19/05/2014 – 09h00 Europe (Breizh-info.com) – Le n°72 du magazine « la Nouvelle Revue d’Histoire » est paru, avec ce mois-ci un sujet particulièrement d’actualité, puisque le thème central concerne l’identité et le devenir de l’Europe, à quelques jours des élections Européennes qui pourraient marquer la victoire des souverainismes et sans doute le recul de l’idée européenne essentiellement à cause de la technocratie bruxelloise actuellement aux commandes de l’appareil Europe.
On pourra lire dans ce numéro, notamment, des articles de Philippe Fraimbois (« Charlemagne, fondateur du premier empire européen »), de Bernard Fontaine (« Le XIIIe siècle des cathédrales et des universités »), de Jacques Berrel (« La Hanse, une Europe de marchands »), de Philippe Conrad (« L’Europe rassemblée face au péril ottoman »), de Jean-Joël Brégeon (« Quand l’Europe des Lumières parlait français »), de Robert James Bellairs (« Les relations anglo-allemandes de 1871 à 1991 ») de Christophe Réveillard (« L’Europe de Jean Monnet » ; « De Gaulle et l’Europe »), de Guillaume Bernard (« La construction d’une Europe… introuvable »), de Paul-Marie Coûteaux (« Qu’est-ce que le souverainisme ? » ) de Gerard Dussouy ( « Pour un Etat européen »).
Hors dossier, on pourra lire, en particulier, deux entretiens, l’un avec Gérard-François Dumont (« Histoire et démographie ») et l’autre avec Andreas Kappeler (« Quelle identité historique pour l’Ukraine ») ainsi que des articles d’Emma Demeester (« Olympe de Gouges, une victime de la Révolution »), de Philippe Maxence (« Honoré d’Estienne d’Orves. Une jeunesse française ») et de Virginie Tanlay (« 1944. La Normandie sous les bombes »).
La Nouvelle Revue d’Histoire n°72 – Actuellement dans les kiosques – 6,90€
Photos : DR
Breizh-info.com, 2014, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
Une réponse à “Identité et devenir de l’Europe : La Nouvelle Revue d’Histoire n°72”
Peut être une erreur des « identitaires » et « patriotes européens »… avoir quitté les partis populistes de « droite nationale » alors qu’il y avait moyen d’y propager un « nationalisme européen »…
Pourquoi pas y retourner en force ??? A réfléchir…