’intégristes du papa dans maman qui s’exprime fiévreusement sur ce site pour flatter leur petit égo mal peigné.

    A juste titre vous citez « Marre du rose ». Il y a quelques années je me souviens l’avoir lu aux enfants, c’était encore un temps où ces illuminés se morfondaient dans la petite cellule grisâtre lepéniste dont ils n’auraient jamais dû sortir. Depuis, Marine est passée par là, la droite décomplexée, la droite « forte » sans doute ainsi nommée en raison de l’odeur qu’elle dégage… Bref, il n’y avait dans ce choix aucun esprit partisan, moi-même je trouvais le livre bon mais je ne l’aurais pas forcément choisi, c’est juste que l’on recevait Ilya Green quelques jours plus tard à la médiathèque. J’ai été frappé de voir comment les enfants se sont emparés de cette histoire, tant elle leur a plu et la rencontre avec Ilya de se concentrer étonnamment sur cet ouvrage ! Les belles surprises de notre profession ! Je parle donc là des enfants, ceux-là mêmes que nos détracteurs prétendent défendre… Si au moins ils se contentaient d’aller chanter la messe en latin avec des types aux prénoms médiévaux et des cheftaines scouts à poussettes huit places. Mais non, ils revendiquent aujourd’hui de dégueuler leur bile dans le débat public. Soit.

    Alors, Nathalie, à nous d’être plus fort encore ! A nous de faire découvrir sans cesse à nos usagers, à nos enfants, les œuvres de l’esprit pour qu’ils s’ouvrent aux autres, au monde, aux idées et qu’ils forgent d’eux-mêmes leur propre sensibilité, loin des clichés, loin des diktats d’où qu’ils viennent. On exerce un beau métier et comme en d’autres périodes de l’histoire, nous demeurons un rempart contre l’obscurantisme, contre l’intolérance. Alors, courage !

    • pascal dit :

      Bonjour Vincent, Nathalie,

      Si vous reprochez le sens de la caricature et de l’excès à l’article, sachez que vous tombez dedans aussi.

      Beaucoup de gens, tout à fait « normaux » et loin d’être des fachos habillés de rouge brun et à la transpiration supposée nauzéabonde, s’interrogent sur le bien-fondé des initiatives qui se multiplient autour de l’explication du genre. Votre rôle de bibliothécaire vous donne à la fois une responsabilité et une autorité sur le sujet, mais il faut aussi respecter l’avis du parent qui se référera parfois à un « bon sens paysan » salutaire.

      Le mieux est de rester dans le débat, donner à chacun les éléments pour juger.

      Il se trouve qu’en tant que parent, tout en étant très éloigné de la vision imaginaire et fantasmatique que vous pouvez avoir des lecteurs de ce site ou de cet article, je suis régulièrement choqué de la façon dont certains auteurs de livres pour enfants ou ados « jouent » avec la psychologie et l’équilibre des jeunes générations. Encouragement à la violence, au laisser-faire, à l’égoisme… on en a parfois les bras qui tombent, même dans des collections plutôt correctes habituellement. Peut-être par effet de mode, par volonté d’innover (par ex, le détournement des contes en finit par devenant agaçant).

      J’ai plusieurs fois été troublé par la façon dont des auteurs (sans doute à l’insu de leur plein gré) pouvaient transposer leur mal être ou leur appétence pour le fait de choquer, provoquer… ou alors s’agissait-il de sensibiliser tout en le faisant maladroitement. Quoi qu’il en soit, je retourne votre compliment pour l’orienter vers les auteurs : oui, et attention aussi, certains livres pour l’enfance sentent mauvais et ne valent pas le papier sur lequel on les imprime. Au lieu d’aider les enfants à se construire, à véhiculer des idées positives et à donner des modèles forts, ils augmentent l’entropie : on sème le doute, on déconstruit des modèles, et on affaiblit les personnalités.

      Un exemple : ma fille de 5 ans me dit souvent qu’elle aurait aimé être un garçon. Elle a des traits de caractère qu’on peut rapprocher d’un comportement masculin, au contraire de sa petite soeur de 3 ans beaucoup plus ‘féminine’ dans son attitude. Petite parenthèse : on place le curseur où l’on veut, mais il faut déjà accepter de reconnaître que certains comportements (l’envie d’explorer, d’organiser un cercle d’amis) dominent plutôt chez un sexe ou l’autre, que ce soit par construction sociale ou de façon innée. Bref. Ai-je envie qu’elle soit encore plus troublée et amenée à se demander qui elle est, quel est son sexe ? N’est-il pas préférable de lui donner des modèles qui vont la réconcilier avec sa féminité et son futur rôle de femme ? Lui expliquer qu’être une fille n’empêche en rien certaines activités, ou de se projeter de telle ou telle façon dans l’avenir ? Or dans la littérature proposée, je ne trouve pas toujours les réponses rassurantes qu’on attendrais. Je vois souvent du doute, du questionnement qui mènent au tourment plus qu’à l’apaisement. C’est une chose d’expliquer qu’être un garçon ou une fille n’empêche pas telle ou telle forme de réalisation de soi. C’en est une autre d’appuyer sur un mal-être et d’enfoncer le couteau dans la plaie en créant un schisme là où il n’existait pas (ex : en faisant s’habiller des garçons en fille, d’autant qu’il n’est pas nécessaire d’en arriver là).

      J’ai la quarantaine et ma réflexion pourrait s’appliquer à d’autres aspects. Je me suis rendu compte, en faisant une forme d’introspection croisée avec mon environnement culturel, que beaucoup de choses avaient été fait au niveau sociétal durant ma jeunesse pour ne pas me faire aimer mon propre pays. Aujourd’hui, je constate des démarches analogues (à travers la marchandisation de la société, la médiatisation de certaines initiatives) pour conduire les individus à ne pas s’aimer eux-mêmes, à avoir une vision floue de leur identité. Il est plutôt sain que certains comme Breizh info s’en alarment, même si le ton vous semble exagéré. Participez au débat et apportez votre éclairage, mais faites le sans caricature et si vous la voyez dans la plume de l’autre, expliquez calmement.

  8. oudin dit :

    Merci Madeleine pour ce témoignage. Pas utile de faire des phrases et de sombrer dans la digretion pour s’opposer à cette pédagogie démoniaque.
    A la différence de Vincent, si il doit s’agir de tochon, les notres, en opposition, ont l’avantage de ne pas être souillé du vomis de leurs idées.

  9. krol dit :

    Merci à Nathalie, Vincent et Pascal pour avoir élevé le niveau de cette « discussion » . Cet article m’a fait bondir !

  10. Jean dit :

    C’est étonnant ce besoin qu’a la Gauche de se mêler de la sexualité des enfants.

    Dans les années 70, on a eu droit à une pseudo liberté qui a permis tous les rapprochements adultes-enfants. Faut-il citer les cas de pédophilie perpétrés ou soutenus, et pudiquement appelés  » sexualités périphériques ». (http://fr.wikipedia.org/wiki/Apologie_de_la_p%C3%A9dophilie#France). Aujourd’hui les intellectuels de Gauche, soutenu par Libération ou Le Monde, rasent les murs quand on leur rappelle cette période. Mais on en voit toutefois des soubresauts quand un Polanski ou un Polak est rattrapé par son passé.

    Alors cette fois : le genre et cette nouvelle urgence à se déterminer quant à son orientation sexuelle. Et à un âge ou les questions ne se posent pas pour tous en tout cas.

    Par ailleurs, c’est quoi le problème de la Gauche avec la virilité ? Elle semble condamnée par une société de femmes et de gays. Du statut d’oppressé, ces derniers passent au statut d’oppresseur. Françoise Dolto n’aurait pas fait assez de dégâts en terme d’éducation. Il faudrait maintenant nier l’influence de nos hormones sur notre comportement.

    L’homosexualité est admise et c’est tant mieux. Mais là c’est quoi, du prosélytisme ? Laissons les enfants vivre leur enfance, la plus insouciante possible. Et apportons les réponses qui conviennent qu’à ceux qui les posent.

  11. Samuel D'Assenc dit :

    Le pouvoir en place cherche à pervertir la nouvelle génération, celle qui incarne l’avenir de notre civilisation.

  12. delphine dit :

    Pascal, enfin une voix de sagesse dans ce monde de contradictions et de manichéismes. Merci!

  13. pat dit :

    Les lobby LGBT ( sur lequel étrangement il n’y a jamais aucune enquête journalistique digne de ce nom) et un certain féminisme dévoyé ( OLF..) qui ont une oreille bienveillante au sommet de l’Etat et dans les médias, veulent prendre l’éducation des enfants en otage à coup de chantage et de culpabilisation ( en gros si vous ne les suivez pas dans leurs délires idéologiques qui n’ont aucun fondements scientifiques ( et dangereux) vous êtes à ranger dans la case des catho-lepeno-facho homophobes réactionnaires) .
    V livre « La théorie du genre ou Le monde rêvé des anges » de Bérénice Levet et pour rire => » le monde merveilleux de ‘abcd de l’égalité » (youtube)

  14. […] Ce qui précède et ce qui suit est à lire en cliquant ici. […]

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