17/10/2014 – 10H00 Châteaubriant (Breizh-info.com) – Militant de la gauche indépendantiste bretonne, Jonathan Guillaume est le porte-parole du collectif 44=bzh. Depuis des années, l’homme est à la tête de ce collectif qui oeuvre, aux côtés de l’association Bretagne Réunie notamment, pour la réunification de la Bretagne. Un collectif 44=bzh qui a en permanence tenté d’interdire l’accès aux manifestations pour la réunification de la Bretagne aux individus jugés comme étant « de droite » ou, pire, « de droite dure ». Lors de la grande fresque pour la réunification à Nantes, en février 2010, cela avait valu au maire de la Remaudière, Alain Coraud, de se faire agresser par des nervis d’extrême-gauche. Mais aujourd’hui les temps changent et les appels répétés de ce collectif à « faire barrage à l’extrême droite dans les manifestations pour la réunification » (sic) tombent singulièrement à plat.
Histoire de rebondir, Jonathan Guillaume s’est donc récemment fendu d’un commentaire sur son compte Facebook à propos d’un fait divers survenu à Nantes dans la soirée qui a suivi la dernière manifestation. Commentaire dans lequel il s’étonnait de voir des gardiens de prison à une manifestation pour la réunification…
Il faisait référence au jugement rendu cette semaine à l’encontre de 4 individus – dont deux gardiens de prison – pour incitation à la haine raciale et coups et blessures sur des agents de la TAN (transports nantais) durant la soirée qui a suivi la dernière manifestation pour la réunification. Les prévenus en question, qui étaient dans un état d’ébriété très avancée – au point de n’avoir aucun souvenir des faits qu’on leur reproche – n’avaient par définition rien à voir avec la manifestation de l’après-midi.
Le tribunal a condamné les deux gardiens de prison – casiers judiciaires vierges et présentant d’excellents états de service – à une peine de cinq mois de prison avec sursis, décision qui pourrait entraîner la perte de leur emploi si celle-ci est confirmée en appel. Les deux autres prévenus ont été condamnés à une amende.
En général prompt à dénoncer les erreurs judiciaires potentielles quand des procédures visent des militants bretons de gauche, Jonathan Guillaume commente ainsi le jugement du tribunal correctionnel nantais :
« Cette réaction, à propos d’un fait divers lié à un abus d’alcool, témoigne en réalité du désarroi dans lequel se trouve aujourd’hui les organisations d »extrême gauche » estime un bon connaisseur de cette mouvance. Jusque là chasse gardée de cette dernière, les manifestations nantaises qui ont eu lieu cette année ont en effet rassemblé, avec un succès grandissant, des foules et des personnalités de tous bords. Et les amis de Jonathan Guillaume, qui ne représentent plus grand chose, ont dû, nolens volens, se faire discrets.
Prochain rendez-vous pour Nantes en Bretagne, annoncé par Bretagne réunie, samedi 8 novembre, à Morlaix, avec le soutien des Bonnets rouges. Un mouvement sans doute jugé trop « ambigu » par M. Guillaume.
Photo : DR
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3 réponses à “Les désarrois de l’extrême gauche bretonne”
Et ce crétin de Jonathan Guillaume qui va crier au nazisme sur la page de 7Seizh tenue par sa copine Melize qui ne cherche en réalité qu’à foutre la merde en Bretagne par tous les moyens ! A mourir de rire ! Va plutôt commenter directement sur le site d’Ayoub Jonathan, tu ne seras pas plus ridicule !
j’aimerais bien savoir ce qu’il fait dans la vie ce JG, en dehors de ses délires idéologiques; peut être qu’un peu d’haldol lui ferait du bien, s’il voit des nazis partout; en fait si je comprends bien, c’est le même problème qu’entre les verts et l’écologie: les verts (enfin, les rouges pour ceux qui ne sont pas daltoniens) se sont appropriés la cause écologique, l’ont confisquée à de vrais écologistes, l’ont utilisée pour emmerder la droite, et l’ont finalement sabordée en faisant du gauchisme; foutre le bordel, voilà leur démarche, comme Dany le psychopathe depuis mai 68
Au goulag les nostalgiques de l’URSS !