FN. Les conséquences possibles d’une arrivée au pouvoir [tribune libre]

02/09/2014 – 07H00 France (Breizh-info.com via gfaye.com) – Imaginons qu’en 2017, voire même avant en cas d‘effondrement du gouvernement socialiste, le FN parvienne au pouvoir, avec Marine Le Pen à l’Élysée ; et que, dans la foulée, les élections législatives lui donnent une majorité grâce à une alliance entre les députés frontistes et une fraction ”droitière” de l’UMP qui aurait fait sécession après une crise majeure, mais aussi avec des forces venues de la gauche. (cf. autre article de ce blog). Bien qu’improbable –mais on ne sait jamais– cette hypothèse doit être examinée. Trois scénarios : 1) L’échec total. 2) Le demi-succès. 3) Séisme et enclenchement d’un processus révolutionnaire.

L’échec total

Les conceptions économiques du FN, provenant des mêmes illusions que celles des socialistes archaïques (stratégie de la demande et non pas de l’offre, refus de la rigueur budgétaire, maintien de l’État providence et de l’économie administrée avec 57% du PIB de dépenses publiques, fiscalité et charges écrasantes, fonction publique pléthorique, corporatisme généralisé etc.), le FN au pouvoir applique un programme économique étatiste et dépensier. Il avait critiqué la politique de l’”UMPS” en la qualifiant à tort d’”ultralibérale” alors qu’elle était en réalité collectiviste. La nouvelle majorité mène la même politique et l’aggrave. Le FN n’a pas compris qu’il fallait un choc à la Schroeder  (Agenda 2010) ou à la Cameron pour relancer la croissance et l’emploi. C’est la catastrophe : les mêmes causes produisant les mêmes effets, le chômage continue de croître, les déficits de se creuser, les industries de se délocaliser, les forces vives de fuir à l’étranger, les dettes publiques d’exploser. Les taux d’emprunts sur les marchés ont repassé la barre des 5%.

Pour tout aggraver, bousculant les règles européennes, se brouillant avec l’Allemagne, inaugurant une crise majeure au sein de l’UE, Marine Le Pen décide une sortie précipitée et improvisée de l’ Euro et le rétablissement d’un néo-Franc. Résultat : les valeurs d’épargne des Français s’effondrent, leurs avoirs aussi, car le néo Franc perd rapidement de sa valeur de change ; l’effet stimulant sur les exportations de la dévalorisation massive du néo-Franc n’a pas lieu : car les importations se sont renchéries, souvent libellées en euros ou en dollars, et que cette dévaluation de fait n’a pas compensé l’absence de compétitivité des entreprises françaises. Sans compter la revalorisation de la charge de la dette, à régler en euros, et le coût pour les entreprises d’une nouvelle comptabilité. C’est la catastrophe.

Le nouveau gouvernement a fait jouer les clauses d’urgence pour sortir provisoirement de l’espace Schengen et rétablir les contrôles aux frontières. Mais, comme tous ses prédécesseurs face à la réalité et avec le même manque de courage, les mesures prises sont timides et sans résultats probants sur les flux migratoires, en dépit d’effets d’annonce et de mesures purement symboliques qui scandalisent pourtant les bien pensants : diminution de l’AME aux clandestins et augmentation des expulsions.

De même, les mesures votées pour détricoter les lois Taubira, pour renforcer la lutte contre la délinquance, pour durcir la ”laïcité” contre l’islam invasif, pour restaurer l’Éducation nationale, pour rétablir le budget de la Défense, etc. s’avèrent insuffisantes. Le gouvernement dominé par le FN (qui a beaucoup peiné à recruter des compétences) a multiplié les reculades, de crainte d’un embrasement, d’un affrontement. Faute d’oser, on ne peut vaincre. Ces demi-mesures sont sans effet. Les émeutes ethniques continuent de plus belle. L’électorat qui a voté pour la nouvelle majorité est déçu et déboussolé.  Rien ne change et tout s’aggrave.

