Clandestins : deux appartements squattés à Rennes par « Un toit c’est un droit »

25/02/2014  08H00 Rennes (Breizh-info.com) –L’association « Un toit c’est un droit », spécialisée dans la réquisition de locaux publics ou privés et leur mise à disposition en priorité pour les immigrés clandestins, a de nouveau mené une action à Rennes, au 15 de la rue Quineleu. Deux appartements ont en effet été réquisitionnés pour des familles ne parlant visiblement pas le français, comme semble l’indiquer la vidéo qu’ils ont filmé et qui leur sert de « preuve juridique » d’occupation.


15 rue de Q 6 ième du nom par RennesUnToitcestUnDroit

Il y a donc désormais 8 appartements occupés par ces familles à l’initiative de cette association (les premiers depuis janvier 2014) à qui le tribunal a accordé un « délai d’occupation » jusqu’au mois de juin prochain.

Le tribunal, en accordant ce délai d’occupation temporaire, fait ainsi une exception pour ces familles immigrées. « Une préférence étrangère en somme », proteste Nicolas, adhérent de l’UMP sur Rennes. « Comment voulez-vous que les politiques soient encore crédibles alors qu’ils ne font rien pour mettre hors d’état de nuire des associations qui privilégient les immigrés et le non respect de la loi à la démocratie et au vivre ensemble ? » « Je connais par exemple un couple de jeunes bretons qui a été expulsé de son logement en banlieue rennaise fin mars, à la fin de la trêve hivernale. C’est un deux poids deux mesures qui s’applique, en faveur des immigrés, c’est insupportable et totalement en opposition avec ce qui fonde notre République » poursuit-il.

Sur son site Internet, l’association « Un toit c’est un droit » établit son « palmarès » de toutes les réquisitions effectuées au détriment de la loi et sans que la municipalité socialiste rennaise ne réagisse.

Un toit c’est un droit a été crée par des anciens de la section rennaise de « Droit au  Logement » évincés car cette dernière pourtant engagée jugeait que les militants rennais donnait la priorité aux familles d’immigrés . Des familles qui devraient suivre le processus « classique » désormais des demandeurs d’asile, avec à la clé, famille et enfants oblige, des régularisations massives.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2014, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

9 réponses à “Clandestins : deux appartements squattés à Rennes par « Un toit c’est un droit »”

  1. gilles dit :

    C’est vrai que nous citoyens français avont vocation à entretenir toute la misère du monde. Il suffit de nous présurer encore davantage au niveau des impôts en tous genres (locaux, revenus, TVA…) au profit de l’immigration économique qui s’installe avec nombreux enfants et alloc qui vont bien.
    Vivement 2017 : dehors la gauche.

    • Schweinkopf dit :

      Nous avons accepté de subir cela et sommes sur nos claviers au lieu de nous rassembler devant ces logements pour renvoyer chez eux tous ces cloportes parasites à coups de pieds au cul !…C’est en tout cas ce qui se passerait chez eux !!…
      Pauvres bisounours « français » …il est temps de changer de méthode !

  2. Irma dit :

    Il ne reste plus qu’à inscrire les enfants à l’école et attendre la naissance d’un p’tit frère ou p’tite soeur : enfants scolarisés, parents d’un enfant « né en France », dans quelques mois, ces familles seront devenues « inexpulsables ».
    On se réveille ?

  3. […] article Clandestins : deux appartements squattés à Rennes par « Un toit c’est un droit » est apparu en premier sur […]

  4. Bellec dit :

    Savez-vous que nos élites bruxelloises prévoient de nous contraindre à en admettre encore plus???
    A cause de leur lâcheté, nos élus laissent prospérer des zones de non droit. Nos compatriotes qui ont le malheur d’y vivre n’ont plus qu’une seule solution: déménager pour s’installer dans des zones rurales encore saines.

