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Angers. Les vaccins Infanrix Hexa et Prévenar 13 à l’origine de la mort annoncée d’Ayana ?

23/06/2015 – 06h00 Angers (Breizh-info.com) – Voilà une affaire qui pourrait relancer le débat sur la vaccination obligatoire, à l’heure ou le professeur Henri Joyeux récolte des centaines de milliers de signatures pour sa pétition réclamant le retour du Vaccin DTP trivalant au nom de la protection sanitaire des enfants : Ayana, une petite fille de 7 mois, est actuellement plongée dans le coma au CHU d’Angers, et devrait voir sa respiration mécanique stoppée, les médecins ayant jugé que les dommages au niveau du cerveau sont irréversibles. Ses parents, qui refusaient sa mort programmée et qui avaient même porté l’affaire en référé, se sont en effet finalement résignés dans la douleur et la tristesse à laisser partir leur enfant.

On sait deux choses sur la dégradation de l’état de santé de la petite Ayana : le 4 mai dernier, ses parents l’ont emmenée se faire vacciner contre le DTP + coqueluche + haemophilus B + hépatite B + 13 souches de pneumocoques , les pneumocoques étant responsables de certaines pneumopathies, certain type de méningites, et certaines otites ( pas toutes loin de là )  à la PMI (protection maternelle et infantile) de Sées. Dans la nuit du 4 au 5 mai, suite à une poussée de fièvre impressionnante, et alors que les parents avaient appelé le 15, les médecins régulateurs n’ont pas jugé nécessaire de faire prendre en charge le bébé.

Selon Maître Ludot, l’avocat des parents de la petite Ayana, « cette enfant a eu le cerveau détruit par une hyperthermie maligne. C’est la fièvre de 42,5 qui est à l’origine de cette destruction. Si cette fièvre avait été traitée en temps et en heure, nous ne serions pas au chevet d’un bébé qui est sur le point de mourir ». L’avocat évoque aussi la responsabilité de vaccins dans l’état de santé de l’enfant.

Serge Rader, pharmacien, appuie également la thèse de la responsabilité du vaccin: « Dans l’Infanrix Hexa, il y a en réalité 6 valences mais 8 souches et dans le Prevenar, treize, comment voulez-vous que le système immunitaire d’un nourrisson qui n’est même pas encore formé résiste à un tel choc ? C’est criminel» affirme-t-il. « Des cas semblables ont eu lieu en Italie, avec morts subites dans les 24H et autisme (23.9.2014 Tal de Milan). La pharmacovigilance italienne annonce 3,7 fois plus d’accidents neurologiques avec cette double vaccination simultanée. Quant au Pneumo 23 (les 13 mêmes que Prévenar sauf le 6a), injectable en France à partir de 2 ans, il a été tout simplement retiré du marché en Italie pour inefficacité en juillet 2013….».

Voici ce qu’on peut lire sur la notice du Prévenar 13 : « L’analyse des taux de déclaration depuis la commercialisation suggère un risque potentiel accru de convulsions, accompagnées ou non de fièvre et d’épisodes d’hypotonie-hyporéactivité (EEH) en cas d’administration concomitante de Prevenar 13 et d’Infanrix hexa par rapport à l’administration de Prevenar 13 seul ». « Une fièvre supérieure à 39,5°C a été observée respectivement chez 2,6 % et 1,5 % des enfants recevant Infanrix hexa avec ou sans Prevenar » indique également le site Doctissimo .
« les effets indésirables rares ( pouvant survenir pour moins d’une dose de vaccin sur 1000 ) sont : convulsions y compris celles dues à une température élevée », ce qui est arrivé à la petite Ayana.

Au sein de l’Union européenne, la France persiste à rendre obligatoire la vaccination des nourrissons, alors que la méfiance vis à vis des vaccins tend à se généraliser. L’Italie, la Belgique et le Portugal sont les trois autres pays où au moins une vaccination est obligatoire.

Pour le moment, les parents ont déposé une plainte contre le SAMU pour non-assistance à personne en danger à la gendarmerie de Sées (Orne), localité où ils résident.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

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4 réponses à “Angers. Les vaccins Infanrix Hexa et Prévenar 13 à l’origine de la mort annoncée d’Ayana ?”

  1. lok1848 dit :

    / ça fait un moment que le possible danger de ce vaccin à été évoqué…
    silence radio du gvt qui persiste et signe.

  2. […] vita, in quanto i medici hanno scoperto che i danni al cervello erano irreversibili. Come spiega quest’articolo i suoi genitori, che inizialmente avevano rifiutato la sua morte programmata, hanno infine […]

  3. Eudier Jean-Pierre dit :

    Ce fait divers tragique révèle à quel point la société moderne reste ignorante, manipulée et incapable de discerner les divers dysfonctionnements du système au bénéfice de ceux qui nous manipulent et combien ce système est verrouillé par les
    lobbies politico-médico-pharmaceutiques.
    Les uns compatissent à la douleur des parents, d’autres invectivent ces mêmes parents et laissent transparaître la haine, le racisme, l’intolérance. En tout cas, ce
    cas soulève diverses interrogations qui resteront sans réponse :
    – abus de l’utilisation des services médicaux d’urgence ou dysfonctionnement de ces mêmes services ? La responsabilité financière incombe t’elle à la société ou exclusivement aux parents ?
    Euthanasie, acharnement thérapeutique ou autres questions d’ordremoral ? Chacun y va de son commentaire stérile.
    Par contre, vaccinalistes et vaccino-septiques s’invectivent toujours avec les mêmes arguments éculés, infondés et dogmatiques. Le vaccin est-il l’événement
    déclencheur ? Quelle est la responsabilité du vaccin dans cette
    tragédie ? Quel vaccin a été administré ? Par qui ?
    La majorité des articles occultent cet aspect vaccinal et révèle à quel point le débat sur ce sujet est bâillonné par les autorités et les médias : « La vaccination, ça ne se discute pas ! » nous a dit de manière péremptoire notre ministre de la santé et pourtant c’est l’éclaircissement de cet aspect du drame qui mériterait davantage d’attention et en éviterait assurément d’autres de même nature.
    Si le principe de la vaccination est généreux dans l’esprit, l’exemple de ce cas montre qu’il est contestable dans sa forme. Ainsi, ces parents auront payé le prix fort. Triste épilogue pour un débat qui n’aura pas lieu Chaque vaccin est et reste un médicament et n’est ni une panacée, ni une potion magique. La volonté de prescrire un médicament indifférencié et potentiellement iatrogène à toute la population sans distinction et sans tenir compte des innombrables paramètres qui distinguent chaque individu est illusoire et mérite justement d’être discuté, évalué, étudié. Grâce au ciel, ces pauvres parents éviteront la double peine et échapperont à l’accusation de mal traitance. Combien de parents ont-ils été poursuivis dans des circonstances identiques après que les médecins aient diagnostiqué : « syndrome du bébé secoué » ?
    D’autre part, parmi les commentaires relevés au pied des articles révélant le drame, un mot revient souvent : Eradication !
    Ce mot me glace et évoque pour moi le mot allemand « Vernichtung » =
    destruction, élimination, extermination, mot de sinistre mémoire et que
    de crimes commet-on en ton nom ?
    Ainsi, on s’échine à vouloir éradiquer virus, microbes et parasites par de grandes
    campagnes de vaccination ou d’épandage de pesticide et d’insecticide sans se
    soucier un instant des dégâts latéraux possible. Les rares récalcitrants sont
    désavoués, mis à l’index et jugés comme des délinquants. Personne ne bouge et
    les campagnes s’enchaînent les unes aux autres.
    Et de campagne en campagne, virus, microbes et parasites nouveaux apparaissent, plus violents, plus insidieux et toujours plus résistants aux moyens que l’on tente de leur opposer. Les problèmes sont déplacés et au lieu d’être résolus.

    Le parallèle avec le mot « Vernichtung » ici prend tout son sens. Le peuple allemand a été accusé de ne rien dire et de ne rien faire pour s’opposer à la politique d’extermination qui a entaché son honneur. Mais que fait-on aujourd’hui, sinon de se comporter comme des zélotes devant les diktats de l’administration, froide et aveugle.
    De plus en plus de monde s’accorde à dire que la biodiversité est une nécessité, mais comment revenir à un équilibre après tant d’erreurs stratégiques ? Nous avons eu droit au slogan « les antibiotiques, ce n’est pas automatique » et il devient urgent de lancer la campagne « les vaccins, ce n’est pas anodin ».

  4. InitiativeCitoyenne dit :

    Nous avons rédigé sur notre site un article sur ce cas et ses implications à la lueur du contenu des documents confidentiels des fabricants d’Infanrix hexa et du Prevenar tels que publiés sur notre site: http://www.initiativecitoyenne.be/2015/05/ayana-dans-le-coma-le-lendemain-de-sa-vaccination.html

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