La nouvelle majorité, dominée par le FN, ne parvient pas à attirer ni à faire émerger un seuil critique de personnels compétents, ni dans le gouvernement, ni dans les cabinets ministériels, ni dans les instances parlementaires. Néophytes et dépassés, paralysés par une administration hostile, les nouveaux dirigeants sont la peine. De plus, au sein de la majorité déchirée, la fronde éclate. Chaque clan a son idéologie : libéraux, néo-gaullistes, socialistes nationaux, nationaux ”canal historique”, etc. Bref, il n’y a plus de majorité, la situation devient ingouvernable. Dix-huit mois après son élection à l’Élysée, Marine Le Pen dissout l’Assemblée nationale.

La proportionnelle partielle ayant été rétablie contre le scrutin majoritaire, la nouvelle Assemblée est un kaléidoscope sans majorité claire. Le Front national lui-même a éclaté entre plusieurs tendances. Face à une situation de type IIIe et IVe République, l’hôtesse de l’Élysée renonce à former un gouvernement ; elle jette l’éponge et démissionne. La victoire du FN de 2017 n’aura été qu’une comète. La France s’est encore enfoncée un peu plus dans les sables mouvants.

Le  demi-succès

 Le nouveau gouvernement a reculé devant son programme de ”sortie de l’Euro” et de rétablissement du Franc, la repoussant aux calendes grecques. Trop compliqué, trop risqué, trop cher. La présidente Le Pen a fini par prendre conscience que cela signifierait le doublement de la dette toujours libellée en Euros mais aussi la dévalorisation dramatique de toutes les épargnes et une crise bancaire ingérable. L’Allemagne et Bruxelles ont dit : chiche, allez-y, on regarde ! La Présidente Le Pen a tenu un double discours : on sortira de l’Euro, mais plus tard. Ce qui a eu pour effet d’attiser la défiance des marchés et des partenaires de la France.

Comme dans le scénario précédent, la politique économique de la nouvelle majorité, faute de rompre avec le social-étatisme, n’est pas parvenue à stopper la récession ni évidemment à faire reculer le chômage. En revanche, d’indéniables résultats ont été engrangés dans d’autres domaines où le gouvernement à tenu bon, en dépit des manifestations, des intimidations des corporations de toute nature : l’immigration de clandestins est à peu près stoppée, du fait de la fermeture des frontières et de l’arrêt de la pompe aspirante des allocations. Les expulsions de sans-papiers, facilitées, se multiplient. La déconstruction des lois Taubira et le durcissement de la politique pénale arrêtent la progression de l’insécurité et de la délinquance, mais sans la faire vraiment reculer. Ou à peine.

Des réformes pour reprendre en mains l’Éducation nationale en pleine déliquescence sont entreprises, avec une énergie pour le moins modérée. Un durcissement de la ”laïcité” est opéré pour essayer de contrer l’islamisation. Marine Le Pen pense qu’il faut y aller progressivement, en douceur, malgré les impatiences. Elle a peur d’un clash, de manifs géantes, d’émeutes ; toutes les forces de gauche et bien d’autres sont vent debout contre elle. De sorte que la ”communication” du gouvernement, le pouvoir symbolique de la parole, est beaucoup plus fort que les résultats réels.

Néanmoins, cahin-caha, la majorité tient. Jusqu’à quand ? Marine Le Pen, dix-huit mois après son élection, est inquiète : les sondages auprès de la France profonde montrent que sa base électorale s’impatiente. Les résultats sont faiblards et les promesses de retournement de la situation se font attendre. Des chroniqueurs ironiques la comparent à Sarkozy : grande gueule et petit bras. Elle se demande s’il ne faudrait pas changer de braquet, passer de la rupture en paroles à la rupture dans les faits. Ce qui supposerait d’entamer un processus très risqué qu’en sciences politiques on nomme révolution.

Séisme et enclenchement d’un processus révolutionnaire

À peine élue et, après les législatives, avec sa majorité à l’Assemblée nationale, la Présidente Le Pen estime qu’il faut profiter du très court ”état de grâce” et frapper fort. Elle veut se battre comme une lionne, songeant à la comparaison qu’un journaliste vedette du New York Times a risquée, la comparant à une possible Margareth Thatcher. Elle songe aussi à Jeanne d’Arc…  Ou ça passe, où ça casse, mais il faut oser.

Étonnant tout son entourage qui reste coi, elle lui impose une ligne politique en rupture avec le programme économique du FN. Une bonne communication fera avaler cette rupture. Elle a été convaincue de cette nécessité par de nouveaux conseillers, des visiteurs du soir. Elle organise immédiatement un référendum portant sur la politique générale qui permettra au gouvernement, conformément à la Constitution, de légiférer par ordonnances.

Les propositions, qui brisent tous les tabous, sont les suivantes : sur le plan économique,  retour aux 39h. payées 35, suppression de l’ISF, abolition des seuils sociaux dans les entreprises, révision drastique du statut privilégié de la fonction publique, non-remplacement de deux fonctionnaires sur trois partant à la retraite, limitation du droit de grève des fonctionnaires et salariés des entreprises publiques protégées, fin des subventions publiques aux syndicats et à la majorité des associations, égalisation de tous les régimes de retraites et abolition des privilèges des régimes spéciaux, suppression de l’impôt direct progressif et instauration d’uneflat tax pour tous de 12% (ce qui rapporterait trois fois plus que l’IR actuel), révision et simplification du Code du Travail, unification et liberté contractuelle de tous les contrats de travail, baisse de toutes les taxations sur l’épargne et le capital investi, libéralisation du marché immobilier,  division par deux des charges sociales, alignement des allocations chômage sur  les modèles britanniques et canadiens, etc.

S’enchaînent aussi, dans ce référendum de politique générale, des propositions concernant l’immigration et bien d’autres sujets  : suspension de l’espace Schengen et rétablissement des contrôles aux frontières, abolition du droit du sol et rétablissement du droit du sang,  durcissement des conditions de naturalisation, limitation du droit d’asile aux cas exceptionnels, expulsion massive des immigrés illégaux, suppression rigoureuse de toutes prestations, aides, allocations de toute nature aux étrangers, y compris le droit à la scolarisation gratuite, l’École publique étant strictement réservée aux nationaux ; rétablissement de la double peine, déchéances facilitées de la nationalité ; strict encadrement de l’islam, etc. Étaient proposées aussi des mesures révolutionnaires de rétablissement de l’ordre disciplinaire et sélectif républicain dans l’Éducation nationale et de l’ordre répressif dans la Justice, imposant aux tribunaux une application rigoureuse du Code pénal. L’ensemble du programme proposé ressemblait à un choc thérapeutique.

Curieusement, la sortie de l’Euro n’était plus à l’ordre du jour. Marine Le Pen, revenant à la réalité et suivant l’avis de ses visiteurs du soir, avait repoussé l’hypothèse : ”on verra plus tard”, avait-elle lâché. En revanche, le référendum – qui modifiait la Constitution – proposait des mesures de désobéissance, au cas par cas, aux directives de la Commission européenne et aux jugements des diverses Cours européennes. En rétablissant la prévalence de la souveraineté nationale en cas de conflit avec le droit européen.

La gauche, la droite molle, le centre, l’intelligentsia, les corporations syndicales, les associations, les lobbies, 80% des médias, les milieux eurocrates crient à la dictature, à l’annonce du référendum. Hurlements et manifestations dans le vide : le ”oui ” l’emporte à 55%. Tous sonnés. Le succès du référendum avait agi comme une douche froide, laissant au gouvernement toute latitude. Il s’est référé, comme axe central de propagande, à la Révolution française, à l’égalité, à la liberté, à l’abolition des privilèges, à la primauté de la Nation. Difficilement contestable. Bernard Henry Lévy, qui explique partout que le résultat du référendum n’est pas valable, car il est ”populiste”, ”césariste” et non pas ”démocratique”, se couvre de ridicule, à part à Saint Germain des Prés.