  5. Jean-Pierre FY dit :

    Une mamie ou un papy que ses anciens salauds de patron n’ont pas déclarés peuvent rester dans son galetas, même si de nombreux témoins encore vivants peuvent témoigner qu’elle à travaillé toute sa vie. Certains pauvres gars ont du travail, mais pas assez d’argents pour se payer un logement et « habitent dans leur voiture », la liste est longue…

    Pourtant ils ont une solution !! Qu’ils demandent l’asile en retour à ceux qui sont accueillis par ces associations grassement subventionnées par nos pommes.

    Fifty fifty, c’est plus le barème ? Je dois être dépassé par le progrès moi, il va falloir que je retourne dans l’âge du bronze moi, comme ça j’aurais l’impression qu’on est bien dans la merde (le jeu de mot est lamentable, je sais !)

  6. DURAIL dit :

    Bonjour
    La première source de confusion est le mélange entre le droit au logement, et le problème des clandestins.

    Nos dépenses sociales explosent, mais avec nos politiciens, les immigrés clandestins arrivent à avoir plus de droits, que des immigrés en situation régulière, et des français, qui ont la légitimité à rester et vivre en FRANCE.

    Ces écart, et ces abus sont de nature à favoriser le racisme, je précise bien le racisme, pas le choix d’un parti nationaliste.
    le constat de Jean Pierre FY se vérifie.

    Pour les clandestins, qui nuisent en premier aux immigrés en situation régulière, il est étonnant, que les employeurs, qui sont les premiers à profiter de cette misère, qu’ils ont eux même provoqués ne soient pas vraiment inquiétés.

    Indépendamment de l’aspect de personnes se trouvant irrégulièrement sur le territoire, un ensemble de lois et dispositions sont prévues.
    Il y aussi l’aspect de profiteurs, qui exploitent des gens particulièrement vulnérables, ça relève purement et simplement de traite des personnes humaines, et reste purement et simplement de esclavagisme, et bien souvent, ce sont des grandes entreprises, qui se livrent à ces pratiques.
    Cordialement
    Durail.

  7. berquet dit :

    Nous sommes à la retraite et nous aidons de notre mieux ma fille qui est au chômage après s’être fait agresser et notre fils qui, bien que travaillant mais vivant seul a bien du mal à finir ses fins de mois.
    En fait nous devons pallier au fait que nos politiques font tout pour désorganiser la France tant en matière de travail qu’en matière d’aide sociale. Nous devons aider tous ceux qui entrent sur le territoire en plus de nos propres enfants. C’est pas beau ça ????
    LES HUISSIER ONT UN BEL AVENIR !!!!!

  8. jpc dit :

    simplement scandaleux

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

RENNES

Rennes : les barricades des dealers, un double abandon des habitants

Découvrir l'article

Immigration, Local, MORLAIX, Social, Société

Monts d’Arrée : Qui veut accueillir un « mineur » isolé pour Noël ?

Découvrir l'article

Sociétal

Immigration et système de santé : une pression insoutenable sur la solidarité nationale

Découvrir l'article

A La Une, Economie, NANTES

Nantes Métropole : sobriété foncière ou paralysie du logement ?

Découvrir l'article

International

Crise du logement en Irlande : un reportage sur un drame social

Découvrir l'article

Immigration, International, Justice, Société

Pays Basque. Un égyptien condamné après une bagarre…une société parisienne suspectée de travail au noir massif

Découvrir l'article

A La Une, Economie, Sociétal

Immigration en France. Nathalie Goulet, sénatrice : « En 2024, 1 472 associations ont bénéficié d’un milliard d’euros de fonds publics » [Interview]

Découvrir l'article

International

Donald Trump : un programme sans compromis pour un second mandat

Découvrir l'article

A La Une, International

Finlande. Sebastian Tynkkynen : « Notre loi sur l’immigration est la plus stricte d’Europe et j’espère qu’elle servira de modèle à d’autres pays » [Interview]

Découvrir l'article

International

L’Union européenne veut mettre les expulsions de migrants illégaux au cœur de son agenda

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky