02/04/2014 – 09H00 Nantes (Breizh-info.com) – François de Rugy n’est pas content du tout et il le fait savoir. Le député de Loire-Atlantique espérait bien en effet, à la faveur de la formation du nouveau gouvernement, devenir ministre. Mais son parti a dit non.
Le refus de Cécile Duflot et de Pascal Canfin de figurer dans le futur gouvernement de Manuel Valls – pour incompatibilité d’humeur – était apparemment une aubaine pour François de Rugy qui y voyait l’occasion de décrocher enfin un portefeuille. Mais hier, après des heures de discussion, le bureau exécutif d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) a fait savoir qu’il n’entend pas participer à ce gouvernement.
Adoptée par 7 voix contre l’entrée au gouvernement, 3 pour et 5 abstentions, cette décision du bureau exécutif est loin de faire l’unanimité au sein des Verts, en particulier chez les parlementaires. Si Noël Mamère est résolument contre l’entrée de ses amis dans l’équipe Valls, plusieurs sénateurs (Ronan Dantec, Jean-Vincent Placé, André Gattolin) et députés (François-Michel Lambert, Barbara Pompili et François de Rugy) ont vigoureusement plaidé pour que les Verts y soient présents. En vain.
Coprésident du groupe écologiste à l’Assemblée nationale, François de Rugy n’a pas caché son amertume. Cette « décision incompréhensible » est un « mauvais coup pour l’écologie et les écologistes » a déclaré le député nantais, qui voit ainsi son rêve d’être ministre s’éloigner. A moins que…
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Une réponse à “François de Rugy : furieux du refus des Verts de participer au gouvernement Valls”
De toute façon les verts de monde entier sont des imposteurs, l’écologie ne les intéresse pas, pendons les donc pendant qu’il reste encore quelques arbres! On a ici à Genève, un verts *robert cramer* qui voulait faire incinérer des ordures napolitaines dans notre usine d’incinération. Ces déchets sont entre autre radio actif et bourré d’amiante, c’est un business très rentable pour les mafias italiennes! Et voilé avec qui ils fricotent les verts européens des mafias! Ce monsieur est vice président du parti, c’est tout dire!