C’est un séisme. L’Europe retient son souffle : l’application d’un tel programme révolutionnaire ne va-t-il pas provoquer le chaos ? Tous sont sonnés. Tout de suite, avant même l’entrée en vigueur des ordonnances d’application de la volonté du peuple, on remarque un mouvement de départ spontané de milliers de clandestins et le tarissement immédiat des entrées illégales comme des demandes d’asile.

Dans un premier temps, le choc fut rude face à ce remède de cheval. Pendant un an, l’effondrement de l’assistanat provoqua évidemment une paupérisation, parfois dramatique. Mais la situation se rétablit grâce à la libéralisation et à la fin du collectivisme : afflux de capitaux, redémarrage des investissements et des exportations et, enfin, chose inouïe depuis plus de trente ans, recul significatif du chômage. Les manifestations de rues ont été très limitées, comme les grèves de protestation. Face à un pouvoir fort et déterminé, les Français restent chez eux ou vont au travail ; seul un pouvoir faible les excite, comme l’histoire l’a cent fois démontré.

De plus, les courbes de la criminalité et de la délinquance basculent vers le bas ; on note partout une nette diminution de la présence étrangère. La colonisation de peuplement semble enrayée, voire en recul. L’islam institutionnel fait profil bas. Les choses semblent bien parties. Le gouvernement est décidé à poursuivre et à aller encore plus loin. Mais il sait qu’il va devoir affronter une contre offensive, venue de partout à la fois… Comme la guerre, la révolution ne se gagne pas en un coup de dé, mais c’est un long combat.

Guillaume Faye

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19 réponses à “FN. Les conséquences possibles d’une arrivée au pouvoir [tribune libre]”

  1. Ann dit :

    Ohlala… Mais le FN est au moins aussi incompétent que le PS et l’UMP mais en plus il est isolé. Rien que le parlement européen illustre bien cet état de fait.
    Comment pensez que ce ne puisse être qu’un échec total suivi de chaos donc de révolution ?
    C’est ce qui attends la France de toute façon, le FN ne fera qu’accélérer les choses. Les inconscients qui souhaitent la chute du système réaliseront assez vite que la vie, ce n’est pas un film et que la violence actuelle n’a rien à voir avec une guerre civile.
    Pour espérer que les choses s’effondrent le moins possible, il faut institutionnaliser le fédéralisme en France au plus vite. Il reste peu de temps. Que tout ce qui permette le localisme, l’économie autosuffisante sur des territoires restreints soient opérationnels. Ca ne nous évitera pas des jours difficiles mais peut-être la guerre civile.
    Mais comme l’humain est par nature pervers, il continuera à foncer inconsciemment vers le chaos. Et comme le français est le plus pervers des européens, c’est de la France que viendra la conclusion de 1914, la vraie disparition définitive de l’Europe.

  2. tringlerail dit :

    Les trois scénarios sont intéressants mais pourquoi ne pas intituler le troisième : « le plein succès » au lieu de le qualifier de « séisme et enclenchement d’un processus révolutionnaire », si ce n’est pour faire peur, ne serait-ce que par l’emploi des mots ?
    Certes, si tel était le cas, ce pourrait être un séisme mais un séisme annoncé depuis fort longtemps et auquel logiquement on doit être préparé.
    A bien considérer, je pense que l’échec total est à écarter car Marine Le Pen et ses équipes se préparent depuis longtemps à la prise du pouvoir; par contre un demi-succès n’est pas à exclure compte tenu des forces qui se lèveront contre elle et un franc succès est tout à fait envisageable !

  3. Brochard dit :

    Eh quand bien même que cela vous fasses du mal,si c’était un réel succès ?!!! Vous vous êtes posés la question au moins quelques secondes ???
    C’est vrai nous sommes a la merci du diktat que nous impose l’Europe rien ni personne d’après vous ,nous en fera sortir ?!!!
    Je suis une militante du FN,j’espère qu’avec MARINE ,nous allons retrouver la FRANCE, la vraie FRANCE,un état souverain, avec ses valeurs retrouvées.

  4. iliou marc dit :

    Moralité dans les trois cas de figure il faut que la Bretagne soit réunifiée et libre on a rien à attendre de la Marine sauf de souhaiter qu’elle coule avec son bateau et ses fidèles à bord !

    • Duperrier dit :

      Vous avez raison ,MOI Bourguignonne plus d’achats de poulets infects cause 10.000 pauvres bêtes dans un hangar ,ainsi que du porc même traitement ,les poissons se font rare et pollué ,A-qui vous allez vendre vos produits de remplis de antibiotiques ,de produits chimiques ext D’accord vous pourrez prendre l’avion ,ils vous déposeront du Kérosène peut-être ça pourra remplacer les engrais ,
      Ecoutez ils ont piégé notre Pays ,où nous avions les produits les Meilleurs de qualité incomparable ,Que reste ‘t Il de Notre France Grace à votre Gauche votre Droite nous allons avoir une guerre civile ,comme celles que nous avons imposé ,en Irak LIBYE Syrie Ukraine ,ça vous mettra du plomb dans votre tête de colibri JE NE SUIS PAS MARINE

    • jacques dit :

      mon pauvre marc :
      vous vous voulez européen , vous voulez réunifier la Bretagne et vous ne voulez pas de la France .
      franchement , je ne comprend rien à votre salade .
      j’espère que vous êtes jeune , vous aurez le temps de voir la dégradation de notre pays .
      c’est quand même triste de voir qu’il reste encore un gros pourcentage de gens lobotomisés par leur parti politique

  5. NANDO dit :

    4ème scénario , partout en Europe les populations se réveillent enfin , prennent conscience qu’il est temps de mettre à bas toutes ces politiques véreuses menées dans le seul but de ruiner l’occident et la race blanche .Comme les français , elles mettent à la tête de leur pays des gouvernants dignes de ce nom qui vont construire une Europe des nations et cesser d’être le Rantanplan des dirigeants américains et autre puissances occultes etc. etc….
    OUF ! c’est bon de rêver non ?

  6. Duperrier dit :

    Vous planez ,sur tout les scénarios OK ,Pensez que Notre Pays est Ruiné,liquidé Vidé de tout son Patrimoine vendu aux étrangers,(en plus là vous ne pouvez pas accuser le FN ( Désolée pour VOUS )ils vendent Aéroport de Nice Canne ,d’accord on pourra atterrir à Nantes TOUTE NOS Entreprises sont aux mains des étrangers vous pensez qu’ils embaucheront vos petits bretons en premier , tout notre Biens Immobiliers ext ext ,Notre Réserve d’Or enfin ce qui en restait après le passage de Sarkozy ,est à Bruxelles ,
    Les Français n’ont plus de Bon Sens ,sont vide ,Que leur ego ,leur religion la Télévision ,Je ne suis pas F N encore moins Marine qui pour être dans la fosse à purin avec les autres ,se couche OH d’accord elle a un très bon somnifère pour faire rentrer les gogos dans le Nouvel Ordre Mondial ,Car nous sommes dans cette bombonne ,ils ont plus qu’à mettre le bouchon ,MERCI LES BRETONS de cette aide que vous apportez aux Bildeberg

  7. Brochard dit :

    Merci,iIiou Marc ,le bâteau va couler avec Marine ,mais ne prend t-il pas déjà l’eau ?!!! La « Marine » n’y est pour rien !!!

  8. magores dit :

    J’apprécie vos articles dans l’ensemble, mais la le rédacteur n’a pas lu le programme du FN ou avec la technique de lecture rapide. Vos articles ont le mérite de détonner par rapport au politiquement correct. Malheureusement cet article ne détonnerait pas dans les colonnes du monde ou de libération. La dette ne serait pas alourdi, les contrat étant en droit national et donc en monnaie national. Les importations seraient filtrées et taxées aux frontières retrouvées. L’immigration réduite par la préférence nationale et la suppression des prestations sociales des immigrés. Ceci pour quelques points, je ne suis pas sur que le FN réussirait la ou les autres ont échoués mais encore faut il poser les bonnes hypothèses.

  9. jacques dit :

    vous feriez mieux de constater les effets de cette UE sur notre pays .
    60 années d’UE , et nous n’avons plus de machines outils , plus de machines agricoles etc .
    tous les beaux tracteurs ou moissonneuses appartiennent à qui ? subventions ici et là .
    le lait les poulets les porcs .tient parlons en du porc .sans doute ne savez vous pas que du porc français est en réalité né au pays bas , engraissé en Allemagne , tué en Belgique , désossé en Roumanie pour arriver à Rungis ou ailleurs en France . et tout ça grâce au FN .soyez fier de la France que vous laisserez à vos descendants .je me marre quand je vois GAD OU dOUX ? se goinfrer de subventions et vous laisser sur la touche . pareil pour chevance devenu je ne sais quoi à Poullaouen .
    je ne suis ni syndiqué ni encarté nulle part . j’ai honte de mes compatriotes . ils ont raison de se voiler la face .
    tapez : revolte en europe dans votre moteur de recherche et réfléchissez
    kénavo

  10. Bertrand dit :

    Comme souvent l’ami Faye nous livre une tribune très libérale…
    A se demander si ce monsieur n’est pas payé par le MEDEF pour vendre une doctrine ultralibérale aux milieux identitaires et nationalistes…
    Pour la « compétitivité » ne vous inquiétez pas ! Même en supprimant le code du travail, en passant de 35h à 50h, en supprimant le SMIC, en supprimant les CDI etc les méchants salariés et fonctionnaires ne seront jamais aussi « compétitifs » que des enfants du tiers monde ou des prisonniers politiques en Chine…

    Ce qui fait peur c’est que même en arrivant au pouvoir le FN ne pourra rien faire !
    La gauche bloquera le pays via son infiltration dans les syndicats, les associations de parents d’élèves ou de consommateurs…
    48h de grève générale et le FN foutera le camp…
    Sauf si avant la « prise du pouvoir » ils pense a la prise du pouvoir par le bas aussi bien dans le syndical que l’associatif…
    Ps sur que l’argumentaire libéral d’un Faye y contribue…

  11. Huguel dit :

    Je ne crois pas qu’elle aurait l’audace de remettre de l’ordre dans les banlieues que, depuis plus de 30 ans, nos dirigeants n’ont pas eu le courage de faire. Ce serait une guerre civile contre tous ces tarés qui sont chez nous et qui nous haïssent.Attendons nous donc à subir la même chose que ce qui se passe
    en Irak, en Syrie, en Afrique Sub- Saharienne et très bientôt au Liban. Si nous ne commençons pas à remettre
    en place tous ces fous de Dieu qui sont en France et qui, demain, nous obligeront soit à quitter notre pays, soit de nous convertir à cette religion rétrograde qui n’a pas évolué depuis 732, soit à leur payer un impôt.
    Donc, chers concitoyens réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard…..

  12. jacques dit :

    le temps que vous réagissiez , les poules auront des dents .
    vous faites peur , les modérateurs ou alors censeurs .

  13. Jaguar dit :

    …avec ou sans Marine, le sang va couler, c’est prévu et voulu, il existe trop de pressions sur tout les bords…

  14. alsachien dit :

    si sang doit y avoir, j’espère que ces têtes de .ons de politicards qui profitent du système, vont également prendre des coups, car, de la monnaie, ils en piquent, durant leurs années de fonction, puis, après nettement moins de 41 années de labeur, prennent une superbe retraite….ce n’est pas de l’injustice, c’est du foutage de .ueule, quand je lis que Marine va couler la France, ne trouvez vous pas que le bateau France a déjà assez pris l’eau, pour être à la limite de se transformer en sous marin, je trouve que certains Français doivent être aveugles, ou alors, ils portent jour et nuit les œillères de leur parti

  15. Patriote dit :

    la dernière hypothèse j’en reve ;)

  16. Nico dit :

    Pour un journal qui se dit breton vous dites vraiment n’importe quoi.Le FN est le parti le plus jacobin de france, encore pire que les autres

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